LA COUPE DE LAURENCE
Encore un dimanche pluvieux à passer à la maison, une journée bien banale pour Franck et Laurence. Après le repas de midi, ils cherchaient une occupation en vain. Laurence qui aimait que l'on s'occupe d'elle sortit de la salle de bains et alla rejoindre Franck dans le salon. Elle était dans une tenue légère, un déshabillé presque transparent qui laissait entrevoir son minou au travers de sa nuisette très sexy. Laurence tenait un peigne à la main et s'asseyant aux cotés de Franck dans le canapé lui suggéra de la coiffer.
Laurence avait de longs cheveux de couleur auburn très épais qu'elle portait généralement attachés pour le plus grand regret de Franck. Cette fois ci, ils étaient détachés et réclamaient un bon coup de peigne. Franck demanda à Laurence de s'asseoir devant lui; il était par conséquent contre le dos de Laurence, la longue chevelure qui descendait en bas de ses reins était maintenant face à lui. Il commença à coiffer du sommet du crâne pour descendre doucement afin de lui ôter les nuds. Tout fût ainsi peigné calmement apportant beaucoup de bonheur à tous les deux. Franck prenait un grand plaisir à voir les cheveux entremêlés dans le peigne ainsi que le toucher soyeux de cette épaisse chevelure qui rendait jalouse plus d'une collègue de travail de Laurence. De son coté, cette dernière avait l'air de porter une grande attention à cette séance de coiffage à domicile. Il semblait même que les cheveux de Laurence consistait sa zone érogène étant donné les mouvements très particuliers de son corps ainsi que trahissait également le sexe mouillé de Laurence. En coiffant les cheveux de Laurence, Franck fît remarquer à celle-ci que ses bouts étaient très abîmés et qu'il serait bon de penser à les couper un peu pour les entretenir.
- "Justement, j'ai pris rendez-vous demain matin chez le coiffeur pour les couper bien court, c'est pourquoi je voulais que tu me les coiffe une dernière fois. Et puis pour l'été, je serais plus tranquille. C'est une belle surprise hein mon amour ?" Sexclama Laurence.
- "Mais je ne suis pas d'accord pour que tu confies tes cheveux à un coiffeur. D'abord tu n'auras jamais la coiffure que tu vas réclamer et puis ces cheveux sont à moi, personne n'y touchera m'entends tu ?" Rétorqua Franck.
- "Mais j'étais décidé à les couper, rappelles toi l'an dernier lorsque tu me l'avais réclamé, j'avais refusé. Cette fois-ci je suis décidée et je le ferais !" Insista Laurence.
- "Je te propose une chose, puisque tes cheveux ont besoins d'un rafraîchissement, c'est moi qui vais m'en charger. Je vais chercher le matériel et la cape dont tu te sers pour me couper les miens. Moi je te fais confiance là dessus, à toi de te laisser faire, fais-moi confiance" insista Franck.
Laurence : "Je ne sais pas trop, mais après tout cela peu être amusant. OK, je suis partante. Et puis tu as raison, je préfère te confier mes cheveux plutôt qu'à un inconnu. De plus, si tu me rate, je pourrais toujours aller chez le coiffeur plus tard. Dépêches toi avant que je ne change d'avis !"
Sur ces paroles, Franck fila chercher les ciseaux et la cape en nylon que sa femme lui faisait porter lorsqu'elle lui coupait les cheveux. Laurence était déjà assise dans la cuisine sur une chaise et se caressait les cheveux comme pour dire adieu à sa longue crinière auburn. Rapidement, Franck enfila la cape en nylon autour du cou de Laurence. Il était alors impossible pour elle de porter ses mains sur ses cheveux, seul sa tête dépassait. La cape bien serrée autour du cou de Laurence ne laissait apparaître que sa tête et sa longue chevelure sur la cape blanche. Franck repris alors le peigne pour démêler parfaitement les longs cheveux raides aux reflets auburn. En étalant de part et d'autre les cheveux de Laurence sur ses épaules, on distinguait difficilement la couleur de la cape, seul le tissu nylon lui cachant les jambes pouvait être aperçu. De son coté, Laurence se tenait droite et avait l'air d'apprécier cette situation ou Franck tenait à sa merci sa longue chevelure à porté de ses ciseaux. Elle prenait beaucoup de plaisir à se sentir dominée et penchait volontiers sa tête sous la pression de la main de Franck qui, sans ménagement, forçait Laurence à se pencher d'avant en arrière et de droite à gauche pour bien lisser l'imposante épaisseur de cheveux qu'elle avait depuis près de dix ans.
Bientôt, Franck cessa de peigner et s'empara de la paire de ciseaux qui se trouvait sur la table de la cuisine face à Laurence. Très excité, Franck faisait fonctionner les ciseaux à vide à coté de la tête de Laurence pour l'intimider; ce "clac-clac" répétitif sonnait le glas d'une coupe imminente et Laurence commençait malgré tout à devenir nerveuse.
Franck était décidé à couper une bonne longueur pensant que même si Laurence lui en aurait tenu rigueur, l'occasion était trop bonne pour ne pas la manquer. Alors que les pointes abîmées ne réclamaient pas plus d'une coupe de 5 à 7 cm, Franck ajusta ses ciseaux au milieu du dos de Laurence et les referma doucement, tranchant sans pitié la longueur en la réduisant à moitié. Il pleuvait des cheveux, qui, comme des filets d'eaux, glissaient sur la cape en nylon avant joncher le sol. Après avoir coupé les cheveux de Laurence en formant une belle ligne droite, Laurence demanda à voir le résultat. A l'aide d'un miroir posé sur la table de la cuisine, Franck présenta un second miroir qui permettait à Laurence de découvrir sa nouvelle longueur. Alors qu'il appréhendait une réaction plutôt sévère de Laurence, cette dernière, toute surprise lui rétorqua furieuse: "Tu appelles cela une coupe ? Moi je pense que c'est plutôt un léger rafraîchissement. Pour faire ça, j'irais dès demain matin à mon rendez-vous. Je suis sur qu'il comprendra et saura me donner satisfaction". Elle tentait déjà de se relever lorsque Franck l'a retint fortement par les épaules et lui dit en haussant le ton: "Ma chérie, je ne voulais pas te choquer en coupant tes beaux cheveux d'une seule fois mais considère que ta coupe ne fait que commencer".
Sur ces paroles, Laurence se calma et Franck commença à retirer les mèches coupées qui restaient encore sur ses épaules et ses genoux. Le carrelage blanc de la cuisine était recouvert des cheveux auburn fraîchement coupés de Laurence. Franck voulait maintenant frapper un grand coup, même si Laurence devait regretter ses paroles. Il laissa Laurence seule sous sa cape pendant quelques minutes puis retourna à la cuisine et déposa sur la table, sous les yeux ébahis de Laurence, une tondeuse électrique avec ses différents sabots. "Tu vas en avoir pour ton argent ma chérie, avec la nouvelle coupe que je vais te donner, tu seras la plus sexy des femmes !" Annonça Franck.
"Je n'ai qu'un mot à te dire, ne me déçois pas !" dit Laurence d'un ton ironique. A ces propos, Franck était plus que décidé à transformer la coiffure de sa femme en coupe sexy et se repris à peigner les longs cheveux dans le plus grand plaisir de cette dernière.
A l'aide de quelques pinces, il attacha les cheveux de Laurence sur le haut du crâne tout en ayant soin de laisser sur l'arrière une longueur délimitée par la moitié de la hauteur de son crâne, de part et d'autre de ses oreilles. Tenant de la main gauche, le haut de la tête de Laurence et lui forçant à pencher sa tête vers l'avant, Laurence attendait, offrant ses cheveux à son mari, prête à sacrifier tant d'années de patience pour quelques minutes sous les ciseaux. De l'autre main, Franck saisit la tondeuse qu'il mît en route. Le bruit lourd du "Buzzzzzzzzzzzzz" continuel laissait entrevoir la suite d'une tonte inévitable qu'allait infliger Franck à sa femme. Alors qu'il posait la tondeuse dans la bas du cou de Laurence sous son épaisse chevelure, le métal froid, le bruit et le vrombissement entraînait Laurence dans une sorte de quatrième dimension, proche de l'orgasme, une sensation de bien-être jusqu'alors inconnue.
En remontant la tondeuse jusqu'à la ligne de séparation démarquée par les pinces qui maintenaient le reste de la chevelure sur le sommet de sa tête, la tondeuse surmontée de son sabot de 3 mm donnait l'impression de manger les cheveux de Laurence lui créant des bandes blanches qui tranchaient fortement avec le reste des cheveux. En moins de trois minutes, la nuque de Laurence fût complètement tondue, passant ainsi d'une longueur mi-dos à un style des plus rasé ! Sa femme qui avait l'air d'être aux anges, n'en demandait pas tant. Alors que la pluie de cheveux n'avait de cesse, Franck passa sa main sur la nuque de sa femme lui créant une sensation très forte et très sensuelle au toucher.
En retirant les pinces qui maintenaient ses cheveux attachés, Laurence retrouva une coupe plus conventionnelle, cheveux raides à mi-dos. En peignant à nouveau ses cheveux, Laurence sentait les dents du peigne contre son crâne lorsque ce dernier la coiffait l'arrière de sa tête fraîchement tondue. Franck entreprit alors de ramener les cheveux de Laurence vers l'avant si bien qu'il lui était impossible d'y voir quoique ce soit à travers le rideau de cheveux qui c'était formé devant ses yeux. Soudain, Laurence sentie la lame des ciseaux s'engouffrer et se poser contre le haut de son front, puis se refermant dans un "chrrrrrrrrrrrrick" lui laissa entrevoir la lumière du jour. Plusieurs coups de ciseaux furent nécessaires pour former une frange très courte et bien droite. De grandes longueurs étaient étalées sur la cape contre ses genoux, formant une montagne de cheveux entremêlés. Puis Franck entreprit de couper les cotés bien droit en prenant la moitié des oreilles comme référence si bien qu'en coupant vers l'arrière se dégageait sa nuque tondue quelques temps auparavant. Lorsque le tour de la tête fût coupé, Laurence avait perdu toute notion de longueur. Seul la masse de cheveux qui gisait à terre était là pour témoigner de son ancienne coiffure.
En retirant la cape du cou de Laurence, qui, dans un réflexe, posa ses 2 mains contre sa nuque rase et ses cotés court, Franck lui tint ces propos : " Voilà, tu es magnifique ma chérie, je te donne maintenant rendez-vous à Dimanche prochain vers 15h00 pour la 2ème partie de ta coupe de cheveux. J'en profiterais pour raser également ta petite chatte poilue !"
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