LES MALHEURS DE SOPHIE - LA FIN
Les jours passaient et les deux amoureux se
perdaient dans la folie de leur jeu. Marc avait passé le crâne de Sophie totalement au
rasoir. Elle sétait retrouvée lisse comme une pomme et vivait maintenant en
parfaite harmonie, assouvissant pleinement tous ces fantasmes. Leurs jeux durèrent
quelques temps mais malheureusement, les cheveux ne repoussaient pas aussi vite
quils lauraient voulu. Les deux jeunes gens décidèrent de respecter un
moment de répit afin de redonner un peu de longueur à leur coiffure. Ils dévalisèrent
les pharmacies à la recherche du produit miracle qui leur permettrait de gagner un peu de
temps.
Dix
centimètres, cest la longueur quils sétaient mutuellement fixés avant
de retoucher à leurs cheveux. Sophie avait arrêté son travail et passait ses journées
à attendre Marc avec qui elle faisait lamour éperdument chaque soir mais tous deux
ne pensaient quà une chose. Dix centimètres, il leur fallut presque neuf mois pour
atteindre cette longueur, ce fut Marc qui, le premier, réussit à mesurer une mèche de
cette longueur sur la tête de Sophie. La joie les submergea et ils fêtèrent cela par un
repas somptueux et une nuit détreinte et de volupté.
Marc
avait promis à la jeune fille de létonner et de la combler pour toute cette
attente. Sophie se réveilla dans les bras de son amant prête à vivre une journée
exceptionnelle, elle couvrit son corps de baisers, le garçon sétira, son sexe
avait déjà réagi dans son inconscient. Sophie le prit dans la main, lembrassa
doucement, et faisant mine de lui parler, dit :
-
« Aujourdhui est notre Jour !!» Elle embrassa de nouveau le membre
dressé de Marc et se leva en riant.
Marc,
un rien frustré, mais aussi amusé par sa partenaire, se leva à son tour et prit le
téléphone.
-
« Qui appelles-tu ? »
demanda Sophie.
En
guise de réponse, le jeune homme lui fit un clin dil et lui montra ses
cheveux
-
« Allô, bonjour, euh, ce serait pour un rendez vous
à domicile, cest
possible, nest ce pas ? »
-
« Bien sûr, monsieur, lui répondit la voix au téléphone. Quel jour vous
arrangerait-il le mieux ?
-
« Cest pour deux personne, un couple, ce soir, ce serait super ! »
-
« Ce soir, voyons, oui, je peux venir
vers 20 heures si cela ne vous paraît pas trop tard. » répondit la correspondante.
-
« Cest
parfait , au contraire, nous vous attendons au 4, rue du Palais, a ce soir »
Marc
reposa le combiné du téléphone sans dire un mot. Excédée par ces mystères, Sophie la
harcela de questions. Le jeune homme prit la main de Sophie, la posa sur son sexe toujours
tendu et lui dit :
-
« Nous sommes deux à attendre à présent !! » Il lembrassa
fougueusement.
La
journée commençait et Marc, en partant au travail, demanda à sa compagne de se faire
particulièrement belle pour ce soir. Il avait une surprise à partager avec elle. Il la
voulait divine.
Sophie passa tout laprès-midi
dans la salle de bain. Elle prit un bain, épila soigneusement ses jambes et son sexe.
Elle se fit un shampooing et arrangea du mieux quelle put sa coiffure. Elle finit
par se maquiller avec beaucoup de minutie ; elle voulait quelque chose de
sophistiqué sans faire vulgaire pour autant. Le résultat était magnifique. Elle enfila
une petite robe noire sans rien mettre dessous. Elle sourit au reflet que lui rendait le
miroir. Il était 19 heures.
Marc
arriva et parût épaté par la réelle beauté de Sophie. Lui aussi la trouvait
merveilleuse. Il lembrassa en caressant sa nuque.
- « Aujourdhui est notre Jour !!»
lui souffla til dans le creux de loreille.
Il
disparut à son tour dans la salle de bain. Sophie entendit couler leau de la
douche, lenvie de sauter sur Marc la traversa. Il ressortit une demi-heure après.
Elle avait une terrible envie de lui.
Le
jeune homme se dirigea vers le coin coiffure quils avaient aménagé ensemble et
rapprocha les deux fauteuils de coiffure quils avait dégoté dans une brocante
trois mois auparavant. Il sassit dans lun deux et regarda sa montre.
-
« Viens avec moi ! Si tu veux. » dit il en faisant pivoter le fauteuil..
Sophie
sentit une boule dangoisse nouer sa gorge en sasseyant dans le fauteuil. Elle
conservait toujours la même réaction que lors de sa première tonte. Ses jambes
flageolaient et un tiraillement atroce vrillait son ventre. Elle prit la main de Marc et
balbutia
-
« Au..jour..dhui
est
..notre
.Jour ??»
La
sonnette de la porte dentrée retentit et Marc sauta du fauteuil pour aller
ouvrir ; en passant, il mit ses mains sur les yeux de Sophie et se pencha pour
lembrasser.
-
« Reste ainsi, tu pourras les rouvrir
tout à lheure, quand je te le dirais.. »
Elle
entendit son amant ouvrir la porte et discuter à voix basse. Elle sentit une présence
dans la pièce, une présence féminine à en juger par le parfum envoûtant qui se
dissipa rapidement dans la pièce. Quelquun sapprocha delle et déposa
quelques objets dans la tablette en inox quelle avait vue tout à lheure. Deux
mains se posèrent sur ses épaules, deux mains douces et caressantes.
-
« Alors, Sophie, on na plus la force de se rendre chez son coiffeur ? »
fit la voix en dispersant les cheveux de la jeune fille.
Sophie
sursauta, cette voix, elle la connaissait, cette voix à la suave et autoritaire, elle
ouvrit les yeux..
-
« Madame, dit la jeune fille, lair ébahi, Vous !!» elle regardait dans la
glace Madame de Saint Valois, son ancienne patronne, elle navait pas changé.
Lallure fière et hautaine dans son irremplaçable tailleur Chanel , elle
était toujours aussi belle et désirable. Son épaisse crinière blonde et légèrement
bouclée encadrait toujours un visage aux traits parfaits.
Sophie
chercha Marc, lui aussi, était apparemment tombé sous le charme. Il sassit sur
lautre fauteuil, lair un peu penaud.
Madame
alluma une cigarette et observa les deux jeune gens, on aurait dit un félin guettant ses
proies avant lattaque.
-
« Bien !, je suis donc ici pour vous coiffer ? nest ce pas ?
tous les deux ? Pourtant, vos cheveux ne semblent pas si longs et surtout pas si bien
coupés que cela. Mais le client est roi ! Avez-vous un désir particulier sur votre
coupe car apparemment vous semblez également porter la même ! »
Sophie
et Marc se tenaient la main, timidement, cette femme si belle, si hautaine les
impressionnait et rajoutait encore à leur angoisse. Marc, dun voix sans timbre,
murmura :
-
« Nous souhaitons une coupe courte, très courte, à la tondeuse ..»
-
« Alors comme ça vous voulez vous faire tondre. A la bonne heure !! Ca nous
rappellera le bon vieux temps, ma petite Sophie » fit madame en passant ses mains
manucurées dans les cheveux de ses clients.
-
« On va vous faire ça comme il faut, dit-elle dun ton méchant, je pense que
vous allez être satisfaits
Avez vous du ruban adhésif ? Car, étant donné le
caractère un peu particulier de la coupe, je pense que vous navez rien contre le
fait dêtre attachés. »
Sans attendre de réponse, elle commença à
immobiliser les poignets de Marc sur les accoudoirs du fauteuil. Les chevilles furent
fixées de la même façon au socle du fauteuil ; elle fit subir à Sophie le même
traitement puis fit pivoter les sièges de manière à ce que les deux jeunes gens
puissent se voir. Ils étaient maintenant totalement offerts aux caprices de Madame.
La
coiffeuse saisit une petite paire de ciseaux et coupa en deux la robe de Sophie de la
poitrine aux cuisses, elle tira un coup sec : Sophie se retrouva nue comme un ver.
Elle sapprocha ensuite de Marc et fit sauter la chemise du jeune homme sans
ménagement, elle se baissa ensuite et elle ouvrit sa braguette du garçon, en sortit le
membre déjà raide et le massa délicatement avec les mains en regardant Sophie dun
air mauvais. Marc avait du mal à se contenir et sentait monter en lui le point de non
retour tant les doigts de la coiffeuse étaient agiles. Experte dans ce domaine, elle
cessa immédiatement sa caresse laissant le garçon dans ce terrible état
dexcitation. Elle dégrafa sa ceinture et le bouton du pantalon et tira le tout sans
aucune délicatesse. Tout cela sétait passé sans un
seul mot, une chape de plomb reposait sur les trois personnages : un chat et
deux souris affolées.
Elle sapprocha ensuite de Sophie qui se mit
à trembler imperceptiblement ; elle constata avec délice que la jeune fille ne
portait pas de culotte. Elle se pencha vers son visage et lembrassa goulûment tout
en glissant une main douce et experte sur le pubis épilé de Sophie, la caresse devint
plus précise et saccentua sur le clitoris, enfin elle inséra deux doigts agiles
dans le vagin de la jeune fille qui sarc-bouta sur le fauteuil comme si une
décharge électrique la parcourait. Marc ne perdait pas une miette du spectacle qui ne
faisait quaccroître son érection. Il enrageait de ne pouvoir utiliser ses mains
pour se masturber. Sentant Sophie à la limite de lorgasme, Madame cessa tout geste
ou caresse et se contenta de déposer sur les épaules de chacun une minuscule serviette
éponge. Sophie connaissait le sentiment qui la parcourait, Madame le lui avait souvent
provoqué quand elle travaillait à son salon : ce mélange de peur et
lexcitation, ce délicieux cocktail de plaisir et de honte.
Un
silence de plomb régnait toujours dans la pièce. Madame ralluma une cigarette et à
nouveau, observa ses « victimes »dun air amusé à travers le miroir.
Elle se décida enfin et prit une grande paire de ciseaux droits aux lames longues. Elle
fit le tour des deux, coupant à chacun une mèche par-ci, par-là.
Puis
elle fondit sur Marc, tirant ses cheveux en les cisaillant aux ciseaux par poignées
entières ; Une fois coupées, elle les laissait ensuite tomber juste devant les yeux
du garçon. Elle tailla ainsi sans précaution aucune et de façon très irrégulière
lensemble de la chevelure de Marc. Elle apporta un rien de précision pour la coupe
de la frange quelle sectionna au ras de limplantation. Marc avait lair
grotesque et pitoyable : ses cheveux taillés en tous sens, ébouriffé sur le
dessus, les côtés pratiquement coupés à ras. Sophie le regardait avec tristesse :
le pantalon baissé, des mèches recouvrant son visage, son torse et son sexe toujours
aussi tendu. A ce moment là, elle pensa quelle était en train de devenir folle.
Madame
se désintéressa de Marc, le laissant ainsi attaché sur son fauteuil. Elle se tourna
vers Sophie qui retint son souffle, un tison de feu lui vrilla lestomac quand les
lames des ciseaux sapprochèrent de sa chevelure tout en claquant dans le vide.
Sophie crut mourir quand la coiffeuse lui saisit la frange et la tira très fort en
arrière, forçant ainsi Sophie à plier la nuque. Les ciseaux crissèrent sur la frange,
au ras du crâne, la première mèche tomba sur le ventre nu de la jeune fille. La
coiffeuse tirait si fort sur les cheveux que la douleur provoquée était fulgurante. Le
crissement des ciseaux qui se refermaient sur les cheveux libérait la jeune fille de la
douleur du tiraillement. Rapidement, le visage de Sophie fut recouvert de cheveux coupés
ainsi que son ventre. Sophie avait les cheveux coupés de la même façon que Marc,
cest à dire aussi mal ! Ils se regardaient tous les deux, éperdument
amoureux. Sophie fixa le sexe de Marc dressé comme jamais, recouvert de cheveux. Elle
avait envie de lui. Elle avait envie de douceur, envie des mains douces de Marc pour finir
de la tondre, hélas ils avaient choisi une autre option en la personne de Madame de Saint
Valois qui prenait un immense plaisir.
-
« Bon, assez ri, dit-elle finissons-en ! » dit la coiffeuse en attrapant les
quelques mèches restées un peu longues sur le dessus de la tête de Sophie. Elle faisait
balancer la tête de la fille en secouant ses cheveux. Elle ôta les liens de Sophie tout
en époussetant les cheveux coupés qui gisaient partout sur le corps de la fille. Sophie,
abasourdie, restait là , debout face à Madame.
-
« Occupe-toi de ton homme pendant que je range mes outils. » Sophie regarda
Marc, toujours attaché sur le fauteuil, Madame de Saint Valois la saisit par le cou et la
força à se mettre à genoux. Le visage de Sophie se retrouva à trois centimètres du
sexe de Marc.
- « Allez, nettoie-le, et fais lui tomber la
fièvre !!! Ah, Ah, Ah !! » Elle enfourna le visage de la jeune fille sur
le membre dressé de son amant, la contraignant ainsi à le prendre dans sa bouche. Marc,
encore sous le coup de ce quil venait de vivre, éjacula aussitôt.
La
coiffeuse rit en voyant les deux jeunes gens, le corps recouvert de cheveux coupés .
-
« Cest mon jour de bonté, je ne
vous compte rien pour la coupe ni pour le déplacement. » continua t-elle, toujours
aussi mauvaise.
Leffervescence
qui régnait dans le crâne de Sophie atteignait son paroxysme, Madame voulait se venger de lavoir quitter,
elle voulait lui voler son plaisir. Elle sacharna sur le ruban adhésif qui clouait
Marc au fauteuil et finit par libérer ce dernier. Le jeune homme se rua sur la coiffeuse
et la plaqua au sol avant quelle ne passe la porte.
-
« Doucement, chère Madame, vous
navez pas tout à fait terminé votre travail. »
Il
releva Madame de Saint Valois par les cheveux et la traîna vers un fauteuil sur lequel il
la propulsa violemment . La coiffeuse rebondit sur le siège et fut aussitôt attachée
par Sophie.
Marc
fouilla dans la valise et en ressortit tondeuse électrique : une Oster, la plus
puissante, la plus méchante ! il mit lappareil sous tension et son
ronronnement envahit la pièce. Il prit les cheveux de la coiffeuse derrière
loreille et lui fit baisser la tête en avant.
A
cet instant, Sophie fut parcourue par un énorme frisson. La tondeuse commença sa progression autour de loreille
de Madame et les premières mèches bouclées se mirent à tomber sur le tailleur Chanel.
Sophie raffolait de ce spectacle. Aucun sabot nétait fixé à la tondeuse et chaque
passage rasait les cheveux jusquà la peau. Il lui rasa le devant de loreille,
la tempe et Madame put voir la peau nue de son crâne. Les lames tièdes de la tondeuse
glissaient sans résistance sur la nuque et les côtés sectionnant à ras les longs
cheveux blonds de la coiffeuse. Une masse considérable de cheveux coupés recouvraient à
présent le tailleur de Madame. Après avoir rasé totalement les côtés, Marc termina
par le sommet du crâne. Enfin, il termina en époussetant les cheveux coupés et admira
son oeuvre. Sophie releva la jupe de son ex-patronne et se rendit compte quelle
était toute humide.
-
« Elle a aimé, tu te rends compte !! Elle nous limposait comme punition
à son salon et en fait, elle ne pensait quà une chose : quon la tonde,
elle. Et bien, voilà, ce jour est arrivé !! »
Elle ramassa les touffes de cheveux sur le sol et
les reposa sur sa tête en riant. Une larme pointa au coin de lil de la
coiffeuse. Sophie, un peu honteuse de cet excès de méchanceté la caressa tendrement et
lembrassa.
-
« Vous lavez bien un peu cherché ! » lui souffla telle à
loreille en continuant de la caresser. Madame se trémoussait à présent sur le
siège, avançant son sexe vers la main de Sophie. Marc posa la tondeuse et présenta son
sexe sous les yeux de la coiffeuse qui le happa aussitôt. Il se mit a caresser le
crâne tondu de la coiffeuse tout en savourant sa bouche experte qui affolait son pénis.
Sophie, de son côté, agenouillée entre les cuisses de la femme laissait glisser une
langue sur ses muqueuses humides. Madame jouit longuement suivie de Marc qui, aussitôt
après, caressa Sophie qui hurla, à son tour.
Les
jeunes gens libérèrent de ses liens la coiffeuse en lui faisant promettre de terminer
son travail. Elle accepta, toute radoucie et encore imprégnée de lexpérience
quelle venait de vivre. Elle ressortit tranquillement ses ustensiles et cette fois
déplia un large peignoir quelle tendit dabord à Sophie.
-
« Mon prénom est Martine » dit elle gentiment.
Elle
fit basculer le fauteuil en arrière et se proposa de faire un shampooing à la jeune
fille. La sentant un peu tendue, Martine lui parla d'une voix douce.
-
« Je vais bien moccuper de vous, cest promis » dit-elle comme pour
sexcuser
Elle
releva le fauteuil après avoir soigneusement essuyé ce qui voulait être la chevelure de
Sophie, Elle lui massa longuement la nuque et déposa une patère de plastic noir sur ses
épaules.
Martine
tenta alors de la peigner un peu et dit "qu'est ce qu'on peut faire?"
Sophie, les mains à plat sur les accoudoirs du
fauteuil, toute tremblante de peur, montra à la coiffeuse la tondeuse qui reposait près
delle.
La coiffeuse attrapa la grosse tondeuse vérifia labsence de sabot. Le cur de Sophie se remit à battre la chamade. Elle se laissa basculer lentement la tête vers l'avant et entendit un vrombissement sapprocher. Elle sentit aussitôt des vibrations traverser sa colonne vertébrale. Martine passait et repassait son appareil dans la nuque de Sophie travaillant toujours plus haut. La tondeuse glissait sur la chevelure de la jeune fille qui baissait la tête au maximum en collant son menton sur sa poitrine. D'une main experte , la coiffeuse avait dégagé larrière par lignes successives laissant la peau à nue, elle sappliquait en passant et repassant la tondeuse hauteur de coupe 0000 sur la nuque, autour des oreilles et sur les tempes jusquà ce que la coupe soit parfaite.
Redressant
la tête, Sophie vit dans la glace que le sexe de Marc avait retrouvé sa rigidité, elle
lui fit signe dapprocher pendant que Martine, ayant mis un minuscule sabot en
plastique sur la lame de son appareil, sattachait à tondre le dessus de la tête et
la frange. Sophie dressa la tête et fixa les lames de la tondeuse qui approchaient pour
couper au plus ras sa frange et les autres mèches encore restante. Elle masturbait
doucement Marc pendant que la tondeuse sillonnait son crâne. Elle frissonna de plaisir.
Après
avoir nettoyé tous les petits cheveux qui s'étaient éparpillés autour de son cou, la
coiffeuse étala un peu de mousse à raser dans la nuque et sur le tour des oreilles de
Sophie ; elle caressa Sophie qui ferma les yeux et poussa un soupir. Ses mains se
crispèrent sur le sexe de Marc quand elle entendit les légers crissements
quémettait le rasoir à main. Elle vit
dans la glace que la mousse blanche laissa place à une peau toute propre et nette. Sophie
ne tenant plus, jouit et hurla quand Martine lui embrassa le cou. Elle se leva après que
Martine eut enlevé le peignoir tel une délivrance.
Marc
sassit dans le fauteuil sans que Sophie neut lâché son sexe, elle se mit à
califourchon sur le fauteuil et sempala sur le membre du jeune homme. Elle
sagita avec frénésie comme si elle faisait lamour pour la dernière fois.
Elle haletait de plaisir, caressant son crâne lisse. Elle était folle de bonheur.
Martine
simmisça doucement derrière Marc. Dans la main, elle tenait une petite tondeuse
mécanique à la denture très fine. Le jeune homme, tout à son affaire avec Sophie,
avait le tête en arrière, appuyée au dossier du fauteuil. Sophie ralentit son
va-et-vient et sourit à Martine qui posa la tondeuse sur le front de garçon. Il ferma
les yeux. Le cliquetis de la tondeuse résonna dans la pièce entrecoupé par les
gémissements de plaisir de Sophie. La tondeuse suivait sans bruit une ligne
sélargissant dans la chevelure de Marc. Martine eut bientôt tondu à ras tout le
dessus de son crâne. Sophie le frotta sur ses seins : secouée par de multiples
soubresauts de plaisir, elle jouit et hurla son bonheur tout en restant empalée sur Marc.
Elle se dégagea doucement et passa derrière Martine qui fit basculer la tête du jeune
homme vers lavant. Sophie joua avec une houppette chargée de talc quelle
saupoudra dans le cou du garçon juste avant que Martine ny plonge sa tondeuse.
Dune main sûre, elle manuvrait la tondeuse dégageant par un léger mouvement
de poignet les cheveux entassés devant lappareil.
Sophie
brancha lOster et vint la poser sur la tempe droite de Marc, Martine posait au même
moment sa tondeuse sur la tempe gauche. Elles se regardèrent en souriant, échangèrent
un baiser et commencèrent lascension des côtés du crâne de Marc qui, tout en se
masturbant, pouvait voir les cheveux coupés voleter sur son corps. Il éclata quand
Martine termina de tondre son crâne et passa ensuite ses ongles manucurés sur la tête
pelée du garçon.
Ils
finirent la nuit tous les trois, enchevêtrés, au milieu des cheveux coupés qui
jonchaient le sol.
Bises
à tous et laissez moi vos critiques à : fly19@hotmail.com