LA MAROCAINE

 

Je suis Marocaine vivant en France avec ma famille. J’ai été marié par mes parents à l’age de 29 ans, à un homme français de 40 ans soit disant musulman et respectable, Bien mal leur en a pris.

Dés la première semaine passée avec mon mari, je me suis rendu compte que c’était un homme autoritaire, sans pitié, et loin d’être prés de la religion. Cotés financier, je n’ai pas besoin de travailler, il est chef d’entreprise et me donne tous ce dont j’ai besoin, je suis femme au foyer avec tous ce que cela engage. C’est à la deuxième semaine de vie commune que Pierre a commencée à être précis dans ces attentes vis à vis de moi.

Le repas devait être prêt pour son arrivée, la maison devait être ultra propre, les poussières faites tous les jours, les objets rangés à leur place respective, etc…….

Les semaines ont passées et un soir, Pierre est rentré plus tôt du bureau. J’étais dans la cuisine à préparer le repas du soir quand il est entré.

- Alima, j’ai besoin d’une gâterie.

Il me prend par les épaules me fait mettre à genoux et sort son sexe poilu que je prends en bouche pour le sucer. Pierre étant un adepte de la fellation, j’ai du le sucer et lécher ces bourses plein de poils pendant plus de 20 minutes. Il retire son sexe de ma bouche, me remonte et me colle sur la table de la cuisine. Ma jupe retroussé, il me retire ma petite culotte et s’engouffre dans mon sexe.

Pierre s’active en moi, me traitant comme à l’habitude de petite salope. Après de long vas et vient, il arrive au sommet du plaisir, et pour finir sa fornication, il vient vider l’intégralités de son jus dans ma bouche qui ingurgite la semence blanchâtre et amer.

Un soir en rentrant du bureau, Pierre me demande d’être attentif à ce qu’il allait me dire.

- A partir de demain, je veux que tu ais la parfaite apparence d’une femme musulmane. A cet effet, je t’ai acheté une djellaba et un foulard pour couvrir la tête. Demain je préparerais ton corps pour l’occasion.

Que puis je répondre à cela, je ne peux que lui être soumise, cela fait partie de mon éducation de femme arabe !!!!!!

Le lendemain matin, le ventre bien rempli, Pierre m’informe que le moment est venu pour moi de subir un changement. Je suis invité à me rendre dans la grande salle de bain de la maison. Je découvre au centre de la pièce un tabouret sur lequel je dois m’assoire, puis Pierre me dit :

- Puisque tu vas porter un foulard, je ne vois pas l’utilité d’avoir des cheveux sur la tête, donc j’ai décider de te tondre.

Je n’en crois pas mes oreilles.

- Pardon, tu vas quoi ? mais ce n’est pas possible ?

- Je vais te raser la tête. Tu n’as pas ton mot à dire, c’est ainsi.

Mes jambes deviennent comme du coton, je ne comprends plus rien. Une femme doit être belle pour son mari, mais de là a ce faire tondre, es-ce bien dans nos mythes, je ne pense pas. Encore une fois que puis je faire ? rien.

Sans grande gentillesse, Pierre passe mes long cheveux par dessus la tête, ces derniers me recouvrant le visage, et la main me maintient fermant le crâne. J’entends un cliquetis, puis un bruit assourdissant, la tondeuse est en marche. Aussitôt, je sens une vibration se poser su ma nuque, puis un bruit stridant. La machine monte lentement au sommet de ma tête, je sens ma nuque se soulager d’un poids, puis la respiration de Pierre venir frapper sur une partie de ma nuque que j’imagine dégarnie. Les cheveux cachant mon visage commence à s’éclaircire. Je vois très nettement les longues mèches tomber sur mes genoux, puis sur le sol. L’horizon s’illumine, mes à quel prix.

Le bruit de la tondeuse devient infernale, elle repasse plusieurs fois au même endroit, chaque passage est marqué par une pression plus forte que la précédente, par moment une petite douleur se fait sentir. Ce passage de la tonte imposé par mon mari devient long et fatiguant par le bruit. Je sais que cela n’est pas terminé, seul le contour de ma tête est passé entre les lames de la tondeuse, il reste encore le dessus, à moins que Pierre en ai décidé autrement.

J’ai le droit à un petit moment de répits, Pierre nettoie la tondeuse, afin de la préparé pour le final, enfin ce que je pensais être le final.

Avant de reprendre la coupe, Pierre me demande de me lever et me place face au miroir posé sur le mur de la pièce.

- Regarde la première phase de ta métamorphose. Humiliant, non ?

En effet, c’est tout à fait humiliant. Je constate que seul les cheveux du dessus de mon crâne sont encore présents, tout le reste est coupé à ras, laissant apparaître une peau blanche, je ressemble à un champignon, c’est affreux.

Je retourne sur le tabouret de la potence, la tonte reprend activement.

Cette fois, je sais que je n’ai plus de cheveux sur la tête, ces derniers jonchent le sol. La machine infernale s’arrête. Enfin, je vais pouvoir maintenant de mettre à balayer la pièce, à nettoyer tous mes cheveux qui m’ont été volé.

Au moment de me lever, Pierre me retient.

- Ou vas-tu comme ca, je n’ai pas terminé, reste là.

- Mais je croyais que tu avais terminé.

- Quand je t’ai dis que j’allais te raser la tête, c’est que je vais te raser complètement la tête. Je ne veux plus voir un seul poils sur ton crâne.

Tout en parlant, je sens la mains de Pierre masser ma tête avec un produits, enduisant tout mon crâne. A cette instant, j’ai compris qu’il allait terminé en me rasant de prés. Là encore, bon nombres de passage on été obligé pour satisfaire Pierre. Il lui fallait une peau plus lisse que lisse.

Cette fois, la prestation terminé, je n’ai pas eu le droit au miroir. Le rasage achevé, je suis dirigé vers la chambre.

- Maintenant Alima, tu te déshabilles et tu enfile la djellaba qui est sur le lit.

Très rapidement, je me retrouve en petite tenue et je commence à enfiler cette robe quand Pierre me dit :

- Non, non. A partir de ce jour tu seras nue en permanence sous la djellaba. Tu ne porteras plus de sous-vêtements. De plus, toujours a compter de ce jour, je t’interdis de te couper les poils pubiens. Je veux cet endroit aussi naturel que possible.

Une fois revêtue de la robe, Pierre me pose le foulard. J’ai l’apparence d’une parfaite musulmane.

 

 

 

6 mois plus tard, rien n’a changé, bien au contraire.

Toutes les semaines, le rituel. Pierre rase mon crâne de près de très près. A la fin de chaque séance, je dois manger mon homme pour le remercier de s’être occupé de moi.

En six mois, j’ai appris à apprécier le moment du rasage de mon crâne. En effet semaine, après semaine, j’ai découvert des sensations que je n’arrive toujours pas à m’expliquer.

En six mois, mes poils pubiens ont largement poussés. Je n’ai toujours pas le droit de les couper. Je me retrouve avec une touffe de poils qui orne mon sexe. Je ne trouve pas cela forcement jolie, mais mon homme à décidé pour son ultime plaisir de conserver cela en l’état.

En six mois mon état de femme arabe soumise a évolué. Il semble que les femmes arabes soient très prisées par certains hommes. De temps en temps, dans la semaine, je reçois la visite d’hommes, des habitués maintenant qui sont envoyé par Pierre. J’ai pour mission de satisfaire ces messieurs, bon grés, malgré. Mais ce que préfère Pierre, c’est le samedi d’organiser des jeux ou je suis la seule et unique femme.

Est attribué a chaque participant un numéro, puis les hommes me possèdent autant de fois qu’ils le veulent, par n’importe quel orifice, alors que je suis habillé en musulmane.

Quand arrive la fin de la journée, un tirage au sort est effectué, le numéro gagnant, à le droit me mettre nu et de me posséder encore une fois à sa guise. A ce moment toute l’assemblée nous entoure, nous mâte, les mains caresse longuement mon crâne rasé et leurs jus vient salir tout mon corps.

Quant tous le monde est partie, je termine la soirée monté par Pierre qui adore voir mes poils maculé de sperme, cela le rend dingue.

En six mois, la dernière trouvaille de mon mari, nos prochaines vacances se passeront sur une plage de nudiste. Le crâne tondu et les poils du sexe encore plus long. Je vais avoir la honte…….

 

 

 

Voilà, chers adeptes des cheveux court et de la tonte ce que j’ai subit, ce que j’endure depuis mon mariage avec Pierre. En avançant dans le temps, je me rend contre que je suis devenu tout simplement une chose, sa chose, mais croyez moi si vous le voulez, j’ai appris à aimer cela et maintenant nous sommes de vrai complice. Je comprends ce que vous recherchez dans l’acte de la tonte, c’est un vrai bonheur.

Pierre m’a libéré de l’enseignement parental que j’ai reçu, avec les traditions du pays. Quant à mes parents, ils sont heureux, croyant que vêtue d’un foulard je suis une parfaite femme arabe.