LA JEUNE FILLE AU PAIR

 

 

Je m’appelle Alice, et j’ai 21 ans. Je suis étudiante, et l’année dernière, je suis aller en Angleterre comme jeune fille au pair, pour perfectionner mon anglais.

J’étais accueillie dans une famille de cadres moyens, dans la banlieue de Londres. Andrew et Sarah, la quarantaine, avaient deux enfants, deux filles : Ann, 18 ans, jolie blonde aux cheveux lisses et coupés au carré au menton, et Kate 20 ans, les cheveux auburn, coiffée elle aussi au carré. Tous étaient très gentils avec moi, et j’ai été rapidement à l’aise dans cette famille.

Très vite je me suis rendue compte que les parents étaient très sévères avec leurs filles, qui étaient souvent réprimandées. A chaque fois elles étaient très gênées, et je sentais qu’elles allaient être punies, mais il ne se passait rien. Lorsque j’en parlais avec Kate, celle-ci me répondit que je verrais cela samedi.

Et en effet, le samedi arriva et je fut invitée à assister à la séance de punition des filles. J’étais un peu gênée, mais surtout je trouvais cela plutôt surréaliste que des jeunes filles de l’âge de Kate et Ann soient encore punies comme des gamines par leurs parents. Nous étions dans le salon, et les filles parurent devant nous, complètement nues. Ma gêne augmentait en même temps que mon excitation. Les filles, elles, semblaient plutôt à l’aise, et me lançaient des coups d’œil à la dérobée.

On commença par Ann. Son père énuméra toutes les fautes qu’elle avait commises durant la semaine, sa mère en rajouta un couplet, et pendant qu’on lui faisait la morale, elle gardait la tête baissée comme une gamine.

Puis ce fut le tour de Kate, dans les même conditions. Enfin on passa à l’exécution des punitions. Sarah plaça un tabouret au milieu de la pièce, et Ann fut la première à s’y installer. Elle se mit à plat ventre sur le tabouret, sa mère lui maintenant les deux jambes. Dans cette position, elle offrait largement son postérieur.

 

Andrew était armé d’une large ceinture de cuir, très souple, et je devinais bien qu’elle avait dut déjà beaucoup servir. Lorsque le premier coup est tombé, je n’ai pas pu m’empêcher de sursauter, presque autant qu’Ann. Mon trouble augmentait de minute en minute, et je m’imaginais à sa place sur le tabouret.

Les coups pleuvaient. Andrew frappait méthodiquement, faisant rougir les fesses de sa fille. Ann poussait parfois de petits cris, mais je sentais qu’elle avait l’habitude de ce genre de correction, et cela ne semblait pas trop dur pour elle. Néanmoins, la punition terminée, ses fesses avaient de belles couleurs.

Kate prit sa place sur le tabouret, et elle reçu elle aussi sa ration de coups de ceinture. Elle pleurnichait ce qui avait pour effet d’accroître mon trouble.

Après la correction, les filles ont été mises au piquet dans la cuisine. Toutes nues, à genoux les mains sur la tête, chacune dans un coin de la pièce. J’étais tellement excitée, que je suis monté dans ma chambre pour me caresser. Je revoyais cette séance de correction, et j’imaginais les deux filles nues dans la cuisine.

Le piquet dura deux heures, puis les filles furent envoyées au lit jusqu’à la fin de l’après midi. Les jours suivants, j’aurais bien aimé parler avec les filles de la correction qu’elles avaient reçues, mais je n’osais pas.

Une semaine s’est écoulée. J’ai expliqué à Andrew et Sarah que j’étais très gênée d’assister à la punition des filles. Par ailleurs j’expliquais que j’étais aussi impliquée dans pas mal des bêtises qui leur étaient reprochées, et que j’étais donc un peu coupable aussi.

Je mis tant de convictions à les défendre que Sarah me fit remarquer que puisque j’étais coupable, je devrais être punie moi aussi. C’est ce qu’elle me proposa. J’hésitais un peu, angoissée par ce qui pourrait m’attendre, puis je décidais de prendre mes responsabilités et j’acceptais.

Je me retrouvais donc avec Ann et Kate, toute nue comme elles. J’étais morte de honte et j’essayais de me cacher derrière elles. Mais mon tour arriva, et je dus m’avancer devant Andrew et Sarah.

J’eus droit à l’énumération de mes bêtises de la semaine, assorti d’une leçon de morale. La tête basse, je répondais « oui monsieur » ou « oui madame ».

Pour la correction je passais la dernière. J’étais morte de peur, mais terriblement excitée. Sarah m’aida à me mettre en place sur le tabouret. Le premier coup claqua sur mes fesses. Pas vraiment douloureux, mais au fur et à mesure, je sentais mon postérieur s’embraser.

Ca commençait à faire vraiment mal au bout d’un moment, mais en même temps j’étais de plus en plus excitée. A la fin je pleurais et je mouillais en même temps.

Puis j’eus droit au piquet dans la cuisine, ce qui est bien plus désagréable qu’on ne l’imagine, à genoux sur le carrelage froid, les mains sur la tête sans pouvoir bouger. Enfin je fut envoyée au lit. Toujours très excitée, et couchée sur le ventre, évidement, je commençais à me masturber.

C’est alors que les filles entrèrent dans ma chambre, sans bruit. Ann se glissa dans le lit et sa main vint remplacer la mienne. Il n’était pas question de protester, et de toute façon Kate avait déjà collé ses lèvres sur les miennes et enfoncé sa langue dans ma bouche. C’était divin. Je me laissais aller complètement, découvrant pour la première fois le plaisir saphique. Tout le reste de l’après midi les deux filles s’occupèrent de moi, et je tentais de leur rendre la pareille.

Depuis cette première fois, tous les samedis j’étais punie comme Ann et Kate. J’y prenais de plus en plus de plaisir. J’aimais être humiliée. Une fois, sans que j’y prête vraiment attention, Sarah avait fait allusion à mes cheveux. J’ai les cheveux châtains, et à l’époque je les portais longs sur le haut du dos, et le plus souvent je les laissais libre. Elle m’avait alors conseillé de les attacher ou de les couper.

Lorsque la séance de punition du samedi suivant arriva, à mon tour, on fit l’énumération de mes fautes, et Sarah ajouta un couplet sur mes cheveux, me reprochant de ne pas avoir tenu compte de ses remarques. Après la distribution de coups de ceinture, Sarah me fit mettre à genoux et Andrew me plaça un grand bol en plastique sur la tête, qu’il enfonça et qu’il maintint énergiquement. Il ne restait plus à Sarah, qu’à couper les cheveux qui dépassaient du bol.

J’ai failli hurler lorsque j’ai compris qu’on allait me couper les cheveux. Mais je parvint à me retenir et éclatais en sanglots comme une gamine. Le bruit horrible des ciseaux tranchant mes cheveux, les mèches glissant sur mes épaules nues, toutes ces sensations augmentaient mon excitation. J’avais des cheveux coupés plein la figure, collés par les larmes. Andrew ôta le bol sur ma tête, et Sarah coupa encore quelques mèches longues avec sa paire de ciseaux, puis elle s’arma d’une tondeuse mécanique, pour achever ma coupe au bol, en rasant les cheveux devant et derrière les oreilles et sur la nuque.

J’étais dressée sur mes genoux, la tête baissée, les deux mains croisées sur mon sexe, pendant que Sarah me tondait les cheveux.

La coupe terminée, je ressemblais à un champignon. Avant d’aller au piquet, on me fit ramasser mes cheveux coupés pour les jeter à la poubelle. Le pire fut quand je dus retourner à la Fac le lundi suivant. Tout le monde se retournait sur moi. J’étais morte de honte, et terriblement excitée en même temps.

Pour faire bonne mesure, le samedi suivant, Sarah reprocha à ses filles de s’être moquées de moi alors que j’avais les cheveux coupés. J’ai alors tout de suite deviné que j’aurais droit au spectacle, mais cette fois en tant que témoin, ce qui provoqua une véritable inondation que j’eus du mal à contenir.

Je suis passée la première, et j’ai reçu ma ration de coups de ceinture. Puis ce fut Ann et Kate qui furent corrigées, et enfin Andrew posa sa ceinture de cuir pour prendre le bol de plastique, alors que Sarah exhibait sa large paire de ciseaux.

Les deux filles étaient à genoux, comme je l’avais été la semaine précédente, l’une à côté de l’autre. Ce fut Ann qui la première se vit appliquer le bol sur la tête. J’étais au bord de l’orgasme.

Sarah avait l’air de prendre plaisir à cette punition si humiliante. Elle coupait les cheveux tout autour de la tête d’Ann, faisant littéralement « éclater » les mèches d’à peine quelques centimètres qui dépassaient du bol. J’aurais aimé qu’elle pleure, mais visiblement Ann était habituée à ce genre de séance, et elle semblait indifférente à son sort.

Après le bol, se fut la tondeuse, comme pour moi. Ann avait les épaules couvertes de cheveux coupés, éparpillés, comme un tapis sur sa peau. Elle resta ainsi, dans la même position, pendant que ses parents coupaient les cheveux de Kate.

Cette après midi là, nos ébats furent particulièrement excitant, et ma jouissance fut décuplée par les caresses que je pouvais donner sur les nuques rasées de mes compagnes.

Mon séjour dura un an. Un an pendant lequel j’ai été punie chaque samedi, et on m’a coupé les cheveux de cette manière ridicule tous les deux mois, et même à la veille de mon départ.

Depuis, mes aventures lesbiennes se sont multipliées, mes cheveux sont coupés en brosse, comme un garçon, et il m’arrive quelquefois de regretter les coups de ceinture d’Andrew.

 

 

FIN