PAR AMOUR.
Cétait fabuleux ! Il avait toujours rêvé de cela, en pensant bien sur que cela ne pourrait jamais arriver. Et voilà quelle lui demandait, quelle le suppliait presque de le faire.
Au fil des ans il était devenu fétichiste. Déjà à lage de 15 ans il sétait rendu compte de cela. Lorsquil voyait sa mère couper les cheveux de sa sur. Elle avait les cheveux frisés et la coupe était facile. Lorsquil voyait les mèches brunes dégringoler sur la serviette autour des épaules de sa sur, il bandait.
De temps en temps il flânait devant les salons de coiffure pour dames surprenant limage dune jolie fille sacrifiant sa chevelure, des mèches coupées gisant sur le sol, et le soir il en rêvait. Il avait bien essayé de trouver une fille qui voudrait accéder à son caprice, mais cela navait jamais marché. Il aurait voulu que son amie aux cheveux blonds fins et très doux fasse couper ceux-ci comme un garçon : rien à faire. Il avait alors rencontré une autre fille, brune celle-là, les cheveux déjà coupés courts. Avec elle, il avait essayé de se faire la main : rien à faire non plus. Elle craignait le massacre qui serait sans doute arrivé et ne confiait sa coupe quà son coiffeur habituel.
Après cela ce fût le service militaire et pour lui un grand tournant. En à peine deux mois il avait réussi à se faire muter comme coiffeur. Et coiffeur dans les paras, cest pas rien. Il avait vu ça en arrivant. Deux fauteuils, un banc le long du mur avec une bande de jeunots chevelus dessus. Deux sbires en blouse bleue, et deux tondeuses. Pas besoin de CAP. Il passa donc un an à tondre les cheveux des gars de 18 ans. Il en avait vu pas mal. Puis, de nouveau civil, son fantasme un peu calmé, il avait trouvé une jolie fille, blonde aux cheveux fins comme il les aimait, et vivait avec elle, comme ça. Et voilà quaujourdhui elle se met à parler de ses cheveux :
« Tu ne trouves pas quils sont trop longs ? Quune bonne coupe leur ferait du bien » que ceci, que cela. Lui bien sûr ça lexcite, mais il voit bien quelle tourne autour du pot. Et tout à coup elle lance presque comme une supplique :
« Demain tu me couperas les cheveux, hein ? Si ! Je veux que ce soit toi qui le fasses. Tu ne mas pas dit que tu avais été coiffeur ? Tu me les couperas court comme un garçon. »
Il ne sait plus quoi dire, mais ne surtout pas dire non. Il ne veut pas non plus sauter de joie, pour ne pas linquiéter tout de même. Mais quand même, entre tondre un garçon et faire une coupe de cheveux à une fille, il y a une marge
Ils en parlèrent un long moment et firent lamour comme jamais encore, excités par la discussion. Cétait daccord, demain matin aurait lieu le sacrifice.
Ils se levèrent bonne heure ce dimanche matin. Ils ne se dirent rien. Après le petit déjeuner, elle était partie fouiller la commode où elle savait quil gardait un attirail de coiffeur, souvenir du service militaire. Elle était revenue dans la cuisine, complètement nue, les cheveux dénoués sur les épaules, tenant la petite boite noire.
Elle posa le coffret sur la table, sapprocha de lui et le déshabilla. Lorsquils furent nus tous les deux, elle sassit sur une des chaises et baissant la tête vers lavant, les deux mains à plat sur ses genoux réunis, elle lencouragea :
« Aller, et nais pas peur de couper court. Je les veux très courts, comme un garçon. »
Lui, il avait déjà mal au membre tellement il bandait. Il respira fort. Il avait ouvert le coffret et déballé le contenu : ciseaux droits et à dents pour effiler comme disait la notice, peigne, tondeuse électrique, sabots de différentes tailles.
A présent il peignait les cheveux blonds et lisses dans le dos de la fille. Et puis, presque en tremblant il les trancha de quelques coups de ciseaux secs et précis juste à hauteur du lobe de loreille et tout autour de la tête. On aurait dit Jeanne DArc. Elle leva la tête, lui sourit et prit les 20 cm de cheveux quil venait de couper et quil avait posé sur la table. Puis, voyant létat de lérection, gentiment, elle prit le membre chaud et se penchant un peu, elle lengloutit dans sa bouche et commença une succion gourmande. Lui, les deux mains posées sur la tête blonde essayait de se retenir mais ny parvint que quelques instants avant dexploser dans la gorge de la fille qui poussa un petit cri rauque.
Elle laspira jusquà la dernière goutte. Lorsquil reprit ses esprits, elle se caressait méticuleusement avec ses cheveux coupés. De quelques coups de ciseaux il fini de lui dégager la nuque et entreprit de raccourcir le côté droit. Les cheveux fins et propres dégringolaient tout seuls sous les ciseaux à effiler. Le côté gauche à présent. Un peu plus court que le côté droit. Il y revint donc, essayant dégaliser. Loreille était bien dégagée à présent et il fallait quil revienne de lautre côté. Il sarrêta et linterrogea du regard, de nouveau en érection. Elle passa la main sur sa nuque, prenant entre ses doigts les cheveux blonds.
« Encore plus court. Vas y avec la tondeuse derrière ! »
Dans un état second, le cur cognant, il prit la tondeuse et la brancha à la place du grille pain. Au son du ronronnement régulier de lappareil, elle accentua sa caresse, se masturbant consciencieusement avec ses mèches coupées. Saidant de son peigne, il entreprit de dégrader la nuque et les côtés de sa blonde. Il sarrêta et caressa ses épaules, les dégageant des cheveux coupés. Elle se leva, il la coucha sur la table et dune longue poussée senfonça en elle, entamant un va et viens rapide. Lorsquil se libéra, il était épuisé. Elle se leva, le prit par la main et lentraîna dans la salle de bain. Là elle pu inspecter sa nouvelle tête aux cheveux à peine plus longs quun centimètre, un peu plus longs sur le sommet. Sa nuque piquait un peu. Elle le regarda à travers le miroir :
« Coupes encore. Complètement avec le sabot n°1. Tonds moi complètement ! »
Puis elle retourna sur la chaise et la tondeuse se mit à vibrer de nouveau, sillonnant le crâne de la fille. Lorsque lopération fût terminée, elle passa ses deux mains sur son crâne, prenant ses cheveux à rebrousse-poils. Elle eut un long frisson de plaisir. Elle jugea, à létat de son compagnon que cela lui plaisait aussi. Elle poussa la chaise, sallongea sur le sol, au milieu des cheveux coupés et entraîna le garçon sur elle
J.E G
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