LA COUPE DE LAURENCE (fin)

Une semaine c'était déjà écoulé depuis la coupe de Laurence à la maison par Franck lorsque vers 15h00, il  invita sa femme à prendre place sur la chaise de la cuisine comme la semaine dernière. Tout étonnée, elle prit place en lui demandant quelques explications, pensant se faire offrir une tasse de café ou autre chose, Franck lui rappela en lui touchant la nuque que l'heure était venue pour elle de se faire couper les cheveux à nouveau comme convenu auparavant. Avec son carré court, sa nuque rasée et sa mèche très courte, Laurence était devenue l'attraction dans sa boutique de lingerie fine et avait été l'objet de toute l'admiration de ses clientes, la félicitant sans cesse de ce choix très audacieux qui avait obtenu tous les suffrages.

De ce fait, elle n'était plus trop pressée de changer de look une nouvelle fois et essayait de trouver quelques prétextes pour s'en échapper. Bien décidé à aller jusqu'au bout et ayant pris beaucoup de plaisir à lui couper les cheveux la semaine dernière, Franck employait un ton assez haut pour faire plier Laurence. 

- "Bon, c'est vrai que j'avais promis de donner suite à cette coupe et que c'est moi qui t’ai demandé de me les couper. Puisque je n'ai  qu'une parole, tu peux y aller mais ne coupe pas trop court !" Demanda Laurence.

Franck ne répondait pas, il laissa Laurence assise dans la cuisine puis quelques instant plus tard il déposa sur la table de cuisine une paire de ciseaux, la tondeuse, le peigne fin, une bombe de mousse à raser, un rasoir à main et une boite de coloration. Il demanda ensuite à sa femme de se déshabiller complètement; chose qu'elle exécuta en laissant ses vêtements sur le sol, puis repris sa place sur son siège. Franck plaça ensuite le miroir face à Laurence sur la table de cuisine et enfin, faisant claquer la cape en nylon blanc devant elle pour la secouer, il la passa autour de son cou. Le velcro était fortement serré pour éviter que les petits cheveux coupés ne tombent dans le dos. Ainsi préparée, la coupe pouvait commencer, Laurence était très crispée sous cette cape de nylon et semblait moins apprécier la situation que celle de la semaine précédente. Franck tenait de sa main gauche la tête de Laurence afin de la placer dans la position désirée et tenait dans sa main droite le peigne.

Il commença par peigner doucement la nuque de Laurence à contre sens, remontant vers le haut du crâne passant de quelques millimètres de cheveux à l'épaisseur très imposante qu'il lui restait sur le dessus. Par plaisir, il peigna langoureusement de la même manière sur les cotés glissant le peigne au-dessus des oreilles sous ses cheveux en remontant toujours vers le haut. Laurence semblait planer tellement l'émotion était forte. Ce plaçant face à elle en lui tenant le menton pour fixer la tête, il peigna la courte frange bien droite en regardant Laurence dans les yeux pour lire dans son regard un sentiment d'impuissance, de soumission. Il plaça ensuite les doigts dans ses cheveux en appuyant fortement sur son crâne comme un massage, les mouvements d'avant en arrière et de haut en bas, sans oublier les cotés, obligeaient Laurence à suivre les mouvements que lui infligeait son mari tout en fermant les yeux, ces caresses donnaient l'impression d'une prémisse à l'amour et Laurence en avait l'entre jambe mouillée.

Quelques minutes plus tard, Franck cessa cette mise en condition et repris le peigne en main et brutalement coiffait les cheveux emmêlés tout en forçant Laurence à pencher sa tête vers l'avant, menton contre poitrine en tenant sa main gauche sur sa tête puis lui infliger cette position. Les coups de peigne étaient rapides étant donné le carré court fraîchement coupé. Penchée fortement à gauche puis à droite pour peigner les cotés, le stress semblait monter en Laurence à l'approche de la coupe dont elle ne connaissait pas l'objectif. En saisissant de part de d'autre de la tête, les mèches de Laurence dans chaque mains et les ramenant derrière ses oreilles comme pour simuler des cheveux courts sur les cotés, Laurence fût saisi d'une bouffée de chaleur en regardant son reflet dans le miroir posé face à elle. Allait-elle se faire couper les cheveux court au niveau des oreilles ? De peur de connaître la réponse même négative, elle n'osait pas poser la moindre question. Elle se laissa coiffer à nouveau pour préparer sa coupe. 

Carré bien peigné, mèche bien droite, Laurence avait retrouvé son look qu'elle avait pourtant adopté et qu'il lui allait si bien lorsque Franck se replaça face à elle, la regarda dans les yeux en lui peignant sa courte frange du plus bel effet puis se saisit de la paire de ciseaux chromée qui était sur la table. Sans mot il embrassa Laurence sur la bouche comme pour un dernier adieu ou se pour se faire pardonner de la suite des évènements. Le moment tant attendu de la coupe n'avait jamais été si proche. 

Franck fît pencher la tête de Laurence vers la gauche, repeigna le coté droit pour que les mèches soient bien lissées et enfin, glissa les ciseaux sur le dessus de l'oreille droite et les referma doucement tout en contournant doucement l'oreille. Les cheveux tombaient sur l'épaule de Laurence et glissaient le long de la cape jusqu'à heurter le carrelage blanc de la cuisine. L'oreille droite de Laurence était maintenant visible autour de l'épaisseur du carré encore dessiné. Sur l'arrière de l'oreille, Franck coupait rapidement le long d'une ligne oblique vers le bas de la nuque ce qui avait pour effet de découvrir d'autant plus la nuque de Laurence. Le silence était des plus total dans la cuisine, seul le bruit du crissement des ciseaux coupant les cheveux, des mèches glissant contre la cape de nylon étaient perfectibles. De temps à autre, un léger gémissement de Laurence se faisait entendre ce qui avait pour effet de faire sourire Franck. De sa main, forçant sa femme à pencher la tête vers la droite, il peigna le coté gauche de la même façon que l'autre coté puis, les mèches bien lissées, coupa le contour de l'oreille gauche en parfaite symétrie avec l'autre coté. La nuque était maintenant bien dégagée jusqu'aux oreilles mais le style des cotés étaient plutôt loufoques.

Franck attrapa une mèche du coté droit sur le haut de la tête puis la pinça entre ses doigts contre son crâne et de l'autre main ajusta ses ciseaux contre ses doigts et coupa au plus près, ne lui laissant pas plus de 2 cm sur cette mèche. La grande longueur coupée était tombée sur les épaules de Laurence qui n'en croyait pas ses yeux. A plusieurs reprises les mèches sur le dessus de la tête furent coupées au plus près des racines en prenant soin de laisser les 2 cm de longueur que s'était  autorisé son mari. Le dessus bien court, restait alors à couper les cotés pour donner une structure correcte à la nouvelle coiffure de Laurence. Les mains de Franck forçaient Laurence à pencher la tête latéralement, offrant ainsi mieux les cheveux à son mari. Toujours en pinçant entre ses doigts les mèches contre son crâne, les ciseaux faisaient leur travail laissant retomber les mèches sur la cape comme une pluie d'été. Les coups de peigne successif passés dans les cheveux court de Laurence n'avaient plus aucune résistance, ils n'avaient plus pour effet que de ramasser les tous petits cheveux fraîchement coupés accumulés dans la chevelure ayant échappé aux ciseaux meurtriers.

Laurence n'avait rien dit depuis le début, mais Franck remarquait bien que sa femme retenait ses larmes. Il avait décidé de ne montrer aucune réaction afin que celle ci trouve le courage de subir cette torture et ainsi mieux accepter cette situation. C'était mission réussie, Laurence se laissait couper les cheveux sans mot dire; Sans doute regrettait-elle ces paroles, cette volonté farouche de changer de tête... il était désormais trop tard, Franck prenait un plaisir immense à jouer des ciseaux et la coupe était loin d'être terminée. 

Le coté droit bien raccourci, Franck repoussait la tête de Laurence vers la droite pour couper le coté gauche. Avec la même dextérité, les mèches étaient saisies entre les doigts plaqués contre le crâne et les ciseaux tranchaient les longueurs le long des phalanges. Doucement, le coté gauche devenait aussi court que l'autre coté, la coupe était plus régulière et donnait à Laurence un air coquin et très sexy. Franck passa plusieurs fois sa main dans les cheveux court de Laurence pour vérifier la longueur des mèches. Il avait l'air d'être satisfait de son travail.

Il se plaça ensuite dos à sa femme puis lui fît pencher la tête en arrière jusqu'à ce que celle-ci soit en contact avec Franck. Il saisi alors la mèche de Laurence qui reposait sur le haut du front puis pinçant la mèche entre ses doigts, coupa délicatement les pointes en oblique ce qui avait pour effet de désépaissir la mèche. Laurence gardait ses yeux fermés car les petits cheveux coupés lui tombaient directement sur le visage. L'opération terminée, il incita Laurence à redresser la tête puis de la main, lui frotta le visage. Un coup de peigne sur la mèche du front pour examiner le résultat. La mèche avait l'impression d'avoir fondue, c'était extra court et le coté effilé suivait parfaitement avec la coupe courte qu'elle avait subie.

Le sol, la cape et les épaules étaient recouvert d'un tapis de cheveux qu'arborait Laurence il y a 15 minutes encore, elle semblait retrouver ses esprits sentant que la coupe se terminait.

Franck posa les ciseaux sur la table et brancha la tondeuse sur la rallonge électrique qui  avait été préalablement préparée. Lorsque le "Clac !" caractéristique de la mise en marche fût enclenché, le bourdonnement de la tondeuse paniqua Laurence qui lui demanda d'y aller doucement et qu'elle ne voulait absolument pas se faire tondre.

Franck la rassura et lui expliqua qu'il devait juste s'occuper de sa nuque afin que celle-ci soit plus propre et en adéquation avec le reste de la coupe. Laurence fût plus détendu et se laissa faire lorsque la main de Franck l'invita à pencher fortement la tête vers l'avant, menton contre poitrine. Laurence avait maintenant tout le loisirs de contempler les cheveux coupés qui était sur la cape. La nuque fût rapidement peignée puis la tondeuse, munie d'un sabot de 2mm fût déposée contre la peau de Laurence. Cette longue nuque tendue offerte allait bientôt perdre encore de l'épaisseur. La main gauche posée sur le haut du crâne de Laurence imposait à Laurence cette position soumise à son mari, sa tête était ainsi bloquée, Franck pouvait tondre la nuque comme il le désirait. En remontant doucement la tondeuse vers le haut, les lames tranchaient les cheveux de la nuque décrivant des bandes plus claires. Doucement, les coups de tondeuse faisaient tomber de tout petits cheveux coupés dans le cou de Laurence. Rapidement, la nuque fût rasée à 2mm jusqu'à la moitié du crane, Franck incita Laurence à reprendre une position normale pour sa tête puis passa un rapide coup de peigne dans le cou pour retirer le maximum de petits cheveux coupés. Il retira alors le sabot pour raser les petits cheveux ça et là dans le cou puis força une nouvelle fois Laurence à pencher la tête en avant pour raser le bas de la nuque à blanc avant de venir rejoindre progressivement les 2mm de cheveux. Une fois terminé, Franck coiffa Laurence avec son peigne, les cheveux étaient court, façon "garçonne". Il fît rapidement de tour de Laurence pour examiner la coupe sous tout ses angles. Lorsqu'il passait devant Laurence, celle-ci n'osait pas regarder son mari, un sentiment de soumission la gênait fortement. 

Un détail choqua Franck, la nuque bien rasée tranchait fortement avec les cotés, pourtant bien court mais lui paraissant encore trop épais pour la circonstance. Il fît replacer la tête de Laurence sur le coté d'un mouvement de la main et reprit à nouveau la tondeuse, la remis en marche puis à l'aide du peigne, coiffa les cotés en remontant vers le haut. Ainsi, le peigne plaqué sur le crâne faisait office de gabarit et Franck remontait les cotés de bas en haut doucement et d'un mouvement latéral, appliquait la tondeuse contre le peigne, rasant les cheveux qui dépassaient. En remontant le peigne vers le milieu de la tête, Franck relevait le peigne pour rejoindre progressivement la longueur du dessus. Cette fois ci, une pluie de tout petits cheveux ruisselaient sur la cape, tombant sur l'épaule avant de rejoindre le sol. Franck pencha la tête de Laurence dans l'autre sens pour terminer de tondre l'autre coté. Alors qu'il plaçait le peigne contre la tête de Laurence en remontant vers le haut, il compris que Laurence prenait beaucoup de plaisir à se faire couper les cheveux. Ces yeux étaient clos, elle donnait l'impression  de rêver. Doucement les cotés furent coupés bien court et cette nuque bien dégagée encore maculée de petits cheveux collés donnait à Laurence un air provocateur. Il passa alors ses mains sur les cotés, le dessus et remontait la nuque vers le haut pour finir sur le front. La nuque et les cotés piquait la paume des mains de Franck et Laurence aimait se faire caresser la tête de la sorte. Il proposa à Laurence de lui ôter la cape puis de le suivre à la salle de bains pour se faire laver les cheveux et lui faire une coloration qu'il avait lui-même choisi par la même occasion. Dès que la cape fût retirée, Laurence posa ses mains directement sur sa nuque en remontant vers le dessus de sa tête puis s'en suivi le même rituel avec les cotés bien coupés court. Aucune réaction de sa part, juste un grand sourire qui en dit long sur son avis. La cape avait alors fait tomber les dernières mèches coupées sur le sol et on pouvait voir un tapis de cheveux sur 20cm autour de la chaise. 

Franck proposa à Laurence de lui laver les cheveux dans la salle de bains et ainsi la débarrasser des petits cheveux qui lui grattaient le cou. Elle accepta toujours sans un mot, se déshabilla puis s'agenouilla en penchant sa tête au-dessus de la baignoire. Faisant couler l'eau chaude, Franck remontait la nuque de Laurence de sa main vers le dessus de la tête et cela excitait beaucoup sa femme. Cheveux rincés et débarrassés de tout les petits cheveux coupés, ils furent rapidement lavés et rincés à nouveau. Puis Franck sortit une boite de coloration qu'il s'empressa d'appliquer sur la tête de Laurence. En moins de cinq minutes, la coloration était appliquée, il ne restait plus qu'a attendre 30mn pour fixer la couleur. Franck proposa un café à Laurence pour la faire patienter. Dans la cuisine, il pris le temps de lui demander son avis sur sa nouvelle coupe de cheveux qu’elle semblait apprécier puis lui dit :

« Ma chérie, je pense bien que la semaine prochaine tu passera une nouvelle fois sous la tondeuse, cela te feras le plus grand bien pour l’été ! » 

Laurence n’eut pour réaction qu’un sourire complice !