Le vigile
LorsquAudrey rentra à la maison, sa mère faillit tomber à la renverse.
« Mais quest-ce qui sest passé ? Tes cheveux ... ».
Sa fille de dix-sept ans se tenait penaude devant elle, blonde, les yeux bleus,
très bronzée, mignonne, bien faite malgré sa toute petite poitrine, faisant très
garçonne
maintenant que sa longue chevelure nétait plus quun souvenir.
Les mèches dorées coupées à quelques millimètres encadraient son joli visage ovale,
la nuque était rasée haut, très douce, la frange épaisse nexistait plus...
Elle se lança dans des explications confuses et contradictoires - un copain lui avait dit
quelle serait très jolie comme ça, elle avait envie de changer de look, et puis
avec cette chaleur, bref elle était allée chez le coiffeur, maintenant elle regrettait
un peu... -
Elle évita le regard de sa mère qui lui demanda :
« Avec quel argent tu es allée chez le coiffeur ? »
« Je .. Jen ai emprunté. »
Nicole savait très bien que passé le dix du mois largent de poche de sa fille
était dépensé, et que plus aucune de ses copines ne lui en prêtait. Elle insista tant
quAudrey finit par avouer : « Maman, jai fait une bêtise. »
Peu à peu, Audrey raconta ce qui lui était arrivé. Elle avait piqué dans un grand
magasin, le vigile lavait vue, il lavait emmenée dans son bureau. Menaçant
dappeler la police, il lui avait fait signer une déclaration où elle reconnaissait
quelle avait volé.
Ensuite ... « Il ... il ma dit que dans certains pays, on coupait la main des
voleurs.
Et puis il a dit quil avait pitié de moi et ... et que lui il se contenterait de
... de me couper les cheveux. Si je nétais pas daccord, alors je navais
quà me débrouiller avec la police. Et que mes parents ne seraient sûrement pas
heureux de me chercher au commissariat. Sans compter que tout le monde me verrait
traverser le magasin avec des menottes, entre deux flics. Alors jai dit que bon,
daccord.
Mais javais envie de pleurer. »
« Mais ça sest passé où ? Dans le bureau ? Et cest lui qui ta
... qui la fait ? »
Nicole navait pas réussi à dire « qui ta coupé les cheveux ».
En fait elle narrivait pas encore à réaliser que la longue chevelure lisse
dAudrey avait disparu. Et pour longtemps.
« Oui. Il ma dit de pas avoir peur, quil faisait ça très bien,
quil avait lhabitude de
soccuper des voleuses de cette manière. »
Audrey refusa den dire plus sur la coupe elle-même, et sa mère nosa pas lui
poser trop de questions, ne voulant pas la traumatiser. Cependant elle dut admettre
intérieurement que la coupe était très bien faite. Le soir, rentrant tard comme
dhabitude, cest à peine si le père remarqua la nouvelle allure
dAudrey. Il lui dit distraitement que ça lui allait très bien et se retira pour
travailler.
Nicole dormait déjà lorsquil vint se coucher. Pourtant elle avait eu beaucoup de
mal à sendormir, pensant à lhistoire de sa fille, lhumiliation
quelle avait subie, la
peur quelle avait ressentie. Et maintenant, ses cheveux ras qui lui donnaient
lair dun garçon.
Nicole à cette idée navait pu sempêcher de se passer la main dans les
cheveux. comme Audrey - enfin, Audrey jusquà aujourdhui - elle avait
dadmirables cheveux lisses, épais, taillés droit au milieu du dos. Comme Audrey,
elle avait les yeux bleus, mais ses cheveux à elle étaient très noirs, très brillants,
ce qui lui donnait un charme rare. Malgré ses trente-huit ans, elle navait jamais
eu envie de les couper.
Elle les coiffait le plus souvent en un lourd chignon, ramassé sur la nuque ou bien
relevé pour dégager le cou. En vacances elle préférait les laisser librement lui
balayer le dos. Et voilà quelle simaginait à la place dAudrey,
suppliant le vigile de la laisser partir, dépargner sa chevelure ... Quelle
angoisse et quelle honte la pauvre gamine avait dû éprouver. Comment sy était-il
pris ? Ciseaux, tondeuse ?
Ca ressemblait à du travail de professionnel. Elle sétait à nouveau nerveusement
passé la main dans les cheveux.
Le lendemain au petit déjeuner, Audrey avait lair assez abattue. Sa mère
discrètement lobserva, passant plusieurs fois derrière elle pour regarder sa nuque
frêle et douce.
Plus tard, elle se regarda dans la glace et se tira les cheveux en arrière pour essayer
de simaginer avec les cheveux courts, elle les releva pour observer sa nuque ...
Dans laprès-midi elle interrogea encore Audrey pour essayer de savoir dans quel
magasin ça sétait passé, et à quoi ressemblait le vigile. Audrey, à cent lieues
dimaginer le trouble profond qui sétait emparé de sa mère, répondit
docilement aux questions mais finit par fondre en larmes dans les bras de Nicole, qui eut
beaucoup de mal à la consoler.
Elle avait profité de la situation pour passer sa main sur la nuque lisse et les courts
cheveux soyeux de sa fille, ce qui lavait encore plus troublée.
Dès le lendemain, Nicole commença à rôder dans le magasin. Elle neut aucun mal
à repérer le vigile. Il y en avait quatre, mais lui travaillait laprès-midi. Elle
le vit la surveiller tandis quelle examinait de la lingerie. Elle avait mis une
petite robe dété, dénoué ses cheveux et ne paraissait pas plus que trente ans.
Elle samusa à passer très près de lui, pour quil sente le parfum de sa
chevelure. Elle revint plusieurs jours de suite.
Chaque fois quelle voyait le vigile, elle sentait ses jambes qui tremblaient, elle
limaginait les ciseaux à la main, prenant une de ses mèches de cheveux pour la
couper.
Le soir, seule dans son lit, elle se caressait plusieurs fois avant de pouvoir
sendormir.
Ca ne pouvait pas durer. Elle décida un matin que le jour du sacrifice était venu.
Elle shabilla et se maquilla avec soin, tailleur chic, escarpins, se coiffa en un
lourd chignon enroulé très tiré en arrière, mit des boucles doreilles, un
collier, des bracelets, et des bagues. Dessous elle avait mis une culotte et un
soutien-gorge en dentelle blanche, avec des bas et un porte-jarretelles, blancs eux aussi.
Elle attendit laprès-midi avec angoisse et impatience, décidant cent fois de
renoncer à son projet absurde et fou.
Avant de sortir elle mit des gants.
Elle avait décidé de voler du parfum. Elle sassura discrètement que le vigile la
surveillait, jeta un regard autour delle, il sétait dissimulé, puis après
quelques secondes elle mit un flacon du parfum le plus cher dans son sac. Elle flâna
encore quelques moments dans les rayons puis se dirigea vers la sortie. Son cur
battait à tout rompre.
Cest là que son destin se jouait : si elle se dirigeait vers les caisses, rien ne
lui arriverait. Mais la sortie « sans achats » lui tendait les bras.
Elle hésita puis sa démarche se raffermit et elle sortit.
« Madame, sil-vous-plaît. »
Le vigile avait surgi brutalement et lui barrait le passage. Elle pâlit ; cette fois ça
y était, elle était piégée.
« Je suis désolé, mais je dois vous demander douvrir votre sac. »
Comme elle restait paralysée, il ouvrit lui-même le sac, en sortit le flacon.
« Vous avez un bon de caisse pour ceci, Madame ? »
Elle fit non de la tête.
« Veuillez me suivre. »
Quelques personnes lobservaient et elle suivit immédiatement le vigile, pour
échapper aux regards curieux. Le bureau était petit, et Nicole se demanda si
cétait là quAudrey avait eu les cheveux coupés. Maintenant elle avait peur
et regrettait son geste.
Le vigile avait lair gentil pourtant, il sétonnait quune femme que sa
tenue laissait supposer sans problèmes financiers vole du parfum. Il lui expliqua
quil lavait vue et que de toutes façons une caméra avait enregistré la
scène. Tête basse, elle navait encore rien dit. Il continua:
« Je devrais appeler la police. Mais vous mêtes sympathique. On peut
peut-être sarranger autrement. »
« Vous voulez de largent ? Je vous payerai dix fois le prix du parfum. »
« On verra. Je veux dabord votre carte didentité, Madame. »
Il la prit pour noter des choses sur un formulaire. Tout à coup il fronça les sourcils
et réfléchit. Il sortit des papiers et murmura :
« Tiens, tiens. Voilà qui est intéressant. »
Après un silence, il regarda Nicole dans les yeux et dit:
« Cest curieux, jai là le dossier dune jeune fille qui porte le
même nom que vous. Son prénom est Audrey ... Une voleuse, comme vous. Une jeune fille
qui avait lair de sortir dune bonne famille pourtant. Dune famille
bourgeoise. »
Le cur de Nicole se mit à battre à tout rompre. Elle ny avait pas pensé.
Et maintenant quallait-il se passer ? Il allait deviner quelle était venue en
toute connaissance de cause.
Elle essayait de garder une contenance, mais elle sentait que son visage en feu la
trahissait.
Paniquée, le regard baissé, tripotant nerveusement la fermeture de son sac, elle se
sentit totalement prise au piège. Mais nétait-ce pas ce quelle était venue
chercher ici, après tout ?
Elle se sentait les jambes en coton, une drôle de chaleur dans le bas-ventre, et une
confusion totale dans ses sentiments. Le vigile laissa volontairement se prolonger le
silence pesant. Puis il se leva et sapprocha de Nicole. Il tourna autour delle
avant de lui dire doucement : « Défaites votre chignon, Madame,
sil-vous-plaît. »
Il lobserva dénouer ses cheveux, et vint y plonger une main autoritaire, tout en
lui disant :
« Ils sont aussi doux que ceux dAudrey. Et plus épais. Un peu moins longs,
mais plus épais. Et très brillants. »
Nicole honteuse baissa la tête mais il la lui releva en tirant dun coup sec, lui
arrachant un cri de douleur.
« Est-ce quAudrey ta raconté exactement comment ça sest passé ?
Je nen suis pas sûr.
Mais moi je vais tout te raconter. Elle sest déshabillée devant moi et elle a
enfilé des bas et un porte-jarretelles que je lui ai donnés. Elle a des petits nichons,
ta fille, cest pas comme toi. Elle sest mise à genoux et jai commencé
à lui couper les cheveux.
Tu penses bien que jen ai profité pour me faire sucer. Après jai passé la
tondeuse, et le rasoir dans la nuque. Et puis je lui ai rasé sa petite chatte blonde et
je lai baisée.
Elle était debout, penchée en avant sur ce bureau que tu vois là. Elle nétait
plus vierge. Mais comme je nai pas mis de préservatif et quelle ne prend pas
la pilule, je lai peut-être bien mise enceinte. En tous cas elle en avait peur et
narrêtait pas de me demander de ne pas jouir en elle. Mais cétait trop
bon. »
Nicole écoutait avec horreur le récit du vigile. Mais son trouble augmenta encore quand
il lui
demanda brusquement :
« Et toi, pourquoi es-tu venue ? »
Heureusement, avant quelle ait réussi à rassembler ses esprits pour bredouiller
une réponse forcément humiliante, le téléphone sonna.
Après avoir raccroché, lhomme dit :
« Tu vas avoir un peu de temps pour méditer ta réponse. Je dois retourner au
magasin. Viens par ici. »
Il la fit entrer dans un petit cagibi attenant au bureau et asseoir sur une chaise. Il lui
menotta les poignets aux barres du dossier. Après quoi il déboutonna tranquillement son
chemisier et palpa quelques instants sa grosse poitrine. Nicole fermait les yeux. Elle
sentit les mains du vigile venir sous sa jupe pour tirer sur sa culotte. Elle dut soulever
les fesses pour quil puisse la lui baisser jusquaux chevilles. Il avait bien
sûr remarqué les bas et le porte-jarretelles. Il prit encore Nicole par les cheveux et
lui ordonna de le regarder.
Affolée, apeurée, elle lentendit lui dire :
« Ne tinquiète pas, je ne toublierai pas. Je reviendrai pour te tondre,
parce que cest pour ça que tu es venue. Et je te baiserai bien. La mère après la
fille, cest excitant. Je verrai laquelle suce le mieux. »
Avant de partir, il écrasa sa bouche sur les lèvres de Nicole, pour un baiser court et
brutal.
Il sentit des larmes brûlantes couler sur les joues de sa victime, ruinant son
maquillage. Il labandonna ainsi, attachée à la chaise, chemisier entrouvert,
culotte aux chevilles, cheveux défaits ; il sortit et referma la porte du cagibi à clé
derrière lui, ainsi que celle du bureau.
Seule, honteuse, humiliée, excitée, Nicole attendit son retour avec angoisse et
impatience, pendant ce qui lui parut être des heures. Comme depuis un an environ Antoine,
son mari, ne sintéressait plus à elle, mais quelle navait pas envie
davoir des liaisons, sa vie sexuelle sétait bornée depuis lors à des
masturbations épisodiques, devenues beaucoup plus fréquentes depuis la mésaventure
dAudrey. Et il y a six mois, lorsque son médecin lui avait dit quil faudrait
remplacer son stérilet, elle avait décidé de le faire retirer. Elle se disait
maintenant
que peut-être, comme sa fille, elle allait être engrossée par le vigile.
Mais le désir de faire lamour de manière inattendue, après un an
dabstinence, même dans ces conditions humiliantes, et le trouble de savoir que sa
chevelure allait être coupée comme elle en
rêvait secrètement depuis plusieurs jours, quelle allait même être tondue,
lemportaient sur
la peur, peur de ne pas savoir exactement ce qui allait se passer au retour du vigile,
peur de
ne pas savoir très bien comment elle réagirait, peur dêtre enceinte, peur
dun scandale...
Et quest-ce qui allait se passer sil se révélait quAudrey aussi était
enceinte ?
Comment expliquer tout cela à Antoine ? Nicole serra les cuisses sur son sexe en émoi.
Elle avait tellement envie de faire lamour !
Enfin il revint. Il lui détacha les poignets de la chaise et la mit debout. Il retira la
veste du tailleur et le chemisier déjà déboutonné. Nicole se laissait faire
docilement. Ensuite il lui rattacha les mains dans le dos. Il la prit par les cheveux pour
la tirer dans le bureau, elle le suivait difficilement à cause de sa culotte toujours aux
chevilles.
Sur le bureau elle vit une tondeuse étincelante et une perruque noire.
« Cest pour ça que tu es venue, hein petite vicieuse ? Cest à ça que
tu as pensé sans arrêt depuis que tu as vu ta fille avec les cheveux coupés à ras
? »
Le vigile avait pris la tondeuse et lagitait devant le visage de Nicole.
« Cest avec celle-là que je me suis occupé dAudrey. Mais toi, ma belle
bourgeoise, je vais te tondre complètement. Je ne te laisserai même pas un millimètre
sur le crâne. Ce sera très excitant. »
Il ouvrit un tiroir du bureau et dit à Nicole :
« Regarde. »
Elle vit de longues mèches blondes, et il neut pas besoin de lui préciser que
cétait la chevelure dAudrey qui remplissait le tiroir. La main du vigile dans
ses cheveux la mit à genoux. Devant son visage elle voyait une bosse gonfler le pantalon.
Il descendit la fermeture éclair et sortit son sexe dur devant le visage de Nicole.
Tremblante de désir devant cette verge tendue vers elle, elle ne fit cependant pas un
mouvement, attendant un ordre ou un geste. Il prit sa queue et la frotta contre le visage
de Nicole qui les yeux clos savoura la caresse de cette chair dure et douce à la fois. Il
se caressa dans la chevelure noire, soyeuse, en poussant des soupirs de satisfaction.
Lorsquil posa son sexe sur les lèvres de Nicole, elle les serra pour donner à
lhomme limpression quil allait devoir prendre sa bouche de force. Il
enfonça brutalement sa main
dans la chevelure épaisse, Nicole poussa un petit cri, et dune poussée il viola la
belle bouche qui lui était offerte. Elle aurait voulu se caresser en même temps
quelle le suçait ; elle fit aller et venir régulièrement sa bouche sur la tige
luisante, et lui, constatant sa docilité, lui relâcha les cheveux, tout en comparant
favorablement sa technique à celle dAudrey.
Sans quelle le voie, il prit la tondeuse électrique. Le vrombissement du moteur
suscita en elle une vague de panique, mais elle se força à continuer à sucer, en se
disant :
« Voilà, ça y est, cest ce que je voulais, je vais être tondue, tondue,
tondue ... »
Le sexe dans sa bouche, sur ses lèvres, dans sa gorge, lui rappelait de délicieuses
sensations depuis longtemps oubliées. Un grand frisson la parcourut lorsque le vigile
posa la tondeuse sur son front et dun seul coup creusa un sillon dans
lépaisseur de la belle chevelure sombre, rejoignant la nuque en faisant tomber sur
les épaules, les cuisses et le dos de Nicole une pluie de lourds cheveux soyeux. Pour
montrer sa soumission, elle sappliqua à aspirer doucement le gland entre ses
lèvres en lentourant de sa langue. Si ses mains avaient été libres, elle lui
aurait caressé les couilles et les fesses. Lhomme savoura un moment les caresses de
Nicole, puis reposa la machine sur la tempe de la bourgeoise docile agenouillée devant
lui. De nouvelles mèches tombèrent sans bruit, effleurant une dernière fois le corps
presque nu de Nicole, dont la chatte liquéfiée palpitait. Ses mains essayèrent
datteindre son sexe par derrière, mais il le remarqua :
« Te touche pas, petite salope. Tu jouiras quand je te baiserai, pas avant.
Cest que tu aimes te faire tondre, hein ? Ca ta travaillée depuis que tu as
vu ta fille revenir à la maison avec les cheveux ras, pas vrai, espèce de voleuse
? » Nicole le regarda dans les yeux sans cesser sa fellation, et fit oui de la
tête. Toute honte oubliée, elle reconnaissait ainsi quelle était venue pour ça,
pour être tondue, et baisée aussi, au fond delle-même elle le savait avant de
venir, que le vigile la prendrait, la baiserait...
Sentant le plaisir approcher, lhomme posa la tondeuse et empoigna Nicole par les
oreilles pour
prendre sa bouche de plus en plus vite, de plus en plus loin, malgré les hoquets et les
soubresauts
de la pauvre Nicole qui sétranglait sur la grosse queue qui lui remplissait la
gorge. Le sperme épais et abondant jaillit sur sa langue et elle le but avec honte et
ravissement. La bouche de Nicole resta un long moment immobile sur le sexe ramolli de
lhomme qui venait de jouir.
Puis il sortit lentement sa queue luisante dentre les lèvres qui lavaient
accueillie. Il reprit la tondeuse et dit :
« Hmmm tu fais moins de chichis que ta fille pour avaler le foutre. Bon, on va en
finir avec tes cheveux, ça va me faire rebander et je te baiserai après. »
Il tondit rapidement Nicole qui sentait ses cheveux tomber de tous les côtés. La belle
frange noire, quelle prenait régulièrement soin de faire couper bien droit par sa
coiffeuse, disparut en dernier, couvrant les joues de Nicole de petites mèches. Quand son
crâne fut tondu bien à ras, il lenduisit de mousse à raser et affolée elle
sentit le contact du métal froid sur sa tête. Il la rinça et lessuya et elle
ressentit de manière extraordinaire le contact des mains du vigile directement sur la
peau, maintenant totalement nue et lisse, de son crâne.
Devant elle la queue à nouveau dure se balançait, et delle-même elle la prit
doucement entre ses lèvres. Lhomme la sortit un instant de la bouche de Nicole,
pour la promener sur son crâne, ce qui lui donna la chair de poule. Puis il la releva et
lembrassa longuement tout en lui caressant la tête. Il lui fit signe de se pencher
sur le bureau. Elle dut écarter les jambes autant quelle le pouvait avec la culotte
aux chevilles. Il dégrafa le soutien-gorge pour caresser les gros seins dont les pointes
étaient déjà dressées. Et dun coup il senfonça en elle. Nicole poussa un
long gémissement et se cambra pour mieux sentir en elle ce pieu quelle attendait
depuis si longtemps.
Immédiatement un orgasme fulgurant la terrassa. Elle poussa un grand cri et
sécroula sur le bureau, la queue du vigile plantée en elle. Il attendit quelques
instants quelle ait repris ses esprits pour lentement aller et venir dans sa chatte
humide de désir mais encore bien serrée par une longue abstinence. Il lui murmura à
loreille :
« Cest bon hein ? Cest dans cette position que jai baisé ta
fille, Audrey. Et que je lui ai répandu mon sperme dans sa petite chatte rasée de frais.
Que je lai mise enceinte.
Ca texcite, petite vicieuse. Tu es trempée. Je vais encore te faire jouir, tu vas
voir.
Tu prends la pilule? »
Nicole fit non de la tête.
« Non ? Alors quest-ce que tu utilises comme contraception ? »
« Je ... Rien. Ne jouissez pas en moi, je vous en prie. »
« Ah non, cest trop bon dans ta chatte. Je vais te faire un bébé, comme à
ta fille.
Un demi-frère. Le bébé que je vais te faire sera le demi-frère du bébé
dAudrey. »
Nicole faisait non de la tête mais son sexe vibrait de plaisir sous les coups de queue.
Elle eut encore plusieurs orgasmes violents avant que lhomme ne jouisse à son tour
en gémissant :
« Tiens, prends mon sperme. Tu le sens tout au fond de ton sexe ? Tu le sens couler
en toi, au plus profond de toi. Je te fais un enfant, là. »
Nicole, parcourue de frissons et de spasmes, des sanglots dans la voix, râlait de
plaisir, tondue, humiliée, violée et engrossée par un homme qui une semaine auparavant
avait fait subir le même traitement à sa propre fille, Audrey.
Il se retira delle et la fit mettre à genoux pour quelle nettoie à petits
coups de langue son gros sexe baveux. La bouche et les lèvres dociles de Nicole le firent
rapidement rebander, et une deuxième fois il la prit, une deuxième fois il lui inonda de
sperme le vagin.
Pantelante, le sexe clapotant, elle jouissait violemment en tremblant de la tête aux
pieds.
Elle se sentait entièrement prise par cette bite épaisse. Il caressa le triangle noir,
frisé, brillant de Nicole et lui dit :
« Finalement, ça je te le laisse. Ca fera un contraste avec ta tête
tondue. »
Il lui détacha les mains, et tout de suite elle les porta à sa tête pour caresser sa
peau incroyablement lisse et nue. Il lui tendit un miroir et Nicole se trouva belle,
troublante et impudique.
« Tu ne te feras plus de chignon avant longtemps. » lui dit le vigile en
riant.
Après sêtre rhabillée, elle mit la perruque, qui ressemblait à la chevelure
mutilée gisant par terre. Le vigile lui fit ramasser à quatre pattes les longues mèches
noires qui rejoignirent les cheveux dorés dAudrey dans le tiroir.
Le soir, le mari de Nicole ne remarqua rien.