Sonia et Claire
Sonia et Claire travaillent ensemble depuis presque deux ans et elles s'entendent très bien. Elles ont vingt-cinq ans et beaucoup de points communs. En particulier, elles ont de très beaux cheveux : ceux de Sonia sont blonds, lisses et descendent jusqu'aux omoplates tandis que Claire les a châtain foncé et un peu plus long.
Un jour, Sonia arriva légèrement en retard et se dépêcha d'aller se changer au vestiaire. Quand elle revint à son bureau, Claire était déjà au travail. Celle-ci se leva pour embrasser sa collègue et remarqua immédiatement que quelque chose n'était pas comme d'habitude chez Sonia mais elle n'arrivait pas à savoir ce que c'était. N'y tenant plus elle lui demanda :
" tu as l'air différente ce matin, qu'est ce que tu as fait ?
- Qu'est ce qui te fait dire ça ?
- Je ne sais pas... Ah si, ça y est. Tes cheveux, tu as fait quelque chose à tes cheveux.
- Oui, on peut le dire.
- Alors, dis-moi le.
- Non, pas tout de suite. Peut être pendant la pause... " Et en disant ça elle sortit de la pièce.
Claire ne l'entendait pas de cette oreille et elle comptait bien tout savoir en détail. Néanmoins, elle pris son mal en patience et attendit la pause.
A onze heure trente, tous les employés sortirent pour la pause-déjeuné. Il ne restait plus que les deux jeunes femmes. Claire n'y tenant plus s'avança vers Sonia et dit :
" Alors, je veux tous les détails.
- Comme tu veux, ma fais attention ça va te faire un choc. " Elle se leva et sortit du bureau et elle revint quelques secondes plus tard une longue perruque blonde à la main.
Claire poussa un cri de stupéfaction en voyant sa collègue. En effet il y avait de quoi. Sonia n'avait plus un cheveu sur le crâne. Elle était intégralement tondue laissant apparaître sa peau blanche, recouverte de minuscules points, comme les bagnards.
Ayant un peu retrouvé ses esprits, Claire parvint à articuler :
" tu es folle ? T'as perdu la raison ou quoi ?
- Allons, laisse moi te raconter :
" Depuis quelque temps, j'avais envie de changer de look et je voulais changer de coiffure mais je n'arrivais pas à me décider. J'avais envie d'un changement radical mais j'hésitais à tout couper. Et hier, en rentrant chez moi j'ai vu sur la vitrine d'un salon de coiffure une affiche qui disait : cherche modèle pour coiffure d'art. Curieuse comme pas deux, je suis allée voir et là un jeune homme m'a expliqué qu'il s'agissait d'un stage de formation et si j'étais d'accord, ils me feraient une coupe gratuite mais celle-ci serait tirée au sort et je devrais l'accepter quelle qu'elle soit. Je ne sais pas pourquoi mais cette idée m'a plue et j'ai dit d'accord. Le jeune homme m'a demandé si c'était possible immédiatement et j'ai dit oui. Il m'a alors enlevé mon manteau et m'a fait passer un peignoir. Puis il alla chercher un appareil photo et fit plusieurs clichés de mes cheveux. Ensuite, il a fait entrer les stagiaires et en a sélectionné deux. Le premier m'a installé au bac, m'a calé la tête bien en arrière en regroupant mes cheveux dans la cuvette et m'a fait un shampooing très long et méticuleux. Puis il les a démêlés et m'a installé devant les glaces. J'étais prête pour la coupe. Le manager a félicité mon shampouineur et s'est tourné vers le second jeune homme qu'il avait choisit.
Il lui a fait tirer un papier dans un chapeau et l'a lu : "coupe au carré aux épaules plus petite frange plus Brushing". A ce moment-là un frisson m'est passé dans le dos. Il allait me couper vingt centimètres de cheveux ! Le manager m'a regardé un instant puis il reprit une photo. Ensuite, il s'écarta et laissa le stagiaire travailler. D'un coup de ciseau vigoureux, celui-ci m'a coupé une grosse mèche sur la nuque au niveau des épaules et a fait de même tout autour de la tête pour dégrossir. Je voyais mes cheveux dégringoler et s'entasser sur le devant de mon peignoir. Ensuite, il a rabattu une mèche devant mes yeux et délicatement cette fois-ci il l'a coupée et m'a fait une frange. Après, il m'a soulevé les cheveux et les a attachés pour ne garder que ceux de dessous et il a égalisé minutieusement tout autour de la tête. Puis, il a lâché les cheveux du dessus et a recommencé la même opération. Enfin, il m'a fait un splendide brushing enroulé. Ça me faisait tout drôle de me voir dans la glace avec les cheveux au carré mais j'étais trop heureuse.
Le manager s'approcha et me demanda ce que j'en pensais. Je lui ai répondu que je trouvais la coupe très bien réalisée. Il me prit encore deux ou trois photos. J'allai me lever quand il me demanda si je voulais en rester là ou si je désirais poursuivre. Je lui ai demandé ce qu'il entendait par là et il m'a répondu que si je le désirais, il pouvait me faire une autre coupe, plus courte, dans les mêmes conditions. J'ai réfléchi deux secondes et j'ai dit "allons-y ".
Aussitôt il a sélectionné deux autres jeunes hommes dont un m'a refait un shampooing et l'autre à tiré un deuxième papier : "carré plongeant à mi-oreilles et tondu dessous". Lorsqu'il a prononcé le mot "tondu " j'ai cru que j'allais m'évanouir, il allait me tondre la nuque !! Finalement, je me suis ressaisie et de toute façon je n'avais plus le choix, je m'étais engagée.
Le jeune homme commença par me pencher la tête en avant et clic, clic, clic, il coupait encore dix centimètres à mi-oreilles cette fois-ci. Puis, il coupa très en biais les mèches sur les oreilles, laissant longues celles de devant. Quand ce fut fini il saisit une tondeuse et il me tondit parfaitement la nuque. La sensation de la machine sur ma peau fut indescriptible. Après, il prit un séchoir et me refit un brushing. Quand je me suis vue dans la glace, j'ai cru que mon cur s'arrêtait de battre mais en même temps j'étais excitée comme une puce. Dans la glace que le jeune homme tenait, je voyais ma nuque blanche et lisse. Et je crois que c'est à ce moment la que s'est produit le déclic. Le manager s'est approché de moi de nouveau et m'a redemandé mon avis sur la coupe. Je lui ai répondu que c'était parfait. Intérieurement, j'espérais qu'il allait de nouveau me proposer de continuer et c'est ce qu'il fit : " que décidez-vous mademoiselle ? On continue à couper ou on s'arrête là ?
- J'ai très envie de vous dire de couper et de couper encore mais...
- Dans ces conditions, je ne vois qu'une solution : vous raser totalement la tête. Vos cheveux seront encore plus beaux par la suite.
- Vous voulez dire qu'il faudrait me... tondre entièrement ?
- Exactement.
- Bien, si vous le dites... " En fait j'étais morte de trouille, j'avais envie de continuer mais de là à avoir la boule à zéro...
" Eh bien, que penseriez-vous de finir de tondre cette jolie chevelure immédiatement ?
- Pourquoi pas ?
-OK c'est parti "
De nouveau, il sélectionna deux jeunes gens dont un me fit mon dernier shampooing avant longtemps et me ramena devant le miroir. Là, le manager vint près de moi et lissa ce qu'il restait de mes cheveux et me dit :
" je suis sûr que vous allez adorer ce moment " et il prit encore quelques photos.
Le second jeune homme s'approcha alors et me démêla longuement la chevelure. Puis, il saisit la tondeuse et avant de débuter la tonte, il me demanda :
" Par où voulez-vous que je commence ?
- Je ne sais pas, faîtes comme vous voulez. "
Je m'attendais à ce qu'il commence par la nuque mais au lieu de ça il commença par le côté. Il m'a penché la tête sur la droite et il a commencé à me tondre lentement, bande par bande, toujours de bas en haut. C'était merveilleux... après qu'il ai terminé chaque bande, une grosse touffe supplémentaire de cheveux tombait sur mon peignoir. Lorsqu'il eu fini le coté gauche, il me fit voir ce résultat provisoire. J'avais la moitié de la tête au carré et l'autre moitié rasée ! Ensuite, il passa de l'autre coté et me tondit l'autre coté toujours bande par bande. Une fois ceci terminé il me remontra mon image : j'avais une tête de bagnard mais ce moment fut inoubliable. Mais ce n'est pas fini, ensuite il m'a enduit le crâne de mousse et délicatement il a rasé les derniers fragments de ma chevelure avec un coupe-chou. Enfin, il m'a ramenée aux bacs et m'a fait un lavage. Tu ne peux pas savoir ce que ça fait de sentir des doigts sur son crâne nu. "
Claire était abasourdie. Elle ne comprenait pas comment sa meilleure amie ait pu faire une chose pareille. Néanmoins, elle était fascinée et légèrement excitée par cette folie.
Sonia lui demanda :
" Alors qu'en penses-tu ?
- Je ne sais pas trop. Il faut avouer que c'est assez tentant comme expérience.
- Assez tentant ? Tu veux rire ? J'attends qu'une chose c'est qu'ils repoussent pour recommencer.
- J'hésite... Oh et puis zut, si tu l'as fait pourquoi je n'y arriverais pas ?
- Tu veux dire que tu as l'intention de te faire raser la tête comme moi ?
- Oui, c'est décidé. J'en ai assez de ces cheveux longs. Je vais aller me faire tondre.
- Génial, ça nous fera un point commun secret. Et quand veux tu... passer sous la tondeuse ?
- Le plus tôt possible.
- Ce soir ?
- Ça marche. Appelle ton coiffeur immédiatement pour lui annoncer qu'il a une autre tête à raser.
- J'y cours. "
Et les deux jeunes femmes éclatèrent de rire.
L'attente jusqu'au soir parut interminable à Claire et quand enfin ce fut l'heure, elle tremblait de tout son corps tant elle était excitée.
Les deux demoiselles se présentèrent donc à l'heure convenue au salon de coiffure. Le manager les accueillit cordialement en leurs enlevant leurs manteaux puis il pria Sonia d'enlever sa perruque pour juger du travail réalisé la veille et sembla satisfait. Il proposa à la jeune fille au crâne rasé une épilation complète pendant qu'il s'occuperait de sa collègue. Autrement dit enlever tous les poils du corps de Sonia : glabre de la tête aux pieds. Sonia s'empressa d'accepter. Alors que sa copine s'éloignait avec un acolyte, le manager se tourna vers Claire et lui caressa les cheveux :
- alors comme ça vous voulez subir le même traitement que votre amie ?
- Oui, je voudrais une "transformation radicale ".
- Parfait, suivez-moi, je vous prie. Vous vous engagez donc à vous laisser couper les cheveux comme on le désire.
- Oui.
- Que diriez-vous d'aller un peu plus loin que votre amie ? Il me faut votre consentement préalable, car elle non plus ne s'attendait pas à ce qui allait lui arriver.
- Bon, J'accepte.
- Je vois que vous êtes très courageuse. Vous allez être attachée à votre fauteuil durant les coupes à tel point que vous ne pourrez plus bouger un seul doigt. "
Le manager pria Claire de s'installer sur un fauteuil où étaient fixées de nombreuses boucles de cuir. Claire prit place et le manager referma toutes les sangles une par une. Il y en avait partout : autour des pieds, des tibias, des cuisses, du bassin, de la poitrine, des mains, des avant-bras et des bras. Maintenant la jeune femme était parfaitement immobilisée.
Le manager reprit :
"Vous avez vraiment une superbe chevelure, aussi je pense que je vais vous tondre directement. "
Il appela un jeune homme et lui expliqua rapidement ce qu'il attendait de lui :
" tu vas raser complètement la chevelure de cette jeune femme à la tondeuse dans un premier temps puis au rasoir pour que ça soit bien lisse.
Cela vous convient-il mademoiselle ?
- Oui, tout à fait.
- Dernière petite chose : tu lui sabres les cheveux avant de commencer et ensuite tu la tonds à sec. "
Le jeune homme s'éloigna quelques instants puis revint avec une grosse paire de ciseau et un sabre. Sans dire un mot, il pencha la tête de Claire en arrière et étala sa chevelure sur une planche. Puis il trancha violemment les mèches à dix centimètres de la tête de la jeune femme. Claire eut très peur mais elle était trop excitée.
Ensuite le coiffeur lui redressa la tête et égalisa méticuleusement les mèches au niveau des épaules. Puis sans prendre la peine de lui faire un shampooing, il empoigna sa tondeuse et rasa à blanc la tête de Claire, dévastant sa longue chevelure.
Dites lui ce que vous en pensez <smoothman@free.fr>