Cétait enfin le grand jour. Jétais assis au restaurant en face delle qui me regardait les yeux dans les yeux.
Béatrice venait davoir 28 ans et était plus belle et désirable que jamais. Jallais enfin pouvoir lui avouer mon désir pour elle maintenant quelle avait quitté son mec.
Cétait une superbe blonde aux cheveux très longs et je rêvais secrètement depuis toujours de lui faire lamour après lui avoir coupé ses si beaux cheveux
A cet instant, même si mon désir était intense (et très présent) je ne pensais pas pouvoir réellement arriver à mes fins avec elle. Peut-être voudrait-elle de moi comme amant mais accepterait-t-elle de sacrifier sa chevelure par amour ?
Au vu de la discussion qui sétait amorcée et des regards langoureux que nous nous échangions, il semblait de plus en plus clair en tout cas que nous allions passer la nuit ensemble Mais serait-elle prête à accepter tous mes fantasmes ? Il fallait que je le sache
- Tu sais ce que jaimerais ma chérie ?
- Non ? Dis-moi
- Cest à dire que cest un peu délicat je ne sais pas trop comment te le dire..
- Je vais taider Jean-Claude : tu veux coucher avec moi. Et bien écoutes, je vais te rassurer, je ne suis absolument pas contre..
Bien entendu, jétais déjà terriblement troublé par cet aveu. Jallais enfin faire lamour avec cette fille sublime qui hantait mes rêves depuis si longtemps
- Cest merveilleux mon amour, lui répondis-je, jai envie de toi depuis si longtemps
- Je sais, me dit-elle dans un sourire sans équivoque quant à ses intentions
Je me penchais en avant et, en lui caressant doucement les cheveux, lembrassait tendrement et longuement. Puis, je lui murmurais à loreille :
- Jai terriblement envie de te faire lamour maintenant ma chérie. Ca te dérange si on zappe le désert pour aller chez toi tout de suite ?
- Au contraire jai très envie aussi tu sais
Je pouvais à peine cacher lexpression de mon désir et je savais quelle sen rendait compte. Je crois que jai rarement été aussi troublé Mes jambes tremblaient, mon cur battait la chamade
Je me rendis à la caisse pour régler laddition aussi rapidement que possible afin que nous puissions nous rendre dans son appartement, à quelques minutes de marche de là
Alors que nous nous dirigions vers notre petit nid damour, je nen tenais plus Javais envie de courir et de me jeter sur elle pour la prendre et lui faire lamour comme je ne lavais certainement jamais fait à aucune autre femme Et quelle femme !!
Je me permis finalement de tenter de lui parler de mon fantasme
- Je peux te poser une question mon amour ?
- Vas-y, je ten prie, quest-ce que tu veux savoir ? me répondit-elle doucement avec un ton terriblement sexuel
- Tu as déjà eu les cheveux courts ?
- Euh.. Non.. Cest marrant que tu me poses cette question.. Pourquoi ?
- Ben je trouve que ça tirait superbement bien . Ca te dirait que je te les coupe ?
- Euh (je la sentais terriblement gênée dun seul coup ) je ne sais pas ! Je je ne me suis jamais vraiment posé la question jai toujours eu les cheveux longs et je nai jamais envisagé de les couper un jour cest original comme idée je ne sais pas mais je ne crois pas que jai envie, tu sais, jai tellement lhabitude de les avoir longs ça me fait même bizarre den parler, tu vois, cest drôle ..
- Si je te demande ça, mon amour, cest parce que je rêve depuis que je te connais dêtre lhomme qui qui te couperas les cheveux Ca ne te déranges pas que je te dises cela ?
- Non, pas du tout mais disons que je ne mattendais pas du tout à ce que tu me demandes cela
Nous étions arrivés au pied de son immeuble. Elle composa le code, poussa la porte. Nous rentrâmes dans le couloir. Elle appela lascenseur, lair pensif
- A quoi penses-tu ma chérie ? dis-je, en prenant sa main et en caressant ses longs cheveux blonds
- Ben à ce que tu viens de dire Tu aimerais vraiment me couper les cheveux ?
- Jadorerais, mon amour, lui répondis-je en lui faisant un baiser langoureux
- Ecoutes me susurra-t-elle à loreille, fais-moi lamour et après on en reparle si tu veux
- Daccord ma chérie
Nous étions arrivés à son étage. Je pensais que mon cur allait rompre tellement il battait fort. Elle prit ses clés, ouvrit la porte et
Je refermais la porte derrière elle et la serrais dans mes bras. Nous commençâmes à nous embrasser langoureusement. Notre désir était énorme et je savais que ce que je venais de lui avouer navait fait quaccentuer nos émotions déjà intenses
Je commençais à la caresser très sensuellement. Elle fermait déjà les yeux Je la pris dans mes bras et la portait jusquà son grand lit. Elle me regardait, terriblement émue et emplie dun désir infini
Nous fîmes lamour pendant trois ou quatre heures Nous étions épuisés mais heureux. Jamais ni lun ni lautre navions vécu de moments aussi torrides. Nous étions tous les deux fous amoureux
Elle était allongée et avait posé sa tête sur mon épaule, son corps superbe entièrement nu et couvert de sueur était une merveille. Je mextasiais en la regardant, arrivant à peine à croire à ce qui nous arrivait
- Je taime, me dit-elle, la voix remplie démotions. Je crois que je nai jamais ressenti quelque chose daussi fort pour quelquun, tu sais, mon amour
- Moi aussi, je taime Béatrice, lui répondis-je en mapercevant quelle avait les yeux aux bords des larmes Ca va ma chérie, tu pleures ?
- Oui cest merveilleux je pleure parce que je taime.. je nai jamais été aussi heureuse
Je la pris dans mes bras où elle se blottit et vida toutes les larmes de son corps, des larmes de bonheur
- Tu te rappelles ce que je tai demandé tout à lheure, ma chérie ?
- Euh oui, oui pour pour mes cheveux, cest ça ?
- Oui
- Euh je ne sais pas je ne suis peut-être pas prête pour ça, tu sais ce nest pas que enfin ça me fait un peu peur, quoi tu veux vraiment me couper les cheveux ?
- (je ravalais difficilement ma salive) ce serait merveilleux que tu acceptes mon amour .
- Mais tu me les couperais comment ? Courts ?
- Oui. Enfin en fait, jaimerais jaimerais te les couper très courts ma chérie vraiment très courts à la garçonne tu vois ? un peu comme Jean Seberg
- Ohh je écoutes je ne sais pas déjà les couper jhésite mais si tu veux vraiment mes les couper si courts . Pfff . Ça te ferait plaisir, pas vrai ? dis-t-elle finalement dans un soupir
- Tu as des ciseaux dans la salle de bains ? osais-je dun seul coup lui dire
- Je mfff oui, ils sont dans dans larmoire de toilette
- Je lembrassais. Longtemps. Puis je lui dis : « je reviens, mon amour »
Elle me laissa partir et machinalement, passa la main dans ses longs cheveux Je la sentais terriblement excitée par ce quelle imaginait
Je revins quelques secondes après avec une paire de ciseaux à la main. Ce nétait pas des outils de coiffeur mais ils étaient suffisamment longs et fins pour réaliser une coupe tout à fait correcte..
- Tu es prête ma chérie, dis-je, balbutiant à moitié tellement jétais ému
- .
- Béa ?
- Bon puisque tu y tiens soupira-t-elle
Elle se leva et sassit au bord du lit. Ses cheveux descendaient jusquau deux tiers de son magnifique corps
Je me mis devant elle. Mon sexe était en feu. Je pensais avoir une éjaculation mais je parvins à me retenir. Je fermis les yeux, pris une longue mèches de ses cheveux entre mes mains et lui dit :
- Je veux que tu saches que je fais cela parce que je taime Béatrice Je taime comme je nai jamais aimé personne Je vais te couper les cheveux très courts, à la garçonne, en souvenir de cette nuit exceptionnelle tu es prête mon amour ?
- Ouuiii balbutia-t-elle dans un souffle en fermant les yeux
Les lames du ciseau se refermèrent sur lépaisse mèche de cheveux que javais pris dans mes mains.. CRIIISSS, CRISSS, CRISSS, CRISSS Je dus my reprendre à six fois avant de pouvoir couper la masse que javais prise Finalement, les lourdes mèches glissèrent sur ses épaules nues et tombèrent sur le parquet Je lui avais coupé juste au-dessous des oreilles, sur son côté droit Elle mit la main devant sa bouche et sécria : « Oh, mon Dieu ! »
- Embrasses-moi . Dis tu me feras encore lamour après ?
- Bien sûr ! lui répondis-je
Je lembrassais de nouveau et continuait à couper Les mèches volaient. Béatrice se mit à sangloter Javais une furieuse envie de la tondre entièrement . Mais je ne voulais pas lui avouer
Les ciseaux continuaient leur labeur. Je faisais rapidement le tour de sa si jolie tête. Elle avait maintenant un carré mi-court avec les cheveux qui sarrêtaient à hauteur de ses oreilles Une masse énorme de ses longs cheveux jonchait désormais le sol de la chambre
- Ca va mon amour ?
- (soupir) ça va
- Je continue alors ?
- continues maintenant que cest parti (elle réprima un sanglot)
Je pris quelques mèches en cherchant à les couper le plus près possible de la racine Snip, Snip, Snip
Javais lintention de lui couper vraiment très courts, quasiment à ras
Et cest ce que je fis
Je ne sais pas si Béatrice savait que jétais en train de la tondre littéralement, bien que cela ne fusse quavec des ciseaux, mais je pense quelle se doutait bien, au regard de la longueur des mèches quelle voyait tomber, que je ny allais pas main morte
Je prenais un plaisir infini à plonger ma main dans ses cheveux, à refermer mes doigts sur les ciseaux, à entendre leur crissement puis à voir apparaître son crane où ne demeuraient plus que quelques millimètres de sa magnifique toison Je regrettais de ne pas avoir une tondeuse sous la main mais dun autre côté, la coupe nen prenait que plus de temps et accroissait nos émotions à tous les deux
Je mattaquais maintenant à sa nuque, repassant plusieurs fois au même endroit pour couper vraiment à ras les cheveux de ma bien-aimée.
Au bout de plusieurs minutes, javais presque achevé la coupe : il ne restait plus à Béatrice que ses mèches de devant, encore assez longues.
Il me tardait de couper ces dernières pour achever louvrage
Je fixa son regard et lui dis :
- Ma chérie, cette fois, je vais vraiment couper TRES TRES COURT
- Je suis prête mon amour.. Je suis prête à tout .
Je memparais une nouvelle fois des ciseaux et mattaquais aux dernières mèches qui subsistaient sur son front Quelques instants après, Béatrice était entièrement tondue Pas plus de deux ou trois millimètres de ses magnifiques cheveux demeuraient sur sa tête .
- Voilà, jai fini, mon amour ! Tu es magnifique .
- Montres-moi
Je lui ramenai un petit miroir afin quelle admire le résultat
- Oh mon Dieu ! sécria-t-elle en posant sa main sur son crane, cherchant désespérément ses cheveux qui, bien entendu, étaient tous pratiquement rasés . Cest tellement court !!! Tu mas.. tu mas tondue
- Oui, mon amour, je tai tondue. Et je taime comme jamais
- Moi aussi je taime mais ça me fait vraiment une drôle dimpression
Béatrice mit moins dune semaine à shabituer à sa nouvelle coiffure. Depuis, nous nous sommes mariés et elle me demande régulièrement de lui couper les cheveux très courts Personnellement, je préfère attendre quils repoussent un peu pour prendre plus de plaisir avec elle
Récemment, jai acheté une tondeuse. Je lai bien entendu montré aussitôt à Béatrice en lui faisant bien comprendre quelle lui était destinée
elle navait pas lair franchement contre