De surprise en surprise .
En ce beau matin de fin dhiver, Nicole se leva de fort bonne humeur ; son amant Dominique venait de partir et elle se trouvait seule à déguster la tiédeur de ce matin hivernal après une nuit torride.
La veille au soir, ils avaient rendez-vous pour la première fois, conformément aux dispositions quelle avait reçu par e-mail deux jours avant.
Depuis déjà 3 mois, ils échangeaient des messages (parfois très chauds) sans ne jamais sêtre rencontrés. Nicole avait ce que lon peut appeler la quarantaine avantageuse, et depuis son divorce, ne se privait guère daventures sexuelles à la limite du conventionnel.
Elle avait rencontré son futur amant sur Internet par le biais dun news group dont le sujet était la fourrure. Elle était en effet fascinée, et même fortement excitée par le contact de la fourrure sur son corps, et recherchait des personnes partageant son fétichisme.
Dominique lui avait donné rendez vous la veille au rayon « fourrures » des « Galeries Lafayette », et, après lui avoir fait essayer quasiment toute la gamme de la marque « Franck et Fils », avait finalement opté pour un long manteau de renard bleu, dont le blanc glacé contrastait merveilleusement avec la longue toison noire de Nicole. En effet, si certaines femmes avaient la malchance de se trouver pourvues de cheveux malingres, Nicole, pour sa part, avait reçu à sa naissance, une toison noire aux reflets bleutés, qui faisait lenvie de nombre de ses congénères.
Au fil des années, elle avait laissé pousser sa chevelure, noire de geais, jusquà la longueur actuelle, qui dépassait de peu le bas de ses fesses. Dominique avait tout de suite apprécié cette caractéristique de sa partenaire, bien que de prime abord il nait pu juger de la longueur de la toison de Nicole, celle-ci étant retenue par un chignon tout ce quil y a de conventionnel.
Sortant du magasin, Nicole linterrogea, non sans une inquiétude mêlée dexcitation, sur la contrepartie quelle aurait à acquitter en échange de la douce et somptueuse fourrure qu elle portait. Sur son interrogation, Dominique lui répondit : « Nayez pas dinquiétude, cela ne sera rien, deux ou trois petites fantaisies . » .
Sur ce, ils se dirigèrent vers le « Royal Opéra », où Dominique résidait pour son séjour parisien. Arrivés dans la suite, il la fit déshabiller, et lui fit remarquer : « tu nest pas épilée ? » Nicole, gênée répondit : « comme tu peux le voir ! »
Ce disant, elle se dirigea vers la salle de bains, et en ressortit avec un rasoir et une bombe de mousse, en disant « cela peut sarranger très rapidement ! »
Dominique sapprocha alors delle, et lui murmura à loreille « je te veux « plus que nue » ce soir », et, ce disant, il lentraîna vers la salle de bains où, avec dinfinies précautions, il entreprit de raser le noir buisson qui cachait sa fleur de beauté depuis sa puberté.
Avec dinfinies précautions, tout dabord avec des ciseaux, puis ensuite avec une petite tondeuse à main, il entreprit de réduire à néant le buisson de sa maîtresse dun soir, ne laissant aucun poil sur la vulve quil allait bientôt posséder.
Après avoir rasé attentivement la partie la plus intime de sa maîtresse, il la ramena sur le lit où il la prît sauvagement sur la fourrure de renard voluptueusement douce, contrastant avec la « virginité capillaire » de son amante d un soir
Après cette nuit endiablée, elle se demandait quelle pouvait bien être la surprise que Dominique avait évoquée juste avant son départ. Ses instructions avaient été précises : « Tu descends vers 18 heures 30, et tu demanderas au réceptionniste de te remettre lenveloppe que jaurai laissée pour toi.
Lheure approchant, elle se dépêcha de se préparer, afin dêtre à lheure au rendez vous mystérieux. Après une douche bienfaitrice, elle entreprit de se coiffer, brossant longuement sa chevelure, dont le noir contrastait étrangement avec son sexe désormais nu.
Les instructions de Dominique avaient été claires : chignon strict, et surtout, totalement nue sous la fourrure ! elle posa donc le déshabillé de satin, bordé de duvet de cygne, autre cadeau de Dominique la veille et enfila son superbe manteau de renard.
Sortant de lascenseur, elle se dirigea dun pas décidé vers la réception, tenant bien fermée sa superbe fourrure, qui caressait voluptueusement ses jambes à chaque pas. Le réceptionniste lui remit lenveloppe convenue, quelle décacheta rapidement.
A lintérieur se trouvait un bristol sur lequel était écrit : traverse le hall, et rends toi au Salon de Coiffure de lhôtel .. Elle sexécuta donc, et se dirigea vers ledit salon, sapercevant en entrant quil sagissait dun salon pour hommes.
Celui-ci était tenu par une femme dapparence austère dont les cheveux gris étaient quasiment rasés et coiffés en brosse. Sans un mot, elle lui indiqua une chaise, où Nicole, obéissante, sinstalla. Chose bizarre dans un salon pour hommes, la chaise voisine était occupée par une femme blonde, vécue dun manteau de renard noir, quasiment semblable au sien.
La détaillant plus attentivement, Nicole saperçut quelle tenait serré dans la main, un bristol semblable au sien. Alors que la pendule marquait 18 heures 45, la coiffeuse se leva, se dirigea vers la porte quelle ferma, et entreprit de descendre le rideau de fer.
Enfermées ! semblaient dire le regard quelle échangea avec sa voisine. La coiffeuse, se dirigeant vers la femme blonde lui lança « cest à votre tour, je pense » dun ton relativement sec. Bien quinterloquée, la femme blonde se leva docilement, et Monique pût apprécier en connaisseuse la beauté de sa fourrure.
Sans un mot, la coiffeuse entreprit de lui enlever son manteau, et Nicole pût alors constater que, tout comme elle, elle ne portait rien en dessous. Petite différence toutefois, le sexe de la blonde (qui nen était pas réellement une !) nétait pas rasé comme le sien, mais, selon le regard que lui lança la coiffeuse, ce nétait quune question de minutes !
Asseyez vous ! lui intima-t-elle en lui désignant le fauteuil de moleskine rouge qui trônait au milieu du salon. « prenant un peigne, elle commença à coiffer la toison pubienne de sa « cliente » et lâcha « besoin dun débroussaillage çà ! »
Posant le peigne, elle empoigna une tondeuse électrique, et commença à tailler dans la toison. A un rythme très rapide, les boucles brunes et dapparence soyeuse commencèrent à samonceler sur le carrelage. En lespace de quelques minutes, le sexe de la blonde se trouva proprement tondu.
La coiffeuse lui glissa une serviette sous les fesses, avant de badigeonner de mousse le peu de poils qui subsistaient après la tonte de départ. Magnant le rasoir sabre avec dextérité, il ne lui fallut que 2 minutes pour terminer lépilation de cet ancien sexe poilu.
Après lavoir copieusement essuyée, la coiffeuse lui demanda de se redresser dans le fauteuil , ce qui ne manqua pas de surprendre sa « cliente », tout comme Nicole, qui se demandait ce qui allait désormais lui arriver.
« Passons à la phase 2 » dit la coiffeuse en dépliant un peignoir de nylon noir quelle lui noua autour du cou. « Pourrais-je savoir ce quest la phase 2 ? » sinquiéta la blonde.
« La tonte ! » répondit sèchement la coiffeuse, « Dominique, votre maître, ma demandé de vous tondre toutes les deux ! surprise !! ».
Malgré son manteau quelle navait toujours pas enlevé, Nicole sentit un frisson lui parcourir le dos, cétait donc çà, sa « petite fantaisie » ! Dominique les voulait toutes les deux « plus que nues » pour reprendre son expression, et cétait là le prix à payer pour pouvoir conserver le superbe manteau de fourrure qui lui couvrait les épaules.
La femme blonde devait tenir également à son manteau, elle se laissa faire docilement, pendant que la coiffeuse défaisait son chignon. Une cascade blonde dégringola tout dun coup lorsque la coiffeuse enleva la dernière épingle, quelle jeta dans la corbeille avec les autres murmurant « tu nen auras plus besoin ma belle « .
Elle entreprit ensuite de démêler cette somptueuse toison par le biais dun brossage énergique, et finit par poser la brosse dans le petit chariot se trouvant à proximité. Une fois défaite, la chevelure de la femme blonde devait bien lui arriver au niveau des genoux lorsquelle était debout.
Nicole ne pût retenir un nouveau frisson lorsquelle vit la coiffeuse semparer des ciseaux. La femme blonde ne pût quant à elle retenir une larme qui coula rapidement sur sa joue.
« On y va ? » lui demanda la coiffeuse, en empoignant une longue mèche « on y va » murmura la blonde, résignée sur son sort. Clac firent les ciseaux en se refermant sur la mèche à 1 cm du crâne.
« Et dune ! » lança la coiffeuse en posant la longue mèche sur les genoux de sa cliente, qui sen saisit prestement, comme pour se rattacher à un fragment de passé bientôt révolu. Avec une rapidité mécanique et implacable, la coiffeuse continua son uvre dévastatrice à grands coups de ciseaux, et le peignoir noir se trouva bientôt jonché de longues mèches blondes, tout comme les épaules de son infortunée cliente, et le carrelage blanc recouvrant le sol.
A mesure que la tête de la blonde se dégarnissait, Nicole sentait grandir son inquiétude, il est vrai que la « cliente suivante », cétait elle !
Laissant Nicole à ses pensées, la coiffeuse posa les grands ciseaux, jugeant ceux-ci trop longs pour achever de tailler ce qui restait de la chevelure de la blonde. Elle ses saisit dun peigne, et dune paire de petits ciseaux, avec lesquels elle commença à dégarnir la nuque de sa cliente, en remontant à rebrousse poil, et en taillant de façon mécanique les cheveux relevés par le peigne.
En quelques minutes, la tête de la blonde se trouva dégarnie de quasiment toute sa chevelure, et seul subsistait un léger duvet denviron 1 cm de long, taillé de façon uniforme sur tout le crâne.
« On va faire une petite pause » lâcha la coiffeuse à lintention de la blonde, « et je vais commencer à moccuper de votre collègue ! » dit elle, en se tournant vers Nicole, tout en lui désignant le second fauteuil.
« Si vous le permettez, je vais vous débarrasser » dit-elle en empoignant le col du lourd et somptueux manteau de fourrure, qui rejoignit son jumeau sur le porte manteau près de lentrée.
« Si Madame veut bien se donner la peine « lâcha-t-elle, en tournant le fauteuil en direction de Nicole, laquelle tentait, tant bien que mal, de masquer sa nudité « totale » aux regards, tout en essayant de contenir la panique qui lenvahissait.
Elle vint donc docilement sinstaller dans le fauteuil dirigé vers elle, et entendit claquer le peignoir de nylon blanc que la coiffeuse venait de déplier. Méticuleusement, celle-ci le noua autour du cou à laide du velcro, et entreprit ensuite de dénouer le chignon de Nicole.
A mesure que les épingles tombaient sur le sol, le chignon de Nicole sécroulait, tel un écheveau couleur ébène. La dernière épingle enlevée, la masse de cheveux se dénoua, comme par enchantement, et vint recouvrir de sa masse noire, le peignoir de nylon blanc.
« Quelle crinière » lâcha la coiffeuse, visiblement peu habitée à travailler sur une telle masse de cheveux. Méticuleusement, elle entreprit de démêler cette somptueuse toison, qui descendait presque jusquau sol.
« Vous tenez vraiment à ce que je coupe tout çà ? » demanda-t-elle à Nicole, en brandissant une mèche de plus dun mètre de long.
« Je serais prête à tout pour conserver mon manteau », répondit Nicole, dun air décidé, « Vous pouvez donc couper ! »
« Comme vous voulez » répondit la coiffeuse en empoignant ses ciseaux tout en haussant les épaules. Elle commença par séparer la masse de cheveux en zones définies, repoussant le plus gros vers lavant, puis commença à attaquer le bas de la nuque.
Avec un cliquetis mécanique, les ciseaux commencèrent à attaquer les contreforts de la nuque, taillant sans pitié les mèches que redressaient les ciseaux dans leur progression. Les cheveux commencèrent à samonceler sur le sol, mais visiblement pas assez vite pour la coiffeuse, qui, au bout de quelques minutes décida de changer doutil.
« A ce rythme, jen ai pour la nuit, » dit elle en posant ses ciseaux « on va changer de méthode ! » lâcha-t-elle, en se saisissant dune tondeuse à main.
Elle reprit donc son ouvrage, dans le cliquetis mécanique de la tondeuse, qui commença à dévorer, comme avec gourmandise, cette magnifique toison livrée à son appétit.
En lespace de 2 minutes, la nuque de Nicole se trouva tondue à ras, tandis que les longues mèches débène samoncelaient sur le peignoir blanc. A mesure que la tondeuse remontait le long de sa nuque, elle pouvait sentir le froid du métal au contact des parcelles de son crâne, désormais dégarnies.
Une fois la nuque « dégagée », la coiffeuse passa au côté droit, relevant en lair la masse de cheveux dune main, alors quelle lattaquait à la base, avec la tondeuse actionnée de lautre main. Tel un sentier au milieu dune forêt, la tondeuse traçait son chemin au milieu de la toison noire débène, laissant derrière son passage une bande blanche, créant un contraste étrange.
Une bande, puis deux, lopération de débroussaillage avançait à grands pas, à mesure que le tas de cheveux grossissait, tant sur le peignoir de nylon blanc, que sur le sol carrelé. Après le côté droit, ce fut le côté gauche qui fut attaqué, la coiffeuse ayant au préalable, ramené les cheveux du dessus sur le côté dégarni, masquant ainsi temporairement létendue des dégâts.
En lespace de quelques minutes, le côté gauche fut tout aussi dégarni que le droit, , et, tel un morceau de choix, la coiffeuse se prépara à parachever son uvre dévastatrice, en terminant par le haut du crâne, seul endroit où subsistaient encore des cheveux !
Elle posa sa tondeuse au milieu du front, puis entreprit de créer une « raie » de 3 cm de large sur tout le sommet de la tête de sa « cliente ». Au fur et à mesure quelle progressait, la tondeuse laissait une bande blanche, alors que les cheveux noir débène, glissaient sur le peignoir de nylon blanc, avant de rejoindre le carrelage jonché de longues mèches.
En lespace de plusieurs passages, le crâne de Nicole se trouva complètement dégarni, et, pendant que la coiffeuse reposait sa tondeuse, elle jeta un coup dil dans le grand miroir, afin de découvrir sa nouvelle tête, dépourvue de sa longue toison.
« Un peu de ménage, avant de finir le travail », déclara solennellement la coiffeuse, en attrapant un balai, avec lequel elle entreprit de rassembler les toisons blonde et brune qui recouvraient le carrelage.
« Quelle moisson » lâcha-t-elle à ses deux clientes, lorsquelle eut fini de rassembler les cheveux en un tas que lon pouvait qualifier dimpressionnant.
Ayant posé son balai, elle se dirigea vers la bonde, et entreprit de lui savonner le crâne avec un blaireau de barbier, quelle posa avant de se saisir dun rasoir « coupe chou ». Maniant linstrument dune main experte, elle acheva sa « coupe » en lespace de quelques minutes, et la blonde, non sans essuyer une larme, se découvrit totalement chauve, à lexception de ses sourcils, dans le grand miroir qui lui faisait face.
Monique dût subir le même sort, et la lame froide glissa voluptueusement sur son crâne, afin de retirer les derniers vestiges de sa chevelure. Elle rouvrit les yeux lorsque la coiffeuse commença à lui essuyer le crâne, avant de lui ôter le peignoir, révélant sa totale nudité.
Elle en fit de même avec sa seconde cliente, et toutes deux, après avoir enfilé leur somptueux manteaux, se dirigèrent vers la sortie de service, l entrée principale étant condamnée par le rideau de fer. Ce faisant, lune comme lautre jetèrent un dernier coup dil au monceau de cheveux, qui, quelques temps auparavant , se trouvaient encore sur leur tête !
Face à la porte, elles reconnurent avec surprise Dominique, qui les attentait, lair visiblement réjoui, tenant deux paquets à la main. Sans les laisser dire un mot, il en tendit un à chacune, et, après les avoir ouverts, lune comme lautre purent découvrir une toque de renard, parfaitement assortie au manteau quelles portaient.
« Javais peur que vous nayez froid avec votre nouvelle coupe de cheveux» leur dit-il.
« Je tiens à préciser que cest une commande spéciale, puisquelles sont également fourrées à lintérieur »
Monique sempressa denfiler cette toque somptueuse, et cest avec un soupir de ravissement quelle sentit la fourrure directement au contact de son crâne désormais dégarni.
Dominique conduit ensuite ses deux splendides maîtresses dans sa suite, où ils purent découvrir de nouvelles sensations voluptueuses, Mais cela, cest une autre histoire .