AUX DESIRS DE CES DAMES

Alice est une superbe jeune femme de 27 ans , elle est garée sur un parking de supermarché où elle a rendez-vous avec un couple qu’elle ne connaît que par internet . Jeune fille déçue par de nombreux échecs sentimentaux ,elle a décidé de vivre une aventure purement physique , sans contraintes ni sentiments ,elle est sûre de trouver plus de plaisirs sur un plan basé uniquement question jouissances . Cependant elle était remplie d’angoisses et de craintes à l’idée de se livrer à un couple dont elle ne connaissait que les noms et adresses , bref rien du tout si ce n’est leurs penchants pour les cheveux courts , voire rasés et les situations de

soumission – domination ( qui vont bien sûr de paire ) . Hésitante , elle est là un soir du joli mois de mai dans une Fiat blanche attendant une Renault rouge . Il est 22h , la nuit commence à tomber , comme convenu dans un scénario conçu d’avance , surtout par elle , puisqu’il n’était question que de Ses désirs . Une Renault rouge s’approche , 2 courts appels de phares suivi d’un plus long , c’est le signal , c’est lui . Hésitante , il est encore temps de partir , elle se pose la question puis elle se jette à l’eau . Trop longtemps elle y a pensé , elle veut goûter à ces plaisirs qu’elle n’a jamais vécue . Alice se met un masque en velours noir , puisqu’il est convenu qu’ils ne doivent même pas voir leurs visages respectifs pour rester dans l’anonymat complet .Lui aussi porte un masque de velours noir . Rapidement elle ferme sa voiture , et monte à l’arrière de l’autre voiture .

« Bonjour Alice , heureux de te connaître , t’as fait un bon voyage ? » le ton est doux et la rassure aussitôt .

« Bonjour Alain , oui merci mais ce fut un peu long , 400 kms …»

Il se penche vers l’arrière lui prend doucement les deux mains et les attachent solidement avec une lanière ,en tissu pour ne pas lui blesser les poignets et puis lui bande les yeux avec un foulard . De ce fait , il peut enlever son masque pour ne pas attirer l’attention en conduisant . Alice s’abandonne sur le siège . Elle se dit : « ça-y-est , plus question de faire marche arrière » . Son cœur bat très fort ,les yeux bandés et les mains entravés , Alice se sent à la merci de cet homme dont elle ne connaît rien en fin de compte , tout peut lui arriver , les plus grands plaisirs comme les plus grands malheurs , bien qu’un peu angoissée elle s’abandonne au balancement de la voiture.

Après 20 minutes de route , la voiture s’arrête , la portière s’ouvre ; une douce voix féminine :

« bonjour Alice ,je suis Patricia , ça va ? »

« oui ,oui …bonjour » soulagée et rassurée d’entendre le timbre chaud d’une femme .

Patricia aide Alice à descendre de voiture en la tenant par les bras toujours attachés . A l’intérieur de la maison , elle lui délient les mains . Elles se trouvent dans la salle de bains . Patricia ,qui porte aussi un masque rouge lui dit : «  après 400 kms de voiture ,je pense que t’as envie de prendre une douche ou un bain, prends ton temps , nous avons tout le week-end , après tu remets ton masque et tu nous appelles on passera aux choses sérieuses  ».

Une demi heure plus tard ,Alice prend un masque noir ,préparé avec 3 bouts de scotch double-face , pour ne pas gêner les cheveux et signale qu’elle est prête . Patricia entre , le ton a changé :

« bon , à partir de maintenant tu n’as plus qu’une seule chose à faire : obéir , laisses toi aller , ne t’occupes plus de rien ,on te dira tout ce qu’il faut faire mais si tu n’obéis pas , tu seras punie , d’accord ma chérie ? »

Patricia , moulée dans une combinaison de cuir noir ,très échancrée sur le devant ,ajustée comme un gant , une fermeture éclair dans le dos de la nuque à la chute des reins ; Ses seins gonflent la combinaison , prête à éclater qui se termine à mi-cuisses de ses longues jambes qui plongent dans de hautes bottes de cuir souple .

Ses cheveux d’un noir jais sont coupés en un carré plongeant très court ,un carré à partir du lobe de l’oreille et remontant vers la nuque jusqu’à une hauteur de 10 centimètres , lui dégageant ainsi toute la nuque qui est proprement tondue , ne lui laissant qu’un doux pelage de 4-5 millimètres de long ,derrière les oreilles et sur toute la nuque . Sa frange est coupée tout droit à moitié du front . Cela lui donne une charmante petite tête ovale posée sur un corps de Déesse , un hymne à l’amour irrésistible à cent lieues à la ronde pour tout être humain ou non .

Dans la main de Patricia , une cravache de cuir marron , qu’elle tapote impatiemment . A l’aide d’un ruban adhésif elle ferme les 2 ouvertures des yeux du masque d’Alice : 

« tu n’as pas besoin de voir quelque chose , fais ce qu’on te dit c’est tout ma p’tite chérie, lèves les bras »

« oui Maîtresse » docilement Alice soulève les bras . Elle est complètement nue .Du haut de ses 1m71 , elle paraît très grande vu ses magnifiques proportions corporelles Des p’tits seins en forme de poires surmontent un ventre plat qui annonce le triangle de vénus , temple d’adoration comme posé sur 2 fines et graciles jambes .

Patricia lui met un corset de cuir rouge , en serrant les lacets de toutes ses forces , elle s’aide du genou .

Le corset descend jusqu’à la naissance du pubis et rehausse solidement les seins dont les tétons restent libres .

Puis Patricia l’entraîne hors de la salle de bains vers une autre pièce où trône un grand fauteuil en cuir noir devant un miroir immense qui occupe une bonne partie du mur , au-dessus d’un plan de travail en marbre rose . Le regard d’ Alice reste figé sur les nombreux ustensiles : ciseaux , rasoirs mécanique ,tondeuses avec sabots , rasoirs coupe-chou , peignes …

Docile ,elle se laisse faire en savourant . En secret elle apprécie tellement le fait d’être dirigée et manipulée .

Patricia fait asseoir Alice dans le fauteuil , lui prend délicatement la main droite , la pose sur l’accoudoir , enroule une lanière de cuir deux fois autour du poignet et l’attache solidement à l’accoudoir en serrant très fort .Puis le poignet gauche ,à son tour , est placé et ficelé avec force à l’accoudoir . Patricia prend un collier de cuir , large de 10 centimètres , lui enroule autour de son cou , long et fin , et ferme les deux lanières ornées de boucles autour du montant du repose-tête . Elle les serrent à la limite de la suffocation . Ensuite la première cheville est ligotée d’une large sangle au coté du repose-pied ainsi que la deuxième . Patricia serre deux larges sangles à mi-cuisses . Et pour terminer elle attache encore une lanière sous le bras droit et l’épaule , ainsi que sous le bras gauche et l’autre épaule , bien sûr solidement . Alice littéralement saucissonnée , ne peut bouger d’un millimètre , les yeux bandés , le cou rigide , le corset qui la comprime , tous les membres solidement attachés , elle ne peut que subir sans rien décider de son sort ; Totalement livrée à des étrangers , elle semble docile et résignée ; pourtant elle est tiraillée entre des sentiments de panique , de plaisir et de soumission .

Patricia avec un sourire un peu narquois :

« alors , qu’est ce que ce sera pour Mademoiselle ? une petite coupe de cheveux ? juste couper les pointes ? »

Alice : « heu… comme convenu … mais pas trop trop court … »

Patricia : « tu en es sûre ? mais maintenant que tu es là , bien attachée , je peux faire ce que je veux , et si je te rasai complètement le crane ? la boule à zéro ? la tête complètement tondue ? tu veux sentir le rasoir sur la peau de ton crane ? les vibrations de la tondeuse sur ta nuque et tes tempes ? Allez dis-moi ma p’tite chérie ! !»

Alice commence vraiment à paniquer : « Noon ! pas ça ! je ne veux pas ! ! pitié ! ! noon pas mes cheveux ! … »

Patricia : « dis-moi ,cela te fait quoi comme effet ,le fait de savoir que tu vas être complètement tondue ? ?  »

Alice commence à être secouer de longs sanglots et aussitôt de vrais larmes coulent sous le masque .

Les ciseaux

Patricia , sans se soucier de ses larmoiements, prends une paire de ciseaux dans sa main et de l’autre elle saisit une pleine main , de ces longs cheveux blonds avec une nuance de roux qui donne ce charme fou à cette longue cascade blonde. Elle tire fortement vers elle cette mèche du front d’Alice qui ,sous la douleur, lâche un petit cri :  « AH ! noon ! arrêtes pitié…Maîtresse…» en sanglotant .La tête sévèrement tirée vers l’avant , le collier lui comprime le cou . Mais une vague de chaleur commence à naître dans son petit abricot et lui remonte

doucement jusqu’au fond de la gorge ,elle se sent humiliée et soumise et ,bon dieu ! qu’est ce qu’elle aime ça !

Patricia place les ciseaux à 4-5 centimètres du crane et avec une lenteur voulue elle referme les lames sur une première mèche ,qui tombe sur les cuisses d’Alice , à sa place se redresse une touffe de cheveux courts qui se hérissent . Elle saisit une autre mèche juste à coté et les lames se referment en crissant sur une touffe , après une troisième mèche ,de toute la belle frange d’Alice il ne reste que quelques touffes qui pointent au-dessus de son front agrandi et blanc puisqu’il n’avait jamais vu le soleil . Souvent elle fait bien claquer les ciseaux et les tapotent sur le peigne aux oreilles d’Alice qui en ayant les yeux bandés se sent encore plus soumise et livrée à sa volonté . Elle continue , avec délice , sur le dessus du crane qui bientôt ressemble à un champ de blés fraîchement coupés à ras et hirsutes . A chaque fois , les mèches sont tirées sévèrement , arrachant un petit cri de douleur mélangé de plaisir à sa victime , avant que ne se redresse un épi de cheveux drus ; pendant qu’Alice sent au fur et à mesure les lames froides sur la peau du crâne , la touffe de cheveux tirée jusqu’à la douleur , le soulagement des lames faucheuses puis les mèches coupés qui tombent sur ses épaules ou son visage pour terminer sur ses bras et sa poitrine où sa peau est rendue hyper-sensible par le plaisir d’être ainsi manipulée et maltraitée .

Patricia : «hum ! si tu te voyais , quel massacre ! mais franchement dit , moi j’adore ce style ma p’tite poupée »

D’une main ferme , elle force la tête d’Alice à s’incliner du côté gauche afin d’entamer sa tempe droite .De la main gauche elle coince une mince touffe de cheveux entre le majeur et l’index .En tirant avec force cette bande de cheveux elle la coupe au ras des doigts ,laissant ainsi à chaque fois une rangée de piquants . Puis elle continue au-dessus de l’oreille qui en peu de temps est aussi raccourci que le dessus du crane . Après avoir forcé sa tête du coté droit , le même carnage ravage l’autre côté du crane . En lui inclinant , avec énergie , la tête vers l’avant , elle savoure chaque mèche de sa nuque qu’elle soulève de la lame où vient se refermer la deuxième en tranchant avec un long bruit agréable à ses oreilles . Après la nuque réduite à quelques épis de cheveux courts et drus , elle remonte vers le vertex puis termine le haut du crâne en réduisant chaque mèche à quelques centimètres .Patricia se recule pour admirer le tableau ; Alice , entravée de toutes parts sur le fauteuil , les yeux bandés , sa magnifique chevelure blonde longue et brillante réduite à des touffes courtes et inégales , qui entourent le crâne et forment comme une petite couronne de pointes hirsutes ,encadrant un visage fin d’un ovale parfait .

Alice essaie , sans succès , de remuer sous les vagues de plaisir qui la submergent du fond de son pubis jusqu’au dernier cheveu et poil .

La douce tondeuse

Patricia la saisit par les courts cheveux lui restants et lui dodeline énergiquement la tête de droite à gauche :

 «  Ah ! si tu te voyais , ma p’tite chérie , mais ne t’en fais pas ,la caméra tourne ,tu pourras apprécier le spectacle . Mais maintenant il va falloir égaliser ces cheveux de toutes les longueurs . Pour cela je vais te tondre avec un sabot de 12 mm . Pour commencer ! »

Alice : « Noon ! c’est trop court ! je ne veux pas , pas si court ! pitié ! je ne veux pas être tondue ! Maîtresse , je t’en supplies , je ferai tout ce que tu veux ! mais pas ça ! je ne veux pas avoir la tête rasée ! tout ce que tu veux mais pas le rasoir sur mon crâne , je serai ton esclave , ton objet , ta chose ,mais ne me tonds pas ! s’il te plaît .»

Alice est secoué par les sanglots , tout son corps se contorsionne et ses liens lui infligent des douleurs dans tous ses muscles :« noon pas ça .. mes pauvres cheveux , ils sont assez courts , pitié Maîtresse ! ne me fais pas ça !  »

Entre deux sanglots ,elle renifle bruyamment et ses larmes coulent de plus belle . Mais au fond d’elle même , cette situation de subir, de soumise et de dominée décuple le plaisir et les vagues de chaleur qui montent en elle.

Patricia « Mais si ma chérie , voyons ,tu sais très bien que tu vas adorer cela ,je vais te faire découvrir ta vraie nature ,tu m’en remercieras , des plaisirs pareils tu n’en as jamais connue ! d’ailleurs tu n’as pas le choix ! »

Patricia met un sabot de 12 mm sur la tondeuse . En enclenchant celle-ci ,elle l’approche de l’oreille d’Alice .

Entre deux sanglots ,Alice essaye encore de protester : « Noon , pas la tondeuse , pitié ! Maîtresse .. je ne veux pas être rasée…. » En réponse Patricia resserre le large collier qui lui comprime le cou sur toute sa longueur . Puis elle maintient fermement sa tête inclinée vers la droite ,ce qui augmente le sentiment d’impuissance d’Alice qui subit toutes ces manipulations . ( Pour augmenter la douce sensation du métal froid , Patricia avait mis les sabots sur des glaçons pendant quelques temps ) Dés que le métal froid du sabot touche la joue gauche , que les vibrations se répercutent dans son crane et le changement du bruit des lames qui coupent les premiers cheveux devant l’oreille , Alice ,submergée par toutes ses sensations ne peut plus protester , la respiration haletante , sa petite chatte inondée et ses tétons aussi dures que le cuir de son collier ne laissent aucun doute sur les résultats de toutes ces manipulations et effleurements . Les lames de la tondeuse ,dans un crissement un peu sinistre , saisissent les cheveux en les redressant , les fauchent en les faisant rebondir sur la main de Patricia pour retomber sur la joue puis les épaules d’Alice , après le passage du sabot les courts cheveux se redressent en un doux pelage court et dru . De la joue , les lames remontent vers les tempes jusqu’au haut du crâne .Patricia s’applique à appuyer avec vigueur pour qu’Alice les ressentent au maximum ainsi que les délicieuses vibrations qui lui massent agréablement les tempes et la peau du crâne . De l’autre main Patricia suit le passage du sabot , pour ressentir le piquant des cheveux fauchés qui se redressent . En repliant l’oreille elle entame le contour de celle-ci ,puis au-dessus de l’oreille . En lui inclinant la tête vers l’avant ,elle pose le sabot au bas de la nuque , et remonte vers le vertex pour terminer sur le haut du crâne . Au contact des lames faucheuses sur la nuque ,Alice tressaille en explosant de plaisir le souffle coupé par un si violent orgasme qu’elle croit ne pas y survivre .

Patricia : « tu vois ! si tu n’a jamais vécu cela , tu n’aurais pu te l’imaginer ma p’tite chienne . »

Elle passe la tondeuse soigneusement sur toute la nuque et recommence un deuxième passage . Alice petit à petit , recommence à reprendre ses esprits en respirant bruyamment Patricia lui incline la tête pour commencer le coté droit .A nouveau elle commence par la tempe pour remonter vers le haut du crâne , puis le tour d’oreille est dégagé et les cheveux au-dessus de l’oreille sont coupés . Elle passe la tondeuse sur la partie derrière l’oreille . Il ne reste plus que le dessus de la tête à tondre . Patricia applique le sabot sur le milieu du front , Alice se sent honteuse et humiliée , déjà le sabot éjecte les premiers cheveux coupés pour continuer à ravager le dessus du crâne jusqu’à l’arrière . Alice se dit « ça y est , me voilà tondue .. rasée .. » une petite larme se remet à couler . Patricia pose le sabot du coté gauche du front et les lames crachent les cheveux jusqu’à atteindre l’arrière de la tête .Puis le coté droit du dessus du crâne est passé par les lames de la tondeuse qui transforment les cheveux en un petit tapis court et piquant .Patricia pour être sûre d’avoir couper tous les cheveux à la même longueur , repasse la tondeuse sur tout le crâne . Puis admirative elle passe ses mains , lentement sur toute la tête ,insistant sur la nuque ,en appréciant le contact des cheveux courts et piquants , qui lui caressent la paume des mains en se redressant sur son passage . Alice apprécie de même ces sensations qu’elle n’a jamais connues ,surtout la nuque et les tempes et aussi cette légèreté qu’elle ressent au plus profond de soi-même .

Le visage d’Alice est entourée d’une fine auréole de cheveux blonds un peu roux et surtout courts et tous exactement de la même longueur ,le tout formant comme un doux pelage très court et un peu piquant lui arrondissant légèrement la tête . En résumé : un visage d’ange .

Après avoir laissé souffler Alice pendant cinq minutes , tout en ne pouvant s’empêcher de lui toucher et caresser la tête et parfois ses petits tétons ainsi que d’autres parties de ce corps qu’elle admire sans le dire .

Patricia : « Bon ,Alice tu es jolie avec ces cheveux coupés à 12mm ,éventuellement pour le dessus ,ça pourrait aller , mais il faut raccourcir les cotés ,les tempes et surtout la nuque pour ressembler à une coupe de cheveux,

alors je te propose de te tondre nuque et tempes à 6mm ? ça te va ma p’tite poupée ? »

Alice docile, et résignée à être encore tondue ,essaie de l’amadouer plutôt que de la contrarier ,se disant que de toute façon elle ne pourra plus rien y changer , à moins que ce ne soit encore l’humidité de ses entre-cuisses et les intenses plaisirs , nouveaux pour elle ,qu’elle a éprouvée mêlés de soumission , d’humiliation et de hontes .

« Oui Maîtresse , tout ce que tu veux , je suis ta chose , je t’obéis , fais de moi ce que tu veux , je veux te faire plaisir , ordonnes je t’obéirai , décides pour moi ,je te suis dévouée corps et âme , ton plaisir est mon plaisir . »

Un peu surprise , quand même , Patricia se surprend à commencer à l’admirer et lui dépose tendrement un baiser sur la bouche , en lui massant doucement la nuque . A son tour Alice est plus que troublée , répond délicatement à son baiser et se met à rougir .

Patricia , sur un ton plus que tendre :  « ma chérie , tu vas voir , tu sera ravie , les cheveux courts c’est tellement doux , tu ne peux pas être déçue , je suis si contente que tu apprécies et tu es si belle , je vais te couper les cotés , les tempes et la nuque à 6 mm ».

Alice ne sais plus si elle est déçue ou ravie ,mais en tout cas elle apprécie de pouvoir ressentir à nouveau la tondeuse sur son crâne , cette fois il n’y a pas de larmes en guise de réponse .

Patricia met un sabot de 6mm sur la tondeuse et pousse cette fois doucement la tête vers l’avant

«  penches ta tête ma chérie » le ton est doux et tendre .

Elle pose de suite le sabot au bas de la nuque et remonte lentement vers le vertex ; cette fois les lames coupent beaucoup plus courts et ne laissent après leur passage qu’un fin duvet clair . De l’autre main elle suit la tondeuse et apprécie encore davantage les cheveux qui se redressent plus courts , donc plus piquants que la première fois ;Cela lui procure un bien-être qu’elle n’a plus ressentie depuis longtemps .Le sabot remonte jusqu’au dessus du crâne en laissant derrière lui une bande très claire , laissant apparaître la peau par endroits.

Alice ,elle aussi ressent toutes ces sensations beaucoup plus fort, le froid du métal , les cheveux tirés puis soulagés de la légère traction ,la main plus présente qui suit avec les cheveux beaucoup plus courts ,plus drus qui piquent un peu plus et la fraîcheur sur sa nuque après la tondeuse . A l’unisson elles sont dans un accord parfait .Patricia pose à nouveau le sabot au bas de la nuque coté droit et remonte aussi lentement vers le sommet du crâne .Les mèches coupées virevoltent sur la main de Patricia puis sur les épaules d’Alice.

Elle repose le sabot 6mm au bas de la nuque coté gauche et remonte doucement jusqu’au sommet .

Patricia pose sa main sur la tête : « penches ta tête vers la droite mon p’tit bébé »

Obéissante Alice suit le mouvement et penche sa tête au maximum ,offrant d’elle même son crâne à tondre , comme pour un sacrifice

« Oh oui Maîtresse ,ne t’arrêtes pas ,c’est si bon ;Jamais je n’ai connu tellement de plaisirs , tonds moi encore la tête ,j’aime tellement ça …c’est si bon ….oh oui continues…»

Le sabot se pose devant l’oreille et remonte jusqu’au dessus des tempes , puis le contour d’oreille et tout le coté gauche est tondu ,il ne reste qu’un court pelage blond et dru. Les vibrations et le bruit de la tondeuse semblent se répercuter dans tous les os du crâne et jusqu’à la colonne vertébrale ,plongeant Alice dans des soubresauts de désirs et de plaisirs qu’elle n’essaie plus de retenir ,comme les petits cris et le souffle court.

La fraicheur et l’absence des délicieuses vibrations signalent à Alice que le coté gauche de sa tête est malheureusement déjà tondu . D’elle même elle penche sa tête de l’autre coté en poussant jusqu’à la douleur du collier rigide qui lui meurtri le cou . De toutes ses forces elle appelle la tondeuse.

Patricia commence à lui tondre la partie derrière l’oreille ;Pendant ce temps son autre main caresse la nuque ,les cheveux courts lui picotent la paume des mains et l’excite avec délice .Puis la tondeuse passe autour de l’oreille et sur la tempe ;Tout le coté droit , jusqu’au dessus du crâne est ainsi tondu et réduit à un court tapis de cheveux

brillants et épais . Consciencieusement Patricia repasse la tondeuse sur toutes les parties qu’elle vient de tondre : toute la nuque et les deux cotés est longuement repassé sous les lames de 6mm qui plient les cheveux

sur leurs passages et se redressent comme des petits piquants.

En admirant et en la caressant elle contemple le travail achevé : une mignonne petite tête auréolée d’une douce

fourrure blonde et brillante qui semble illuminer son grand front agrandi et un peu blanc à la racine des petits cheveux courts qui se hérissent .Le dessus de la tête porte un doux pelage de 12mm de cheveux clairs et courts comme des blés fauchés. Les cotés plus courts ,presque comme rasés à blanc ,paraissent un peu plus foncés dû à la peau qu’on devine sous les cheveux courts drus et piquants sous les deux mains de Patricia ,qui caresse longuement et tendrement toute la tête ,elle commence par le dessus de la tête pour continuer sur les tempes ,derrière les oreilles et sur toute la nuque ,du dessus de l’arrière du crane qui pique déjà jusqu’à la base de la nuque .Ces cheveux ,qui piquent et excitent la paume des mains de Patricia , plongent Alice dans des vagues de délices .Alice ,à la limite de l’explosion , se tortille et se contorsionne ,fortement maintenue par toutes les sangles et lanières de cuir.

Rasoir

Patricia se saisit d’un rasoir coupe-chou ,souvenir de son grand-père , elle l’ouvre comme un couteau et le place ,plié à 90° ,entre ses doigts expertes .Avec de l’eau elle mouille le bas de la nuque et le devant des oreilles. Elle pose sa main sur la tête de sa captive et la pousse vers la droite . Alice docile ,suit le mouvement ,fidèle à son rôle de victime .Du pouce Patricia tend la peau au-dessus des tempes ,elle place la lame effilée devant l’oreille et rase à blanc ; toute la patte est rasée très haut vers la tempe. Alice ,qui sent le tiraillement du rasoir sur sa peau et entend le crissement sinistre de la lame qui rase à blanc , ne peut retenir un petit cri de peur mêlé de plaisir .L’oreille est repliée et le rasoir passe sur la peau prés du pavillon et ensuite vers le bas de la nuque avec son crissement caractéristique .Patricia ,la main sur la tête ,pousse celle-ci vers l’autre coté. Du pouce elle tend la peau et rase la patte droite ,toujours très haut vers les tempes .Puis derrière l’oreille et jusqu’au bas de la nuque .Patricia pousse la tête vers l’avant .Alice se laisse manipuler ,en savourant chaque frôlement et sensation qui parcourt son crâne et sa peau rendue sensible à tout contact . Le collier rigide lui coupe la respiration bruyante .Le rasoir est posé à 2cms de la naissance des cheveux et tiré vers le bas jusqu’au collier, rasant ainsi les petits cheveux courts et mettant à nu une partie de peau lisse et blanche. Avec un bruit sinistre et un tiraillement de la peau qui pénètrent au plus profond du cerveau .Toute l’opération est ainsi répétée sur toute la base de la nuque , de droite à gauche . Patricia lui caresse les parties ainsi rasées, la peau révélée est parfaitement blanche et d’une douceur incroyable (n’ayant jamais été tannée par le vent et le soleil).Cette bande commence devant les oreilles ,derrière les pavillons et descend jusque bas dans le cou sur toute sa largeur ,laissant ainsi en une douce fourrure une jolie petite nuque arrondie presqu’à hauteur du lobe de l’oreille , contrastant avec la peau cuivrée . Alice halète en saccades rapides, toutes ces frôlements tels des caresses furtives l’amène dans un état proche de l’extase . Toute à ses caresses ,Patricia est presque surprise par un soubresaut quand Alice explose avec violence d’un orgasme sans nom . Avec un cri sans retenue elle aspire bruyamment de l’air en se contorsionnant bien qu’étant solidement attachée au fauteuil .

« Ah !ça fait plaisir de t’entendre mon petit bébé et tout ça sans aucune pénétration ,l’eusses tu cru possible mon amour ? ? .. » dit-elle avec un petit rire moqueur.

Elle lui détache les jambes ,qu’elle masse longuement et avec beaucoup de sensualité .Pour ensuite les poser au sol où elle les ligotent à une poutre en bois muni de deux sangles distants de 80 centimètres ,lui présentant ainsi son intimité au maximum .Après avoir nettoyer toute sa partie secrète avec de l’eau tiède et une serviette . Elle prend une touffe de poils, de son petit minou, entre deux doigts qu’elle tire jusqu’à entendre un petit cri de douleur de sa prisonnière pour la libérer d’un coup de ciseaux .Après lui avoir ainsi couper toute sa petite motte , tout en profitant de lui caresser ce gazon piquant et dur ,du paume de sa main le plus souvent possible pour le plus grand plaisir de toutes les deux . Elle pose les lames des ciseaux ,bien à plat ,sur la délicate peau de son esclave . Avec mille précautions elle réduit encore sa fourrure à des petits piquants . Puis prenant une bombe à raser elle étale une bonne couche de mousse . Le même rasoir mécanique se pose sur le bas ventre pour glisser doucement vers l’entrejambe , de son doigt gauche elle protége la lèvre rose . Le rasoir descend le plus loin possible , en écartant les petites fesses elle cherche tous les poils jusqu’à sa rondelle fripée et d’un brun foncé .

Le renflement ,de la vulve parfaitement lisse et glabre , ressemble à un abricot d’une toute jeune fille .

Un autre nettoyage s’ensuit puis elle libère sa captive .

Chatiment

En lui massant les poignets ,le cou et toutes les parties ankylosées par les liens , Patricia lui dit :

 « Viens ma p’tite chérie , maintenant on va s’occuper de ton joli petit cul  ! »

« comment ça ? que ce que tu veux faire ? que veux tu dire ? tu m’fais peur , par moments … »

« Pourquoi tu crois qu’il est là ? …à quoi tu veux qu’il serve ?… » en parlant d’Alain qui , depuis le début se tenait à l’écart , s’occupant de la caméra .

Alice ,comprenant ce qu’elle veut lui faire , commence à vouloir se dégager :

« Noon pas ça ! jamais on ne m’a fait ça ! je ne veux pas …jamais on ne m’a … »

Patricia se pince la lèvre inférieure avec les dents .Mauvais signe elle est contrariée ,elle aime pas qu’on lui résiste ,ça va chauffer .Calmement , elle prend la cravache

« Alors c’est comme ça que tu me remercies de m’être occupée de toi ? petite chienne ! je me suis donné tant de mal ! tu préfères goûter à cela p’tite conne? ? …très bien, puisque c’est ça que tu veux ! à genoux !…tout de suite…TOUT DE SUITE ! !…tu m’entends? p’tite gourde! »

elle ne plaisante plus , elle hurle .

Tremblante de peur et impressionnée , Alice ,les yeux toujours bandés s’exécute . Elle se met à genoux :

« noon pitié ! laisses moi Maitresse … ne me fais pas mal , je t’en supplies …»

Patricia lui réuni les deux poignets devant elle et ,rapidement elle l’entrave à l’aide d’une lanière .Elle l’entraine vers le lit , placé juste à coté du fauteuil . Elle passe la lanière au montant en fer du lit , obligeant Alice à se coucher à plat ventre sur le lit . Tout en protestant ,Alice encore dans sa situation de dominée , ne résiste que timidement .Elle sanglote .

Un peu calmée par la vue de ses épaules et de ce dos qui se soulèvent à chaque sanglot , Patricia lui dit :

« allons ,calmes toi , pour cette fois ça va … une demi-douzaine et on en parle plus ! »

Après lui avoir bien ficelé les deux chevilles écartelés aux barreaux du lit , elle prend un baillon constitué d’une sorte de ballon allongé , munie de deux sangles et d’une boucle réglable .Elle le lui appuie contre ses lèvres , mais Alice n’ouvre pas la bouche . Lui pinçant les narines elle l’introduit dès qu’elle ouvre la bouche . Le baillon lui rempli la bouche et pousse la langue vers l’arrière . Les lanières sont rabattus et bien serrés sur la nuque .

Patricia lève la cravache et l’abat durement sur les petites fesses blanches .

« tiens voilà pour t’apprendre à obéir comme une bonne petite esclave ! »

Aussitôt une langue de feu cingle les petites fesses d’Alice qui ,surprise par la douleur ,lève violemment la tête en se contorsionnant sur le lit . Bien que baillonné on entend nettement son cri étouffé .

Un deuxième coup suit aussitôt le premier , causant la meme souffrance .

« voilà pour avoir osé résister à mes désirs ! petite chienne ! »

Deux traits roses apparaissent sur les fesses blanches . Son postérieur est en feu .

A nouveau Patricia lui cravache son derrière d’un geste sans retenue :

« pour ton merci ! vilaine petite fille ! »

Meme cri , meme souffrance . Le quatrième s’abat sur ses cuisses .

« pour mon plaisir ! chienne ! » .

Suivi d’un cinquième

« pour ton plaisir ! avoues que t’aimes ça ! mon bébé ! »

Et d’un sixième

« et celui là pour que tu t’en souviennes ! mon amour ! »  

Baillonnée ,Alice pleure à chaudes larmes ,son menton tremblotant étouffe de sourds râles de douleurs et de plaisirs . Bien après le sixième coup , elle se tortille toujours avec l’impression qu’on lui a posé des barres de fer rougis au feu , sur ses fesses et sur ses cuisses . Après un long massage avec une creme apaisante sur les parties touchées. Patricia lui libère les jambes et se glisse sous elle ,toujours attachée par les mains au montant du lit . Avec ses jambes enroulés autour des hanches ,comme une tenaille , des pieds ,elle lui écarte les cuisses .

D’une main elle lui écarte les fesses et lui étale une pointe de gel intime sur la petite rondelle fripée . Elle lui enfonce un doigt dans l’anus et lui badigeonne abondamment du gel sur tout le pourtour . Alice , manipulée et dirigée , obéit à chaque pression , présentant ainsi son anus grand ouvert .Patricia fait signe à Alain , lui donnant

enfin l’autorisation de participer . Le gland du sexe appuie sur l’étroite rondelle sans pouvoir y pénétrer . Patricia , de ses mains expertes , à force de caresses furtives ,d’effleurements suaves et de ses petits doigts parcourant toutes les zones sensibles ,parvient à diriger et relaxer Alice si habilement qu’à la fin ,dans un univers de frôlements et de petits pincements allant de son petit bouton jusqu’à la raie , Alice relâche tellement tous ses muscles rectaux et autres ,qu’en gémissant elle sent ses chairs écartelés de toutes parts . Et elle s’empale d’un coup sec et rapide . Après un temps d’immobilisme ,pour l’habituer à ce sexe qui lui remplit le rectum . Tous ces attouchements et le gland qui la travaille sans ménagements la laisse éclater d’un orgasme jamais vécu par elle . Sur ordre Alain se retire à sa place d’esclave soumis .

Après le reste du week-end se déroule , toujours pour le plus grand plaisir de Patricia et d’Alice , dans d’interminables jeux de soumission – domination , sans aucune participation d’Alain . Son rôle se résume à celui d’un esclave ,un godemichet vivant , mais dévoué corps et âme à sa maitresse , qu’il aime du plus profond de soi . Il la connaît depuis tant d’années mais pour une raison qu’il ignore ,elle est distante et froide à son égard , n’ayant plus jamais réussi à l’amener à cet état de confiance réciproque qu’elle avait eue au cours de leur première rencontre . Alors il reste prés d’elle ,acceptant tout en se disant que le cœur a ses raisons que la raison ignore . Se contentant de cela il est heureux de donner du plaisir et de réaliser les désirs et phantasmes des autres .

Alice ,ramenée au parking du départ , nage dans un bien-être dû à ce long week-end où elle s’est offerte à d’autres. Tout s’est déroulé comme prévu à travers un scénario conçu par elle –même , selon Ses désirs .

Calme et sereine ,elle sent encore les courbatures et autres douleurs suite à ces journées torrides . Ayant portés un masque tout le week-end , ils resteront de parfaits inconnus l’un pour l’autre même s’ils se rencontrent. Malheureusement elle est ramenée à la réalité en pensant au lendemain où elle devra affronter ses collègues de bureau , ils et elles ne manqueront pas de poser des questions au sujet de sa nouvelle coupe de cheveux . Alice se sent triste et seule ,puis elle se dit « à moins que je les recontacte , par internet pour le week-end prochain ?.. »

Rassurée et heureuse , elle monte dans sa voiture..

 

 

 

 

Si ce récit vous a plû et si vous en voulez d’autres , pour encourager ceux qui se prennent le temps pour écrire des histoires , parce que , mine de rien ,c’est long ,alors dites moi si c’est …nul…bien…etc…

Tout les commentaires , critiques , suggestions seront les bienvenus

Salutations à toutes et à tous

Alain

 

mon e-mail pour repondre : doucetondeuse@wanadoo.fr