Nathalie prise au piège (première partie)


Une copine de mes amies est coiffeuse, elle s’appelle jennifer, je l’ai vu de temps en temps à des soirées organisée par mon amie Sandrine. C¹est une fille de 22 ans, blonde les cheveux courts et hirsutes, avec les yeux cerclés de noir qui lui donne un coté punkette. Je suis toujours intimidée de la voir, moi c’est tout le contraire, j¹ai 20 ans, mes yeux noisettes et mes beaux cheveux lisses me donne un look d’étudiante de bonne famille.
Il faut dire que je ne fais rien pour changer mon genre, j’aime l’ordre, que ce soit dans mes études (que je reussis avec succès), que dans mes cheveux, ils sont châtains foncés, s’arrêtant au milieu du dos environ avec une frange longue et balayée sur le coté (écrivez moi pour voir ma photo, mon adresse est : shampooing@wanadoo.fr).
A chaque fois que je la rencontre, elle me propose toujours de passer au  salon où elle exerce son métier, " pour toi le shampooing sera gratuit " me dit-elle comme si nous étions de bonne copine...
Par un jour pluvieux, je me décide à appeler le salon "hairstyle " pour prendre rendez-vous, par chance je tombe sur Jennifer qui se rappelle aussitôt de moi, le rendez-vous est pris pour l¹après-midi. J’y vais décontractée en jean et en pull, à peine rentrée, la chaleur du salon m’envahie, Jennifer me reçoit toute souriante, durant la coupe, ou devrais-je dire l’égalisation de mes pointes, nous sympathisons et Jenni me propose de sortir avec elle le soir même en boite, un peu hésitante je me décide à accepter. Pour l’occasion, Jenni décide de me faire un superbe brushing, pas un brushing classique en brossant les cheveux par en dessous pour leur donner du volume, mais en les brossants par dessus, pour les lisser au maximum. Le résultat est au dessus de mes espérances, ma chevelure légèrement plus longue, est parfaitement lisse et beaucoup plus soyeuse d’aspect. Encadrant mon visage, les mèches longues ondulent voluptueusement à chaque mouvement de tête. Sa patronne Madame Lemoine, vient nous voir et lui fait comprendre que je ne suis pas la seule cliente, nous nous quittons en nous faisant la bise sous le regard autoritaire de la patronne.
La soirée se passe très bien, sauf que Jennifer semble plus attirée par les filles que par les garçons, je la soupçonne même de me draguer un peu, choquée je lui fait comprendre que je suis 100% hétéro, elle sourit et me dit " crois-tu ? Puis réplique " en tous cas, si la prochaine fois que tu viens au salon tu ne portes pas de culotte, je te fais le shampooing et le brushing gratuitement ", elle sourit de plus belle, je regarde les yeux au ciel en disant " n¹importe quoi !
N’empêche que nous devenons de super copines, et au bout de quelques mois je décide de lui faire une surprise : je vais au salon, me fait shampooiner, égaliser les pointes, coiffer au séchoir, et au moment de payer je dis à Jennifer " n’oublis pas ta promesse ", elle me regarde toute étonnée en me souriant " tu as osé le faire ? " me dit-elle en regardant instinctivement mes vêtements. Elle reprend ces esprits et me dit " tu triches un peu car tu portes un jean et un gros pull ! mais bon, un pari est un pari, la prochaine fois je serais plus explicite ! ". Je suis toute fière de moi, je paye uniquement la coupe, voyant très bien que je profite un peu d’elle, sachant que je ne la laisse pas indifférente.
Un peu plus tard dans la semaine, Jenni me raconte qu’elle s¹est fait engueuler par Madame Lemoine à cause de moi, elle lui a menti en racontant qu¹elle s¹était trompée lors du paiement.
Il faut dire que Madame Lemoine n¹est pas une femme facile, elle à 45 ans, veuve depuis 5 ans, bourgeoise et radin à l’extrême, elle dirige son salon avec une main de fer.
Excitée par ce que je que j’avais osé faire, Jenni me relance un pari mais en étant plus précise dans ses exigences, " si tu viens en jupe et chemisier décolleté sans le moindre sous-vêtement, je te fais le shampooing / coupe / brushing gratuitement !.
Restant encore sur ma victoire, je lui fais comprendre d¹un air blasé que je n¹ai pas besoin de cela pour lui prouver quoi que ce soit, et en fais exprès de la décevoir, et même si son idée me trottine dans la tête pendant un certain temps, je ne lui en reparle pas.
C¹est à présent l’été et je n’ai pas vu Jennifer durant plusieurs mois, je me dis qu’il serait bien de reprendre contact avec elle en allant chez le coiffeur, pas de chance, au téléphone je tombe sur Madame Lemoine, je lui demande un rendez-vous avec Jenni, elle prend note et me propose le jour même à 18h45, je trouve cela tard mais accepte, toute contente de lui faire la surprise de ma venue.
Pour ces " retrouvailles " je décide de l’étonner une fois de plus, en portant une mini jupe simple, noire opaque et avec un chemisier assortit pour cacher ma nudité, autant sous le chemisier que sous la jupe ! après tout,  avec la blouse du salon, personne ne verra rien.
Arrivée au magasin, un coiffeur me reçoit, je ne vois pas Jenni qui doit sûrement se trouver dans l’arrière boutique, l’homme me fait enfiler une blouse et m’indique les bacs à shampooing, toujours pas de Jenni en vue.  Un peu inquiète, pendant le shampooing, je demande au coiffeur si Jennifer est là, il me dit qu¹elle a été licenciée pour faute grave. Tout d’un coup le rouge me monte aux joues ! je me rends compte de la situation, je suis dans une tenue plutôt sexy sans le moindre sous-vêtement et sans un Euro en poche. Les cheveux mouillés, prête à me faire coiffer, je n’ose revenir en arrière et leur expliquer la situation, je m’assois dans le fauteuil à coiffure comme si de rien n’était. Très perturbée par ce qui m’arrive, je laisse le coiffeur s’occuper de mes cheveux comme il veut, il en profite pour me couper au moins 10 cm de longueur, afin, dit il : "que mes cheveux s¹arrêtent parfaitement droit dans le dos", n¹empêche que mes cheveux s’arrêtent à présent sous les épaules ! très insatisfaite, je n’ose rien dire en attendant la suite des évènements. Pendant la coupe le coiffeur me parle un peu, et notamment de Jennifer " Vous êtes une amie de Jenni, n¹est-ce pas ?, on vous a déjà vu venir ici plusieurs fois ", je réponds oui de la tête et il reprend " elle avait l¹habitude de faire des tarifs très léger pour ses copines, il a fallu que madame Lemoine arrête cela , vous comprenez " me dit-il, de plus en plus gênée j’approuve ce qu’il dit en rougissant de plus belle !
Beaucoup moins talentueux que Jenni, le coiffeur me fait un brushing en brossant mes cheveux par en dessous, pour leur donner de l’ampleur, cela me donne un look très kitsch ! le genre Kelly, de drôle de dame ! (époque de la série télé), avec beaucoup de volume et d’ondulation dans les mèches.
" Voilà, cela vous plaît ? " me dit-il tout fier de lui, en me montrant la coiffure dans le reflet du miroir. Vu la situation je ne peux qu’approuver, et me lève pour passer à la caisse, j’explique que je suis sans un sou, prétextant que Jennifer me devait de l’argent, le coiffeur embêté appelle Madame Lemoine qui me fait passer dans l’arrière boutique, je me sens ridicule avec cette tenue courte et ma coiffure encombrante, devant cette femme mûre habillée d¹un tailleur beige très strict.
" Comprenez que nous ne travaillons pas gratuitement ici, et que votre coiffure, d¹une manière ou d¹une autre vous la paierez ! ", elle demande sèchement ma carte d¹indentité, je lui explique que je n¹ai aucun papier sur moi, " dans ce cas, il m¹est impossible de vous laissez partir " répond elle.
Elle commence à regarder si je n¹ai pas de poche et s¹aperçoit rapidement que je ne porte pas de soutient gorge, d¹un geste rapide et précis elle fait glisser son doit le long de ma jupe pour sentir l’éventuel élastique de ma culotte, sa réaction ne ce fait attendre, " effectivement, vous ne portez pas un sou ! je dirais même pas un sous-vêtement ! Philippe venez ici !" Dit-elle à l’employé qui vient de me coiffer : " la Mademoiselle, ne peut pas nous payer, je vais devoir déduire les 50 Euros de votre salaire ! ", Philippe me regarde comme si c’était ma faute, Madame Lemoine réplique " mais rassurez vous Philippe, la demoiselle va vous payer comme elle le peut " en joignant les gestes à la parole, la patronne fait pression sur mes épaules pour me mettre à genoux, Philippe semble aussi étonné que moi " c¹est une salope " dit Madame Lemoine " elle ne porte rien dessous regardez" en disant cela elle ouvre en grand mon chemisier pour lui montrer ma poitrine. Philippe ne se fait pas prier, et compte bien ce faire dédommager d’une manière ou d’une autre, il approche de moi en dégrafant son pantalon blanc en toile ; " surtout, ne l¹a décoiffez pas, d¹une certaine manière, elle a tout de même payé pour cette coiffure, mettez vos mains dans le dos afin d’éviter de lui toucher les cheveux ". Philippe s’exécute docilement et présente son sexe en le poussant contre ma bouche, humiliée et contrainte j’ouvre les lèvres et reçoit ce sexe inconnu dans la bouche, la patronne m’ordonne de ne pas bouger, c¹est Philippe qui fait un mouvement de bassin afin de faire aller et venir lentement son sexe entre mes lèvres. Je soupçonne la patronne de prendre plaisir à nous voir ainsi. Avec son pied elle relève ma jupe sur les fesses nues pour lui montrer qu¹elle dit vraie sur moi. Philippe n’en revient pas et me traite à son tour de salope avant de jouir abondemment dans la bouche, en prenant précaution de ne pas salir mes cheveux. Son sexe entier est dans ma bouche, et je sens tout le membre se convulser en déversant lentement sa semence.
J¹ai un très mauvais goût dans la bouche lorsque Madame Lemoine m¹explique qu¹une fellation ne coute que 20 Euros avec une prostitué, et que je suis loin du compte. Afin de dédommager Philippe, elle m’ordonne de m¹asseoir dans un vieux fauteuil de coiffure, situé au fond de la pièce, me demande de placer mes pieds sur les accoudoirs de façon à lui présenter mon sexe de manière obscène, madame Lemoine relève le fauteuil, et l’ajuste pour que Philippe me baise debout sans la moindre difficulté. Il introduit son sexe en moi très facilement. La patronne me tient le cou pour que je ne puisse pas poser ma tête sur le dossier, "pour ne pas vous décoiffer" me dit-elle. La tête bien droite, je me vois dans le reflet d¹un miroir, je regarde mes mèches ondulées pas le brushing, danser autour de ma tête par les coups de butoir, "Le brushing est très réussi Philippe" dit la patronne à son employé. Pendant ce temps je vois les coiffeurs aller et venir dans la pièce en me regardant d¹un air vicieux " voilà ce qu¹on fait aux salopes qui ne veulent pas payer " dit madame Lemoine à son personnel. Je me sens terriblement humiliée par cette punition, pourtant, je commence malgrès moi à prendre beaucoup de plaisir, et pendant que Philippe éjacule une seconde fois en moi, je ne peux m’empêcher de gémir en prenant un orgasme fulgurant. Au bout de quelques minutes je reviens à moi, baisse ma jupe et fuis le salon de coiffure comme une voleuse, " reviens quand tu veux, même si tu n¹as pas d¹argent, on se débrouillera " me dit elle très sérieusement. Depuis, je n¹ai jamais repris contact avec Jennifer, et en ce qui concerne le salon "hairstyle", une envie plus forte que la raison me pousse à y retourner. A suivre.