MON FANTASME REALISE

En faisant un stage en entreprise, j’ai remarqué un homme de 30 ans qui ma tout de suite fait craquer. Mignon, cheveux bruns coupés très court, grand et yeux marron, mais surtout cool par rapport au autres hommes de l’entreprise. A 20 ans, vous êtes généralement attiré par des jeunes gens de votre âge, pour moi ce n’est pas le cas.

Très vite j’ai lié contact avec cet homme, cherchant à en savoir plus sur lui, voir si nous pouvions éventuellement avoir des points communs.

Moi c’est sa coupe de cheveux qui m’a fait craquer. J’aime les cheveux court et c’est un sujet sur lequel nous sommes tombés en accord.

- Apparemment tu n’aime pas les cheveux long Denis.

- Pourquoi dis tu cela ?

- J’ai remarqué que tous les 15 jours tu te les coupes.

- Oui, c’est vrai. Je préfère une coupe courte et nette.

- Mois je suis de ton avis. D’ailleurs je pense même à couper les miens.

- Ah bon ! et comment ?

- Je suis branché musique techno, lors je réfléchis à me couper les cheveux court.

- Tu veux vraiment te débarrasser de ta tignasse rousse ? ou tu fantasme ?

- Non j’y pense sérieusement.

L’heure de la pause est terminée, nous nous remettons au travail jusqu’au soir.

Le lendemain midi, nous déjeunons ensemble. Je profite de cette occasion pour approfondir mes connaissances sur Denis. Là j’apprends qu’il est divorcé et qu’il vit seul. Les jours passent et mon stage va bientôt se terminer. Il ne me reste plus qu’un mois. Je décide donc de tenter le tout pour le tout.

Un soir alors que nous quittions le travail je décide de lui proposer de prendre un pot. A mon grand plaisir il accepte et nous discutons beaucoup de moi et de mes études. Puis à un moment j’ai été directe avec lui, nous tournions trop autour du sujet.

 

- Denis, je te trouve hyper sympa. Alors serais-tu d’accord pour t’occuper de mes cheveux ?

- Je n’ai pas une grande pratique de la coiffure. A part me couper les cheveux à la tondeuse seul, je n’ai jamais pratiqué sur une autre tête.

- Moi je te le propose, sa te tente ?

- Si tu le souhaite vraiment, pourquoi pas.

Rendez-vous est pris pour le samedi suivant.

Arrivée chez Denis, j’ai droit à un accueil chaleureux. Autour d’un verre nous parlons du plaisir à avoir les cheveux court, ce que cela procure, etc…..

- Bon allez Gwenael, ce n’est pas le tout, mais je dois encore m’occuper de tes cheveux. Viens t’installer dans le séjour, le matériel est prêt.

Je m’assoie sur une chaise, puis Denis me couvre le reste du corps avec un grand drap blanc.

- Alors je te coupe quoi et comment ?

- Tu me fais une coupe en brosse, après on verra.

- Ok Gwen.

Le peigne commence à brosser sans délicatesse mes cheveux, tirant ma tête vers l’arrière, puis la main de Denis empoigne ces derniers formant une queue de cheval. Je ne vois rien de ce que peu faire Denis, seul les bruits son perceptibles.

J’entends le grincement du ciseaux qui entame péniblement la taille dans ma longue chevelure rousse.

- Tiens, voilà déjà une partie de tronçonnée.

Sur ces mots, la queue de cheval coupée est déposée sur mes genoux. Je la regarde longuement, pensant à ce que j’allais découvrir une fois la coupe terminée.

Pendant ce temps, les ciseaux continuent la taille sur les côtés, laissant tomber sur le sol de longues mèches. Cette constatation commence à m’émoustiller, je me sens bien et en début d ‘excitation.

- Je crois que maintenant je vais passer à la vitesse supérieure.

La tondeuse retenti dans la pièce. Je sens le sabot de la tondeuse se poser sur ma nuque, et à ce moment Denis me demande de pencher ma tête vers le sol. Le bruit de la tondeuse taillant mes cheveux est intense. Elle parcourt ma tête de bas en haut à plusieurs reprises, passant et repassant. Les cotés subissent le même sort, avec en plus le vombrissement grave de la tondeuse dans mes oreilles. A ces moments là je m’imagine des choses qui mettent en évidence mon état d’excitation. Je sens que ma chatte est en pleine lubrification.

- Je vais te montrer ce que cela donne Gwen.

Denis revient avec un grand miroir. Oh surprise, je suis métamorphosée, mes cheveux sont court et cela ne me choque pas, mais le changement est surprenant.

- Alors, comment trouves tu ta nouvelle coupe ?

- Pas mal.

- Moi je dirais plutôt bien pour une personne inexpérimentée.

- Oui, tu as très bien coupé, mais je trouve ça encore trop long.

- Tu veux que je raccourcisse un peu ?

- Non, enfin oui oui. Je veux simplement que tu m’enlève tout.

- Pardon ? Tout ? tu veux que je te tonde la tête ?

- Non, Denis, je veux que tu me coupe au plus court, sans sabot.

- Ok, si tu le veux vraiment. Tu pourras d’ailleurs observer ton déboisage en direct, je te laisse le miroir.

Immédiatement, la tondeuse redémarre. Denis la pose sur le haut de mon crâne et commence le fauchage. Je vois une large bande blanche se dessiner sur ma tête rousse, puis très vite le dessus de ma tête est taillé, ne laissant apparaître qu’un petit duvet roux. Ce spectacle, cette contemplation accélère ma tension, je ne peux m’empêcher de gigoter sur ma chaise tellement je suis stimulée. La tondeuse quant à elle, continue à déboiser ma tête, et je constate que Denis apprécies ce qu’il fait. La machine s’arrête.

- voilà, je ne peux pas faire plus court, sinon, c’est la boule à zéro.

- Non pour cette fois je vais en rester là. La prochaine coupe sera peut être la tonte totale, je vais y réfléchir.

- C’est vrai que les cheveux court te vont très bien. J e te trouve encore plus mignonne comme ça.

- Merci.

Je retire le drap, et me lève. Je passe une main sur ma tête et constate ce doux duvet. Le fait de caresser ma tête m’a électrisée, Je vais oser.

Je me tourne vers Denis et me jette dans ces bras. Mes mains prennent sa tête et ma bouche vient rejoindre la sienne. Nos langues se retrouvent immédiatement pour un long baisé.

- Tu crois pas que nous sommes un peu fous Gwen ?

- Non pourquoi, depuis le temps que j’attendais ça, et puis j’en ai trop envie.

Nos langues se retrouvent à nouveau, nos corps sont serrés l’un contre l’autre et je sens une bosse dans l’entre jambe de Denis, il n’est pas insensible, génial. Je décide de me dévêtir pour me montrer à Denis.

- Tu es trop belle ainsi Gwenaele. Ton corps ne laisse apparaître qu’une touffe de poils roux sur le sexe, je trouve ce spectacle enivrant.

- Alors prends-moi.

Nous avons fait l’amour durant je ne sais combien de temps, et le meilleur à été quand Denis en me prenant est venu de sa main caresser à rebrousse poil ma nuque déboisée.

 

 

 

GWENAELE 23 ANS.