Elevée dans des institutions religieuses, Claire avait une confiance aveugle en tout ce qui portait cornette ou soutane.
Aussi, le jour où Monseigneur la pria de venir en son cabinet de travail, elle sy rendit lâme légère, ravie davoir été remarquée parmi tant dautres.
Après lavoir complimentée sur sa belle chevelure blond cendré quil compara à celle dun ange, il lui proposa de devenir son assistante. Claire, fière et heureuse de cette promotion, accepta avec enthousiasme et reconnaissance.
Dès le lendemain, elle se présenta auprès du prélat. Elle sétait vêtue comme il se doit dune jupe bleu marine, dune chemisier blanc et de souliers plats. Son opulente et ondoyante chevelure blonde avait été serrée en un chignon extrêmement strict. Monseigneur la contempla. Il lui expliqua quelle devait suivre en tous points ses instructions et ne point sinterroger quant à leur bien fondé. Il lui expliqua quelle devrait toujours taire tout ce quelle verrait ici, quelle était tenue au secret "professionnel". Claire acquiesça et dit à Monseigneur quelle avait totale confiance en lui et quelle sen remettait à sa sagesse, quelle obéirait en tout point à ses souhaits.
Monseigneur la fit venir devant lui et lui demanda de se déshabiller. Claire, interdite, linterrogea du regard. Monseigneur fronça les sourcils et Claire obéit, navait elle pas promis ? pouvait elle offenser Monseigneur ?
Lecclésiastique était bouleversé par ce jeune corps avec de jolies petites formes à peine dessinées. Il avait eu fin nez de choisir la donzelle. Il naimait pas les corps épanouies. Il se mit à explorer la jeune femme dans ses recoins les plus intimes, à la fouiller, à tester sa capacité d obéissance. Claire, honteuse, avait le rouge aux joues. Monseigneur sourit, tu rougis Claire, mais ton sexe est mouillé.
Pour me servir parfaitement, ton corps devra subir quelques "aménagements". Claire se demandait bien de quoi il sagissait. Elle nattendrait pas longtemps. Dénoue tes cheveux, dit Monseigneur. Aussitôt une puissante cascade de cheveux fut libérée. La longue parure descendait en dessous des fesses de Claire, les boucles ondulaient, la masse formait un long et épais manteau.
Il fit asseoir Claire sur un tabouret et lissa la toison avec douceur en la coiffant tout autour de la tête de la jeune femme. Ces cheveux sont trop voyants et sensuelles pour lassistante dun évêque. Nous allons remédier à cela. Claire saffola, mais nosa pas bouger. Monseigneur coiffa Claire dun grand bol de céramique et saisit une paire de ciseaux quil avait visiblement préparée. Il entreprit de couper tout ce qui dépassait de la céramique. Dabord il coupa les longues mèches du devant et obtint ainsi une frange assez courte. Claire était à la torture, il nallait pas oser ? Puis il découpa les cheveux selon le strict dessin du bol. Au fur à mesure de lavancement de la coupe de longues mèches tombaient au sol, laissant Claire clouée par la terreur certes, mais aussi par le plaisir elle devait bien lavouer.
Lorsque Monseigneur retira la coiffe, Claire ressemblait à une sorte de Jeanne dArc. Mais Monseigneur avait choisi un bol suffisamment petit pour que la coiffure fut nettement plus courte.
Il prit ensuite une coupe remplie de mousse à raser et en enduisit le crâne de Claire tout autour de la tête, juste sous larrêt de la coupe. Il rasa ensuite soigneusement le pourtour de la tête. Claire était rasée jusquà la moitié du crâne et portait une couronne arrondie au dessus.
Voilà Claire tu es devenue un petit moinillon. Tu porteras la robe de bure et la corde de chanvre. Tu seras affectée à mon service très personnel. Tu seras honorée comme le sont les petits garçons.
Claire enfila les vêtements sur son corps nu. Monseigneur releva larrière de la robe et la coinça dans la corde. La porte de derrière de Claire était ainsi constamment disponible.
Monseigneur la laissa en position à genoux sur le prie dieu, la robe relevée, le crâne rasé et serti dune épaisse couronne de cheveux.
Il revint quelque temps plus tard et observa le joli tableau. Ce petit moine était ma foi bien présentable. Enfin, presque. Il manquait quelque chose, et Monseigneur savisa que les moines portaient tonsure.
Il disposa sur le haut de la tête de Claire un cercle de caoutchouc et fit ressortir toutes les mèches de la partie évidée. Il trancha net mèche par mèche les cheveux du dessus. Cet endroit sappelait la tonsure, aussi à laide dune tondeuse mécanique il entama ce quil restait des cheveux du centre, le cliquetis et la froidure du métal faisaient frissonner Claire. Ca nétait plus deffroi, mais de plaisir. Monseigneur rasa enfin ce cercle parfait.
Claire avait maintenant tout du moinillon quelle devait devenir et Monseigneur ne se priva pas des services très particuliers du petit moine.