EMILIE & EMILIE

 

Cette histoire est vraie. C’est une histoire très récente, tout a commencé en Avril 2002. Sur la photo ce n’est pas moi. Mais ça me ressemble terriblement. C’est exactement la coupe que j’avais le 20 juillet dernier en sortant de chez mon coiffeur. Merci à Emilie qui m’a fait connaître les sites Côté Court et Têtue.

 

Je suis étendue dans le fauteuil du coiffeur.

Le bas de ma robe est déboutonnée jusqu’au nombril et le peignoir en nylon est remonté sur mon ventre.

Je ne peux pas voir le coiffeur, mais je sens la tondeuse mécanique faire son travail sur mes poils pubiens.

Le froid du métal sur ma peau me fait jouir.

Après m’avoir coupé le haut de ma petite chatte, il caresse mes petits poils devenus piquants.

La tondeuse continua son travail en descendant.

Il posa la tondeuse sur mon ventre et commença à étaler de la mousse à raser. Il passa un rasoir mécanique sur

mon bas ventre et il continua à raser avec encore plus de délicatesse.

Il prit une paire de ciseaux et coupa une longue mèche de cheveux au ras de ma tempe.

Avec dextérité il nettoya les petits poils ainsi que le reste de mousse à raser avec mes cheveux coupés.

Il remonta le fauteuil et actionna une pédale pour faire monter le fauteuil.

Mon cœur battait de plus en plus fort, il souleva mes cheveux. Il les mit derrière mes oreilles.

Il faut que je vous explique pourquoi je suis sur ce fauteuil.

C’était il y a maintenant plus de trois mois, nous étions invités mon mari et moi chez des amis .

C’était un dîner très agréable jusqu’au moment ou mon amie Véronique nous raconta qu’une de ses collègues venait de se faire tondre complètement la tête.

Elle est tondue à blanc jusqu’au sommet du crâne, il ne lui reste qu’un tout petit duvet sur le dessus. C’est impressionnant. Dit-elle.

Elle est complètement folle ? demanda mon mari.

Non, mais elle en avait très envie depuis très longtemps. C’est ce qu’elle nous a expliqué.

Je connais les personnes qui travaillent avec Véronique. J’ai demandé :

Qui c’est ?

Elle porte le même prénom que toi, c’est Emilie, tu la connais. Nous avons pris un café toutes les 3 mardi dernier.

Je connais Emilie, ce qui est amusant c’est que nous nous ressemblons un peu.

Toute la conversation fut sur les tontes chez la femme. Sujet très contre versé. La tonte chez la femme ou chez l’homme est-ce : être homosexuel, nazi, une punition. Les hommes parlaient de punition comme à la fin de la guerre toutes ces femmes qui furent tondues pour avoir couché avec des allemands.

Cette conversation m’agaçait. J’ai depuis la fin de l’été 1979 envie d’avoir les cheveux très courts.

J’ouvre une parenthèse pour vous expliquer pourquoi cette envie de coupes très courtes. Je suis née en Juillet 1970. Je suis une enfant de parents soixante-huitards. En 68 ils étaient à la même fac, ils ont vécus ensemble et je suis née, mon frère est arrivé 18 mois plus tard. Jusqu’au Samedi 25 Août 1979 nous n’avions jamais mis les pieds chez un coiffeur. Mon frère avait des cheveux assez longs pour un garçon. Je me souviens de tous les détails de ce samedi. Ma mère est entrée dans ma chambre à 7h30 en disant :

Dépêche – toi, vite lève – toi nous allons être en retard. Ton frère prend déjà son petit déjeuner.

Mais, comment, quoi, qu’est ce qu’il y a. Etre en retard où?

Tu verras bien. Ton frère ne pose pas de question.

Je me suis habillée et j’ai pris mon petit déjeuner. A 8 heures nous quittions la maison tous les trois. Nous sommes arrivés un quart d’heure plus tard devant la porte d’un coiffeur pour homme. Nous sommes entrés. Nous étions seuls, le coiffeur avait l’air de nous attendre, c’était un monsieur d’une cinquantaine d’année, je crois.

Il avait préparé un siège rehausseur, posé sur le vieux fauteuil en skaï rouge.

Ma mère pris les choses en main et dit :

Allez Hubert va t’asseoir dans ce beau fauteuil qui te tend les bras.

Il nous regarda ma mère et moi à tour de rôle, j’étais surprise, je regardais moi aussi ma mère. Elle insista pour qu’il aille s’asseoir dans le fauteuil.

En quelques minutes mon frère était assis, un grand peignoir blanc le recouvrait complètement. N’apparaissait qu’une petite tête toute bronzée par le soleil de juillet et août.

Le coiffeur avait certainement déjà reçu les consignes car il attrapa une tondeuse mécanique et avec sa main gauche fit plier le cou de mon frère en avant. La tondeuse remonta du bas de la nuque jusqu’au plus haut au sommet du crâne. Le coiffeur expliqua à ma mère qu’il utilisait la tondeuse la plus fine,.

On ne peut pas trouver plus fin.

Mon frère ne disait rien, il ne pleurait même pas. Ses grandes boucles blondes sont tombées par terre et sur le peignoir.

Il fut tondu, je pourrais dire il fut rasé. Il ne restait plus rien à peine un très léger duvet au sommet de sa tête.

Ce jour là j’ai ressenti une très forte sensation.

Mon frère se leva et ma mère me demanda de me mettre de bout. Le coiffeur prit une serviette de coton et l’installa autour de mon cou.

Il a prit une paire de ciseau et coupa mes cheveux juste au dessus de mes épaules. J’ai bien aimé cette coupe, c’était un carré long.

A partir de ce jour nous sommes retournés chez ce coiffeur tous les mois pour faire tondre mon frère, même coupe, même tondeuse. Je savais que mon frère aimait ce rituel mensuel. J’accompagnais mon Frère et ma Mère mais on ne m’a plus jamais recoupé les cheveux.

Cela à durer jusqu’au mois de Juin 80. 10 mois de tonte et de rasage. Nous attendions fin Juin le rendez-vous. Mais à notre grande surprise ce fut terminé. En Septembre les cheveux de mon Frère avaient bien repoussé. Nous nous attendions à un nouveau passage sous la tondeuse. Rien. Ce fut fini, terminé.

J’ai demandé un jour à ma Mère pourquoi cette période de tonte. Sa réponse fut :

C’est comme ça.

Je n’ai jamais su pourquoi, qu’est ce qui c’était passé dans sa tête.

 

Fin de la parenthèse et retour au dîner chez Véronique.

Je n’en ai jamais parlé, et eux, ils ne comprennent pas que c’est aussi un désir, un plaisir, une certaine jouissance d’être soumise par la tondeuse et par la main du coiffeur. Les choses deviennent irréversibles. Bien que je n’ai jamais eu les cheveux coupés très courts. Mes cheveux sont longs, ils tombent sur mes épaules. J’interromps tout le monde :

Vous êtes complètement idiots. Je pense que cette fille a du ressentir un plaisir immense à se faire tondre.

D’ailleurs moi je pensais le faire très prochainement.

- Certainement pas, dit mon mari.

Je voudrais bien voir ça. Je vous lance même un défi, d’ici la rentrée des classes en Septembre je serai passée chez le coiffeur.

Mais tu es tombée sur la tête, tu as de superbes cheveux, tu adores les brosser régulièrement.

Oui j’adore mes cheveux, mais j’adorerai aussi avoir une tête tondue

La fin du dîner fut terrible, tout le monde essayait de me faire revenir sur ma décision, mon mari semblait effondré et moi j’étais la plus heureuse en m’obligeant à assouvir un vieux phantasme.

Le lendemain j’ai appelé Emilie à son bureau :

Bonjour Emilie , c’est Emilie à l’appareil. Te souviens tu de moi. Nous avons pris un café ensemble avec Véronique l’autre jour.

Oui. oui, je me souviens.

Peut-on se voir ce soir et prendre un café. Mais seules.

Bien sur, à 6 heures si ça te va au même bistrot que la dernière fois.

D’accord. A toute à l’heure

Ok.

J’étais à 6 heures pile au café. J’étais à peine assise qu’Emilie entra à son tour. Je l’ai trouvé magnifique. Complètement tondue, les cotés et la nuque rasés.

J’ai commencé à lui expliquer les raisons de ce rendez-vous et le défi que j’ai lancé à ce dîner. Mes envies de tonte depuis que j’ai vu mon frère assis dans le fauteuil du coiffeur.

Pourrais-tu me donner l’adresse de ton coiffeur et me le présenter. Je ne sais pas trop comment m’y prendre.

Il n’ y a aucun problème, me dit-elle en riant. C’est un de mes très bons amis. Il a un salon pour homme à ¼ d’heure d’ici. Je suis ravie de faire des émules.

Je ne sais pas si j’irai tout de suite mais ce que je veux c’est qu’il sache, lorsque je pousserai la porte du salon, pourquoi je viens.

Pas de problème. Nous pouvons y aller tout de suite. Je te le présente et ensuite tu pourras y retourner quand tu voudras.

Nous sommes parties toutes les deux. Elle a poussé la porte du salon. C’est un salon ni moderne, ni vieux. Lui est assez beau. 35 ans environ. Emilie a commencé à lui expliquer le but de notre visite :

Je te présente Emilie, qui souhaite que tu lui fasses la même coupe que moi. Mais pas tout de suite, elle reviendra plus tard.

En haut comme en bas, dit-il en riant ?

Je n’ai encore rien dit pour en bas. Dit elle.

Elle m’a amené dans un coin du salon et a commencé à m’expliquer que Didier (le coiffeur) lui a rasé les poils pubiens, elle le lui avait demandé car ils se connaissent depuis longtemps. Si je voulais il pouvait le faire sur moi.

Ca m’a amusé. Pourquoi pas.

Quand vous voulez, dit-il votre jour est le mien.

Je ne sais pas encore, mais je pense très bientôt.

Le mois de mai, de juin et les quinze premiers jours de juillet venaient de passer, mon mari et mes amis commençaient à oublier ce pari.

Samedi 20 juillet je faisais quelques courses, j’ai marché vers le salon. Il était presque midi.

Didier était en train de verrouiller la porte. Je me précipitais et frappais énergiquement sur la porte de verre.

Il m’ouvrit :

Bonjour, comment vas-tu me dit-il.

Je ne savais pas que dire, j’ai commencé à bafouiller.

Bien, euh…. Vous pouvez… euh … tu peux me couper les cheveux.

Tonte à blanc ? Comme Emilie ? En haut et en bas ?

Oui.

Reviens à 13 heures. D’habitude j’ouvre à 14 heures mais on sera plus tranquille. Et change toi. Enlève ce pantalon et ce chemisier et mets une robe toute boutonnée sur le devant.

Merci, je serai exacte.

J’ai rougi je sentais mon cœur battre à tout va.

Ma tête bouillonnait, mon cœur explosait, je suis partie en courrant vers une boutique du centre ville. J’avais repéré la semaine dernière en vitrine une robe chemisier de couleur vert kaki, complètement boutonnée de haut en bas et ceinturée par une grosse ceinture en cuir noire. Les manches sont ¾ et le col est grand et pointu.

Tenue un peu militaire, j’ai trouvé que c’était idéal pour la circonstance.

Je suis entrée et me suis approchée d’une vendeuse qui portait justement cette robe sur elle.

Elle a trouvé ma taille et je suis entrée dans la cabine d’essayage. Je la trouvais un peu longue.

 

J’ai appelé la vendeuse :

Vous ne trouvez pas la robe un peu longue ?

Non, ça vous va à merveille.

Ah, bon. Je vais la garder sur moi.

J’ai enlevé ma petite culotte. La vendeuse a mis mes vêtements dans un sac publicitaire.

J’ai rendez-vous chez le coiffeur, pouvez vous me garder ce sac pendant une heure environ.

Pas de problème. Dit elle.

Je voulais connaître la 1ère réaction à ma sortie du salon.

 

Je suis partie vers mon lieu de rendez-vous. J’ai frappé à la porte et Didier m’a aussitôt ouvert.

Il m’a demandé de soulever la masse de mes cheveux vers le haut et il mit une bande de papier autour du col de ma robe. Il attrapa un peignoir en nylon bleu marine.

C’est une taille pour homme, ça va être un peu grand mais je vais bien l’attacher autour du cou.

Ensuite il a rabattu la bande de papier sur le haut du peignoir.

Il m’a demandé de m’asseoir dans le fauteuil et en appuyant sur une manette il a couché le fauteuil.

La tonte et le rasage parfait de mon pubis fut exécuté.

Il a relevé le fauteuil. J’étais face à la glace.

Il a pris ses ciseaux et à commencer à couper juste au dessus des oreilles, ça à fait SCHRIIIIIICHHHH.

J’ai vu me cheveux glisser le long du peignoir. Il les a pris dans sa main et les a déposés sur mon ventre.

Il a coupé tous mes cheveux au plus haut de mon front. Je les ai vu glissé et arriver sur mes genoux.

Je commençais à avoir une drôle de tête.

 

Il attrapa la tondeuse sans aucun sabot. J’avais la respiration coupée.

Il alluma la tondeuse BZZZZZZ! Il glissa les lames sur ma tempe droite.

 

J’ai senti sur ma peau la vibration de la tondeuse ainsi que le métal. Les lames sont remontées doucement jusqu’au sommet de ma tête. J’ai vu ma peau apparaître blanche. Il fit une nouvelle bande à coté. J’ai pris énormément de plaisir lorsqu’il attaqua ma nuque. Je repensais à la 1ère tonte de mon frère.

Avec sa main gauche il appuya sur ma tête et j’avais la nuque tellement plié en avant que mon menton touchait mes seins.

 

Mon cœur s’est mis à battre lorsque les lames atteignirent le vertex, il remonta à la même hauteur que les côtés.

Je sentais de l’air frais sur les endroits nouvellement tondus à ras.

 

Il comprit mon émotion il posa la tondeuse. Il attrapa la tondeuse mécanique et la passa délicatement sur ma nuque. J’entendais le cliquetis de la tondeuse ainsi que le froid du métal qui glissait sur ma peau.

 

Le coiffeur contourna mon oreille gauche comme il l’avait fait avant pour la droite.

C’était la première fois que je ressentais de telles sensations.

 

Mes cheveux tombaient maintenant en cascade. Il les ramassait et les posait délicatement sur mon ventre.

 

J’étais pratiquement rasée , il restait le dessus de ma tête.

Il a mis le plus petit sabot. J’ai vu les lames approchaient de mon front Une grande bande gris-blanche apparue au milieu de ma tête.

Il passa et repassa la tondeuse sur le sommet de mon crâne dans un sens et puis dans l’autre. Tout était coupé à 3mm.

Il enleva le sabot et recommença sur les côtés et derrière. Il plia mes oreilles et repassa de nouveau la tondeuse.

 

A 2h moins le quart j’étais rasée de près. En haut et en bas.

Je passais machinalement ma main sur ma nuque, mes tempes, le dessus de ma tête.

J’ai caressé doucement mon sexe. Une toute nouvelle sensation : le tissus de ma robe effleurant mon sexe nouvellement rasé.

 

En sortant j’avais l’impression que tout le monde me regardait. Je me sentais étrangement nue. Mais je l’étais.

Je suis entrée dans la boutique, j’ai vu les yeux plus que surpris de la vendeuse, elle s’est mise à rougir, elle est devenue écarlate. Je lui ai souri. Elle était plus gênée que moi.

Bravo, c’est courageux. Ca vous va très bien. Mais il faut oser.

Merci. J’en avais très envie, ça y est c’est fait.

En rentrant chez moi j’ai eu droit à une scène de mon mari.

J’ai organisé le dîner avec les personnes présentes au repas du mois d’Avril. J’ai appelé Emilie qui est venue, ainsi que mon frère.

En me voyant il a éclaté de rire en disant :

Je le savais. Je savais que tu le ferais un jour. Bravo, c’est super.

Nous avons tous évité de parler cheveux ce soir là. Mais il y avait 2 clans : les 2 Emilie tondues et Hubert d’un côté et mes 2 couples d’amis ainsi que mon mari de l’autre.

Emilie se fait tondre très très régulièrement. Moi je n’y suis pas encore retournée. Je pense passer sous la tondeuse peut-être à Noël.

 

 

J’espère que avez aimé mon histoire. Ca m’a fait beaucoup de bien de l’écrire. Je ne suis pas une pro de la prose, tant pis pour les fautes.